5e Djadjoh Carnaval: Gagnoa retrouve son carnaval phare en décembre
La 5e édition du Djadjoh Carnaval se tiendra du 3 au 5 décembre prochain à Gagnoa. Carine Logbo-Koffi, la commissaire générale du festival, l’a indiqué, le vendredi 31 juillet, lors d’une rencontre avec la presse, à Bingerville.
Organisé par l’association Gagnoa Culture, ce carnaval est devenu, au fil des éditions, un rendez-vous culturel majeur de la région du Gôh. Parmi les différentes activités qu’il propose, le grand défilé à travers la ville constitue le principal pôle d’attraction. Cette parade met en exergue les tenues traditionnelles, les danses et autres atouts culturels de la région du Gôh. Notamment des Bété, des Gagou, et des Gouro.
Contrairement aux précédentes éditions, le défilé carnavalesque ouvrira les festivités, suivi d’un concert. Par ailleurs, à en croire la commissaire générale, cette édition verra l’organisation de soirées ‘’Aloukou’’.
«Nous allons mettre l’accent sur cette tradition qu’ont les Bété dans l’organisation des funérailles. On doit le reconnaître, cela fait partie de notre culture et nous allons en dévoiler l’origine, le déroulement, la signification et l’importance. Ça va se faire pendant les prestations de danse sur la place publique. Les femmes viendront faire des démonstrations de pleurs et de danse pendant les funérailles», a-t-elle expliqué.
Selon elle, l’édition 2019 a enregistré près de 15 000 festivaliers. Aussi le comité d’organisation espère-t-il réussir à nouveau le pari de la mobilisation, en dépit de la Covid-19.
Contrairement aux précédentes éditions, le défilé carnavalesque ouvrira les festivités, suivi d’un concert. Par ailleurs, à en croire la commissaire générale, cette édition verra l’organisation de soirées ‘’Aloukou’’.
«Nous allons mettre l’accent sur cette tradition qu’ont les Bété dans l’organisation des funérailles. On doit le reconnaître, cela fait partie de notre culture et nous allons en dévoiler l’origine, le déroulement, la signification et l’importance. Ça va se faire pendant les prestations de danse sur la place publique. Les femmes viendront faire des démonstrations de pleurs et de danse pendant les funérailles», a-t-elle expliqué.
Selon elle, l’édition 2019 a enregistré près de 15 000 festivaliers. Aussi le comité d’organisation espère-t-il réussir à nouveau le pari de la mobilisation, en dépit de la Covid-19.