Taekwondo : Un héritage sportif immense
L’histoire du Centre sportif, culturel et des Tic ivoiro-coréen Alassane Ouattara sera au menu de l’assemblée générale annuelle de la Fédération, le 29 août prochain.
Le 29 août prochain, la communauté des taekwondo-in sera en assemblée générale à Abidjan. Une obligation statutaire au cours de laquelle le bureau fédéral fera le point sur la saison 2019 à tous les niveaux : moral, financier et le point sur les activités programmées.
A ces aspects qui seront présentés par le comité directeur, il y aura le rapport des commissaires aux comptes à partir duquel les membres statutaires vont apprécier l’exercice 2019 et se prononcer par le vote du quitus. Le classique des assemblées générales ordinaires de la Fitkd.
Mais avouons-le, la saison 2019 du taekwondo ivoirien a été bien remplie. Tous les objectifs majeurs fixés en début d’année ont été atteints. De la coupe de l’ambassadeur de Corée aux qualifications pour les Jeux olympiques, en passant par le Centre sportif, culturel et des Tic ivoiro-coréen, les taekwondo-in ivoiriens n’ont pas chômé.
De cette saison, l’on retient surtout que pour la première fois de l’histoire de la discipline, la Côte d’Ivoire a réussi à qualifier quatre athlètes pour les Jeux olympiques. Cissé Cheick Sallah, Seydou Gbané, Gbagbi Ruth Marie-Christelle et Charlène Traoré devaient porter les couleurs orange-blanc-vert à Tokyo cette année, si le maudit virus de Wuhan n’était pas apparu. Mais ce n’est que partie remise.
L’on retient surtout qu’en moins de trois ans, le palais du taekwondo rêvé par le président Bamba Cheick Daniel a vu le jour. Sa réalisation devait durer trois ans. Mais grâce à la persévérance de Bamba Cheick, par ailleurs directeur de projet, le centre dédié au Président de la République a vu le jour plus tôt que prévu.
Une fierté pour le taekwondo de Côte d’Ivoire, mais aussi pour tout le sport national qui voit en cette infrastructure de dernière génération un héritage sportif immense.
Il est surtout important que l’on revienne sur le processus qui a abouti à la construction de ce temple de taekwondo baptisé Centre sportif, culturel et des Tic ivoiro-coréen Alassane Ouattara. Cette infrastructure est le «bébé» du président Bamba Cheick Daniel.
« C’est son rêve qu’il a voulu partager avec son comité directeur. Quand il prenait les rênes de la Fitkd, il voulait offrir un terrain qui serait la propriété de la communauté des taekwondo-in. Dieu a permis non seulement qu’il obtienne le terrain, mais aussi trouve les moyens de le réaliser », rappelle Me Anzoumana Siaka, secrétaire général de la Fédération.
Jamais la République de Corée n’a bâti une telle infrastructure en dehors de son territoire. C’est que les résultats obtenus sur le plan sportif entre 2010 et 2013, les remarquables chantiers sur le plan managérial ont achevé de faire de l’art martial coréen une discipline de masse dans le pays.
Bamba Cheick a renforcé la qualité de l’enseignement du taekwondo en Côte d’Ivoire à partir de 2012. Une révolution qui a convaincu la République de Corée à investir autant d’argent en offrant un tel joyau à la Côte d’Ivoire.
C’est pour mieux faire comprendre à ceux qui avaient encore des doutes sur l’origine de centre sportif et des Tic que le président Bamba Cheick Daniel va profiter de l’assemblée générale pour encore exposer en long et en large sur l’histoire de cet édifice qui va révolutionner davantage ce sport dans le pays.
Mais avouons-le, la saison 2019 du taekwondo ivoirien a été bien remplie. Tous les objectifs majeurs fixés en début d’année ont été atteints. De la coupe de l’ambassadeur de Corée aux qualifications pour les Jeux olympiques, en passant par le Centre sportif, culturel et des Tic ivoiro-coréen, les taekwondo-in ivoiriens n’ont pas chômé.
De cette saison, l’on retient surtout que pour la première fois de l’histoire de la discipline, la Côte d’Ivoire a réussi à qualifier quatre athlètes pour les Jeux olympiques. Cissé Cheick Sallah, Seydou Gbané, Gbagbi Ruth Marie-Christelle et Charlène Traoré devaient porter les couleurs orange-blanc-vert à Tokyo cette année, si le maudit virus de Wuhan n’était pas apparu. Mais ce n’est que partie remise.
L’on retient surtout qu’en moins de trois ans, le palais du taekwondo rêvé par le président Bamba Cheick Daniel a vu le jour. Sa réalisation devait durer trois ans. Mais grâce à la persévérance de Bamba Cheick, par ailleurs directeur de projet, le centre dédié au Président de la République a vu le jour plus tôt que prévu.
Une fierté pour le taekwondo de Côte d’Ivoire, mais aussi pour tout le sport national qui voit en cette infrastructure de dernière génération un héritage sportif immense.
Il est surtout important que l’on revienne sur le processus qui a abouti à la construction de ce temple de taekwondo baptisé Centre sportif, culturel et des Tic ivoiro-coréen Alassane Ouattara. Cette infrastructure est le «bébé» du président Bamba Cheick Daniel.
« C’est son rêve qu’il a voulu partager avec son comité directeur. Quand il prenait les rênes de la Fitkd, il voulait offrir un terrain qui serait la propriété de la communauté des taekwondo-in. Dieu a permis non seulement qu’il obtienne le terrain, mais aussi trouve les moyens de le réaliser », rappelle Me Anzoumana Siaka, secrétaire général de la Fédération.
Jamais la République de Corée n’a bâti une telle infrastructure en dehors de son territoire. C’est que les résultats obtenus sur le plan sportif entre 2010 et 2013, les remarquables chantiers sur le plan managérial ont achevé de faire de l’art martial coréen une discipline de masse dans le pays.
Bamba Cheick a renforcé la qualité de l’enseignement du taekwondo en Côte d’Ivoire à partir de 2012. Une révolution qui a convaincu la République de Corée à investir autant d’argent en offrant un tel joyau à la Côte d’Ivoire.
C’est pour mieux faire comprendre à ceux qui avaient encore des doutes sur l’origine de centre sportif et des Tic que le président Bamba Cheick Daniel va profiter de l’assemblée générale pour encore exposer en long et en large sur l’histoire de cet édifice qui va révolutionner davantage ce sport dans le pays.