
Avant le Conseil des ministres, le Chef de l'Etat a présidé, une réunion du Conseil national de sécurité. (Dr)
Avant le Conseil des ministres, le Chef de l'Etat a présidé, une réunion du Conseil national de sécurité. (Dr)
Conseil national de sécurité : Situation sécuritaire et crise au Mali au menu
Le Chef de l’Etat Alassane Ouattara a présidé, hier à la salle mosaïque de la Présidence, une réunion du Conseil national de sécurité. Celle-ci a porté sur la situation sécuritaire sur l’ensemble du territoire national et la mise en œuvre des décisions de la Cedeao après le coup de force au Mali.
Sur le premier point, il faut noter que depuis le 13 août, des partis politiques de l’opposition et des associations de la société civile ont appelé les populations à manifester. On a vu ici et là, dans quelques localités de la Côte d’Ivoire, des violences qui ont fait 6 morts. Notamment à Daoukro, Gagnoa et Bonoua.
Le Conseil national de sécurité a pris des dispositions pour éviter ce genre d’événement malheureux.
La crise au Mali était aussi sur la table du Conseil national de sécurité. Mardi, un coup d’État a été perpétré au Mali. La Cedeao dont fait partie la Côte d’Ivoire a décidé depuis cette date, de suspendre le Mali de tous les organes de décision de la Cedeao avec effet immédiat, conformément au Protocole additionnel sur la Démocratie et la Bonne Gouvernance et ce, jusqu’au rétablissement effectif de l’ordre constitutionnel ; de la fermeture de toutes les frontières terrestres et aériennes ainsi que l’arrêt de tous les flux et transactions économiques, commerciales et financières entre les pays membres de la Cedeao et le Mali et invite tous les partenaires à en faire de même ; demande la mise en œuvre immédiate d’un ensemble de sanctions contre tous les putschistes et leurs partenaires et collaborateurs.
La Côte d’Ivoire a depuis, mardi, fermé ses frontières terrestres et aériennes avec le Mali.
Le Conseil national de sécurité a pris des dispositions pour éviter ce genre d’événement malheureux.
La crise au Mali était aussi sur la table du Conseil national de sécurité. Mardi, un coup d’État a été perpétré au Mali. La Cedeao dont fait partie la Côte d’Ivoire a décidé depuis cette date, de suspendre le Mali de tous les organes de décision de la Cedeao avec effet immédiat, conformément au Protocole additionnel sur la Démocratie et la Bonne Gouvernance et ce, jusqu’au rétablissement effectif de l’ordre constitutionnel ; de la fermeture de toutes les frontières terrestres et aériennes ainsi que l’arrêt de tous les flux et transactions économiques, commerciales et financières entre les pays membres de la Cedeao et le Mali et invite tous les partenaires à en faire de même ; demande la mise en œuvre immédiate d’un ensemble de sanctions contre tous les putschistes et leurs partenaires et collaborateurs.
La Côte d’Ivoire a depuis, mardi, fermé ses frontières terrestres et aériennes avec le Mali.