3è mandat d’Alassane Ouattara/Séa Honoré : « Il faut absolument qu’il accepte de se présenter »
A 90 jours de l’élection présidentielle en Côte d'Ivoire, des voix s’élèvent pour inviter le Président de la République, Alassane Ouattara, à se présenter pour un 3e mandat.
Dans une interview accordée le 26 juillet 2020, à la Télévision nationale (Rti), Honoré Séa, vice-gouverneur du District d’Abidjan, cadre du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp), est monté au créneau dans ce sens.
Il a notamment fait des précisions sur la situation de son parti après les départs de certains cadres le vice-Président, Daniel Kablan Duncan, le ministre des Affaires étrangères, Marcel Amon Tanoh et le président de l’Udpci, Mabri Toikeusse.
Pour lui, les départs des cadres du Rhdp étaient liés à des problèmes de personnes parce que certains se disaient vrais disciples du Président du parti que d’autres, d’autres voulaient que le regard du Président soit plus tourné sur eux, etc. C’est pour cette raison qu’il souhaite qu’Alassane Ouattara se présente pour un 3e mandat afin que tous ceux qui sont partis puissent revenir.
« Il faut absolument qu’Alassane Ouattara accepte de se présenter pour régler les problèmes au sein du parti », insiste-t-il. Parce que, explique-t-il, « nous nous retrouvons devant un cas de force majeur. Le parti avait son candidat et sa stratégie pour le porter au pouvoir lorsque ce dernier a été rappelé à Dieu. Nous n’avons pas le temps d’aller chercher un autre candidat », insiste-t-il. Et d'ajouter : « nous ne pouvons que nous rabattre sur celui qui est en train d’écrire une formidable histoire de la Côte d’Ivoire avec un travail colossal abattu depuis sa prise de pouvoir ».
Alassane Ouattara avait, selon lui, souhaité que quelqu’un d’autre poursuive son œuvre en dotant la Côte d’Ivoire d’autres infrastructures modernes mais la situation actuelle ne peut que lui demander de se représenter pour un 3e mandat.
Honoré Séa croit fermement à la victoire du Rhdp avec Alassane Ouattara. C’est pourquoi, il indique que les départs enregistrés, il y a quelque temps, ne peuvent pas jouer sur cette évidence.
Ainsi, parlant d’Albert Mabri Toikeusse qu’il qualifie de parent proche, il a indiqué qu’il n’était pas une menace pour le Rhdp parce que son parti politique a été vidé de tous ces cadres et même de ses députés au profit du Rhdp. Pareil pour Marcel Amon Tanoh et Daniel Kablan Duncan qu’il qualifie de technocrates que de politiques pour jouer sur l’électorat de son parti.
Le vice-gouverneur dénonce, par ailleurs, le fait que les cadres du parti qui l’ont quitté n’ont pas mis au-devant de tout, l’intérêt de la nation et aussi du parti. Pour des problèmes avec des personnes qu’ils connaissent très bien, ils s’en prennent, regrette-t-il, au Président du parti qui n’a absolument rien à avoir avec leurs différents problèmes.
« En tout cas, moi je viens prendre ma place auprès du Président Alassane Ouattara pour poursuivre son œuvre et l’aider pour que tous les prisonniers politiques dont Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé parviennent à rentrer en Côte d’Ivoire pour détendre l’atmosphère », précise-t-il. Avant d’ajouter qu’il a été de tous les combats politiques de ce pays. Notamment celui de 1992 pour la libération des prisonniers politiques sous Félix Houphouët-Boigny.
Il invite donc tous les Ivoiriens encore à l’extérieur à faire confiance au Chef de l’Etat qui a, insiste-t-il, un grand cœur.
Il a notamment fait des précisions sur la situation de son parti après les départs de certains cadres le vice-Président, Daniel Kablan Duncan, le ministre des Affaires étrangères, Marcel Amon Tanoh et le président de l’Udpci, Mabri Toikeusse.
Pour lui, les départs des cadres du Rhdp étaient liés à des problèmes de personnes parce que certains se disaient vrais disciples du Président du parti que d’autres, d’autres voulaient que le regard du Président soit plus tourné sur eux, etc. C’est pour cette raison qu’il souhaite qu’Alassane Ouattara se présente pour un 3e mandat afin que tous ceux qui sont partis puissent revenir.
« Il faut absolument qu’Alassane Ouattara accepte de se présenter pour régler les problèmes au sein du parti », insiste-t-il. Parce que, explique-t-il, « nous nous retrouvons devant un cas de force majeur. Le parti avait son candidat et sa stratégie pour le porter au pouvoir lorsque ce dernier a été rappelé à Dieu. Nous n’avons pas le temps d’aller chercher un autre candidat », insiste-t-il. Et d'ajouter : « nous ne pouvons que nous rabattre sur celui qui est en train d’écrire une formidable histoire de la Côte d’Ivoire avec un travail colossal abattu depuis sa prise de pouvoir ».
Alassane Ouattara avait, selon lui, souhaité que quelqu’un d’autre poursuive son œuvre en dotant la Côte d’Ivoire d’autres infrastructures modernes mais la situation actuelle ne peut que lui demander de se représenter pour un 3e mandat.
Honoré Séa croit fermement à la victoire du Rhdp avec Alassane Ouattara. C’est pourquoi, il indique que les départs enregistrés, il y a quelque temps, ne peuvent pas jouer sur cette évidence.
Ainsi, parlant d’Albert Mabri Toikeusse qu’il qualifie de parent proche, il a indiqué qu’il n’était pas une menace pour le Rhdp parce que son parti politique a été vidé de tous ces cadres et même de ses députés au profit du Rhdp. Pareil pour Marcel Amon Tanoh et Daniel Kablan Duncan qu’il qualifie de technocrates que de politiques pour jouer sur l’électorat de son parti.
Le vice-gouverneur dénonce, par ailleurs, le fait que les cadres du parti qui l’ont quitté n’ont pas mis au-devant de tout, l’intérêt de la nation et aussi du parti. Pour des problèmes avec des personnes qu’ils connaissent très bien, ils s’en prennent, regrette-t-il, au Président du parti qui n’a absolument rien à avoir avec leurs différents problèmes.
« En tout cas, moi je viens prendre ma place auprès du Président Alassane Ouattara pour poursuivre son œuvre et l’aider pour que tous les prisonniers politiques dont Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé parviennent à rentrer en Côte d’Ivoire pour détendre l’atmosphère », précise-t-il. Avant d’ajouter qu’il a été de tous les combats politiques de ce pays. Notamment celui de 1992 pour la libération des prisonniers politiques sous Félix Houphouët-Boigny.
Il invite donc tous les Ivoiriens encore à l’extérieur à faire confiance au Chef de l’Etat qui a, insiste-t-il, un grand cœur.