Protection du parc du mont Peko : L'OIPR satisfait de sa renaissance
La première session de l'année du Comité de gestion local (Cgl) du mont Peko s'est tenue le 20 juillet, à Duékoué, dans les locaux de la préfecture.
A cette rencontre, le préfet de la région du Guémon, préfet du département de Duékoué, Cissé Ibrahima, a félicité l'Office ivoirien des parcs et réserves (Oipr) pour avoir réussi à rendre au parc du mont Peko sa stabilité et rendu un hommage à son prédécesseur, le préfet Sory Sangaré, pour tous les efforts consentis dans ce sens. Il a également salué les membres du Cgl pour l'excellent travail abattu qui a contribué à maintenir le parc et le mettre dans son état d’antan.
Dans le même sens, le colonel Gonto Gbassaha, représentant le directeur de l'Oipr, a dit sa satisfaction de voir le parc du mont Peko renaître grâce aux efforts communs du gouvernement et du Cgl. « Des 14 aires protégées, le mont Peko était l'un des parcs les plus menacés. Mais aujourd'hui, nous sommes en droit de dire qu'il est en train de renaître grâce au gouvernement et à l'Oipr », s’est-il réjoui.
Toutefois, en dépit des nettes avancées dans le recouvrement de cette aire protégée, et qui sont ainsi reconnues, le directeur de la zone ouest de l'Oipr, le colonel Zannou Moïse, alerte sur quelques pratiques qui y ont cours et qui sont contraires à l'épanouissement du parc tels que la pêche artisanale, le braconnage et les agissements d’ex-infiltrés qui persistent à mener des actions dans le parc. Grâce aux missions de reconnaissance des agents de l'Oipr et aux séances de sensibilisation menées auprès des populations riveraines, assure-t-il, une avancée considérable est enregistrée ces temps-ci.
« Il y a du progrès. En 2013, 2014 et 2015, nous étions loin de la situation actuelle. Il y avait du travail. Mais avec la décision du Président d’apurer le mont Peko, il n’y a plus personne qui travaille ou réside à l’intérieur du parc. C’est une avancée majeure », a indiqué le colonel Zannou, qui dit avoir pris note de toutes les recommandations faites et promet de les mettre en œuvre. L’avantage de la mise en place de ces comités, souligne-t-il, c’est la gestion participative.
Après la présentation du bilan d'action du premier semestre 2020 et des perspectives du 3e trimestre 2020, des micro-projets retenus en faveur des populations riveraines du parc ont été présentés et ont fait l’objet de discussions au cours des travaux.
A l’ouverture des travaux, le préfet Cissé Ibrahima qui garde l'espoir de voir le couvert forestier du parc du mont Peko retrouver son lustre d’antan, a fait observer une minute de silence pour honorer la mémoire des deux Premiers ministres disparus en ce mois de juillet 2020, feux Amadou Gon Coulibaly et Seydou Elimane Diarra.
Dans le même sens, le colonel Gonto Gbassaha, représentant le directeur de l'Oipr, a dit sa satisfaction de voir le parc du mont Peko renaître grâce aux efforts communs du gouvernement et du Cgl. « Des 14 aires protégées, le mont Peko était l'un des parcs les plus menacés. Mais aujourd'hui, nous sommes en droit de dire qu'il est en train de renaître grâce au gouvernement et à l'Oipr », s’est-il réjoui.
Toutefois, en dépit des nettes avancées dans le recouvrement de cette aire protégée, et qui sont ainsi reconnues, le directeur de la zone ouest de l'Oipr, le colonel Zannou Moïse, alerte sur quelques pratiques qui y ont cours et qui sont contraires à l'épanouissement du parc tels que la pêche artisanale, le braconnage et les agissements d’ex-infiltrés qui persistent à mener des actions dans le parc. Grâce aux missions de reconnaissance des agents de l'Oipr et aux séances de sensibilisation menées auprès des populations riveraines, assure-t-il, une avancée considérable est enregistrée ces temps-ci.
« Il y a du progrès. En 2013, 2014 et 2015, nous étions loin de la situation actuelle. Il y avait du travail. Mais avec la décision du Président d’apurer le mont Peko, il n’y a plus personne qui travaille ou réside à l’intérieur du parc. C’est une avancée majeure », a indiqué le colonel Zannou, qui dit avoir pris note de toutes les recommandations faites et promet de les mettre en œuvre. L’avantage de la mise en place de ces comités, souligne-t-il, c’est la gestion participative.
Après la présentation du bilan d'action du premier semestre 2020 et des perspectives du 3e trimestre 2020, des micro-projets retenus en faveur des populations riveraines du parc ont été présentés et ont fait l’objet de discussions au cours des travaux.
A l’ouverture des travaux, le préfet Cissé Ibrahima qui garde l'espoir de voir le couvert forestier du parc du mont Peko retrouver son lustre d’antan, a fait observer une minute de silence pour honorer la mémoire des deux Premiers ministres disparus en ce mois de juillet 2020, feux Amadou Gon Coulibaly et Seydou Elimane Diarra.