Tiassalé/Orpaillage clandestin : La chefferie de Morokro mise en garde
Le préfet du département de Tiassalé, Vakaba Koné, a mis en garde, le lundi 20 juillet, la notabilité du village de Morokro (chef-lieu de sous-préfecture) contre l’accueil des orpailleurs illicites et clandestins dans la localité.
De sources concordantes confirmées par plusieurs témoins au cours de la rencontre que le préfet a eue avec la notabilité à son cabinet, un orpailleur nommé Justin Koffi a échangé courant juillet avec la notabilité au sujet d’une prospection au terme de laquelle une équipe viendra s’installer à Morokro pour y extraire l’or.
Le chef du village, Bitty Souho Georges et certains notables ont accepté les bouteilles de liqueur, ce qui signifie leur accord tacite pour la prospection. C’est pourquoi, le préfet Vakaba Koné les a mis en garde contre toute acceptation des orpailleurs dans la sous-préfecture, non sans menacer directement le chef d’engager une procédure de destitution à son encontre.
Mieux, le préfet a indiqué que sa mise en garde concerne également les chefs d’autres villages du département qui seraient tentés de recevoir des orpailleurs illicites. Pour Vakaba Koné, il est inconcevable que des chefs, qui représentent l’autorité de l’État, se rendent complices d’une activité interdite par l’État.
L’orpaillage illicite continue au grand jour dans le lit vif du fleuve Bandama, dans plusieurs localités du département de Tiassalé, malgré de nombreuses arrestations et destructions de matériels d’orpaillage opérées par la gendarmerie nationale.
Le chef du village, Bitty Souho Georges et certains notables ont accepté les bouteilles de liqueur, ce qui signifie leur accord tacite pour la prospection. C’est pourquoi, le préfet Vakaba Koné les a mis en garde contre toute acceptation des orpailleurs dans la sous-préfecture, non sans menacer directement le chef d’engager une procédure de destitution à son encontre.
Mieux, le préfet a indiqué que sa mise en garde concerne également les chefs d’autres villages du département qui seraient tentés de recevoir des orpailleurs illicites. Pour Vakaba Koné, il est inconcevable que des chefs, qui représentent l’autorité de l’État, se rendent complices d’une activité interdite par l’État.
L’orpaillage illicite continue au grand jour dans le lit vif du fleuve Bandama, dans plusieurs localités du département de Tiassalé, malgré de nombreuses arrestations et destructions de matériels d’orpaillage opérées par la gendarmerie nationale.