Autosuffisance en riz : Une multinationale offre ses services au gouvernement
Le ministère de la Promotion de la Riziculture et Ocp-Africa, filiale de la multinationale Ocp, basée au Maroc, ont signé, le 4 septembre, au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire à Cocody, un important accord-cadre de partenariat.
Cette convention vise à permettre au ministère de mettre en œuvre la Stratégie nationale de développement de la riziculture (Sndr 2020-2030) initiée par l’État de Côte d’Ivoire. Cette stratégie dont la mise en œuvre devrait conduire la Côte d’Ivoire à l’autosuffisance en riz à l’horizon 2025 et d’être un grand exportateur africain à l’horizon 2030.
L’accord porte les signatures du ministre de la Promotion de la Riziculture, Gaoussou Touré, et le vice-président Afrique d’Ocp Africa, Mohammed Benzekri. Et a été signé en présence de plusieurs membres du gouvernement, de l’ambassadeur du Maroc en Côte d’Ivoire, Abdelmalek Kettani, et les responsables de structures techniques dédiées à la riziculture.
Quatre principaux domaines de coopération ont été retenus par les deux parties : le développement et la restructuration des chaînes de valeur des activités rizicoles ; le développement des formules fertilisantes adaptées aux besoins des sols et des cultures pour une fertilisation raisonnée ; le déploiement de formations et de sensibilisation des riziculteurs aux bonnes pratiques agricoles et la digitalisation du processus de la chaîne de valeur de la production du riz.
« Le présent accord-cadre vient à point nommé car il contribuera au développement de la riziculture qui constitue une priorité pour le gouvernement. En effet, il apportera une solution à l’épineux problème d’approvisionnement des riziculteurs en engrais (NPK et Urée Nldr) de qualité excellente aux meilleurs prix et il permettra au ministère de la Promotion de la Riziculture de finaliser rapidement les partenariats gagnants-gagnants en cours de préparation qui solutionneront les problèmes importants de la riziculture », a noté le ministre Gaoussou Touré.
Ocp-Africa est la filiale du groupe Ocp, leader mondial sur le marché du phosphate et des engrais phosphatés, engagé pour le développement d’une agriculture durable et prospère, et la mise en place de systèmes alimentaires pérennes en Afrique.
Grâce à son fort ancrage continental et en partenariat avec des acteurs des secteurs public et privé, Ocp Africa contribue à assurer aux petits agriculteurs un meilleur accès à des solutions adaptées aux conditions locales et aux besoins de leurs cultures, et à assurer la disponibilité d’engrais compétitifs à proximité des grands bassins agricoles.
Ce groupe contribuera donc, à travers le présent protocole d’accord, à la redynamisation de la production rizicole en Côte d’Ivoire. Et ses responsables sont convaincus des atouts de la Côte d’Ivoire en matière de riziculture.
« Ocp-Africa est convaincue du potentiel de croissance du secteur de la riziculture en Côte d’Ivoire et souhaite mettre en place des solutions durables et novatrices permettant de lever les principales barrières à sa pleine réalisation. C’est principalement à travers notre approche holistique que nous pourrons fournir aux riziculteurs du pays l’ensemble des conditions nécessaires à l’augmentation pérenne de leurs rendements et revenus », a indiqué Mohammed Benzekri.
Le besoin national de consommation de riz en 2020 est de 2,2 millions de tonnes, couvert par la production nationale estimée à 1,3 million de tonnes soit 60% des besoins, et les importations (900 000 tonnes soit 40% des besoins).
L’accord porte les signatures du ministre de la Promotion de la Riziculture, Gaoussou Touré, et le vice-président Afrique d’Ocp Africa, Mohammed Benzekri. Et a été signé en présence de plusieurs membres du gouvernement, de l’ambassadeur du Maroc en Côte d’Ivoire, Abdelmalek Kettani, et les responsables de structures techniques dédiées à la riziculture.
Quatre principaux domaines de coopération ont été retenus par les deux parties : le développement et la restructuration des chaînes de valeur des activités rizicoles ; le développement des formules fertilisantes adaptées aux besoins des sols et des cultures pour une fertilisation raisonnée ; le déploiement de formations et de sensibilisation des riziculteurs aux bonnes pratiques agricoles et la digitalisation du processus de la chaîne de valeur de la production du riz.
« Le présent accord-cadre vient à point nommé car il contribuera au développement de la riziculture qui constitue une priorité pour le gouvernement. En effet, il apportera une solution à l’épineux problème d’approvisionnement des riziculteurs en engrais (NPK et Urée Nldr) de qualité excellente aux meilleurs prix et il permettra au ministère de la Promotion de la Riziculture de finaliser rapidement les partenariats gagnants-gagnants en cours de préparation qui solutionneront les problèmes importants de la riziculture », a noté le ministre Gaoussou Touré.
Ocp-Africa est la filiale du groupe Ocp, leader mondial sur le marché du phosphate et des engrais phosphatés, engagé pour le développement d’une agriculture durable et prospère, et la mise en place de systèmes alimentaires pérennes en Afrique.
Grâce à son fort ancrage continental et en partenariat avec des acteurs des secteurs public et privé, Ocp Africa contribue à assurer aux petits agriculteurs un meilleur accès à des solutions adaptées aux conditions locales et aux besoins de leurs cultures, et à assurer la disponibilité d’engrais compétitifs à proximité des grands bassins agricoles.
Ce groupe contribuera donc, à travers le présent protocole d’accord, à la redynamisation de la production rizicole en Côte d’Ivoire. Et ses responsables sont convaincus des atouts de la Côte d’Ivoire en matière de riziculture.
« Ocp-Africa est convaincue du potentiel de croissance du secteur de la riziculture en Côte d’Ivoire et souhaite mettre en place des solutions durables et novatrices permettant de lever les principales barrières à sa pleine réalisation. C’est principalement à travers notre approche holistique que nous pourrons fournir aux riziculteurs du pays l’ensemble des conditions nécessaires à l’augmentation pérenne de leurs rendements et revenus », a indiqué Mohammed Benzekri.
Le besoin national de consommation de riz en 2020 est de 2,2 millions de tonnes, couvert par la production nationale estimée à 1,3 million de tonnes soit 60% des besoins, et les importations (900 000 tonnes soit 40% des besoins).