Les panélistes ont répondu aux préoccupations des participants. (DR)
1ère édition des assises du Transport : Des acteurs se penchent sur la sécurité routière
Organisée par Uber, une société américaine de taxis, les participants à la première édition des assises du transport ont bénéficié le 7 septembre, à l'hôtel Palm club et suivi avec grand intérêt les explications des panélistes pour renforcer la sécurité routière en Côte d’Ivoire.
Ces experts ont pour noms : Gahie Wouomon Aristide, directeur de la planification des études et projet à l’Amuga (Autorité de mobilité urbaine du Grand Abidjan) ; Ahoulou Michael, représentant du directeur général de l’Office de sécurité routière (Oser) ; Marjorie Saint Lot, directrice générale de Uber. Tous ont débattu de : « La sécurité routière à l’ère de la digitalisation », thème de ce panel.
A l’occasion, Marijorie Saint Lot a indiqué que ces assises visent à réunir l’écosystème qui gravite autour de la mobilité urbaine afin d’échanger sur les grands changements digitaux qui participent à la promotion et à la professionnalisation du secteur du transport. Et la directrice d’Uber de souligner que cette rencontre est une belle opportunité pour l’entreprise qu’elle représente de mieux comprendre l’environnement du transport en Côte d’Ivoire avec ses particularités et ses spécificités.
De son côté, Gahie Wouomon Aristide note que le transport dans le Grand Abidjan est aujourd’hui confronté à des difficultés tant institutionnelles qu’au niveau des services. C’est pour les juguler, dit-il, que l’Etat de Côte d’Ivoire a créé l’Autorité de la mobilité urbaine dans le Grand Abidjan. Sa mission, organiser et coordonner l’ensemble des systèmes des transports exerçant dans le Grand Abidjan. « Il est aussi important de réorganiser le secteur des transports informels existants et d’appuyer la Sotra. En termes de stratégies des transports urbains, nous avons le projet de mobilité dans le Grand Abidjan ; il est financé par la Banque mondiale et l’Agence française de développement (Afd) pour appuyer le transport informel », a soutenu Gahie Wouomon Aristide.
Le panéliste a également fait savoir que dans le cadre du projet, des actions ont été menées, notamment le renouvellement de 2000 taxis et 1000 minicars, la formation de 5000 chauffeurs, et 1000 entrepreneurs, la réorganisation des lignes de transports collectifs. Ahoulou Michaël a, pour sa part, révélé que l’Oser met un point d’honneur sur la sensibilisation et la formation.
« Nous faisons un recyclage des conducteurs de véhicules, nous faisons la formation de 3500 conducteurs et à ce jour nous sommes à 2000 formés. Les routes évoluent, les véhicules aussi. Notre objectif est de faire en sorte de réduire les risques d’accident », espère Ahoulou Michaël.
A l’occasion, Marijorie Saint Lot a indiqué que ces assises visent à réunir l’écosystème qui gravite autour de la mobilité urbaine afin d’échanger sur les grands changements digitaux qui participent à la promotion et à la professionnalisation du secteur du transport. Et la directrice d’Uber de souligner que cette rencontre est une belle opportunité pour l’entreprise qu’elle représente de mieux comprendre l’environnement du transport en Côte d’Ivoire avec ses particularités et ses spécificités.
De son côté, Gahie Wouomon Aristide note que le transport dans le Grand Abidjan est aujourd’hui confronté à des difficultés tant institutionnelles qu’au niveau des services. C’est pour les juguler, dit-il, que l’Etat de Côte d’Ivoire a créé l’Autorité de la mobilité urbaine dans le Grand Abidjan. Sa mission, organiser et coordonner l’ensemble des systèmes des transports exerçant dans le Grand Abidjan. « Il est aussi important de réorganiser le secteur des transports informels existants et d’appuyer la Sotra. En termes de stratégies des transports urbains, nous avons le projet de mobilité dans le Grand Abidjan ; il est financé par la Banque mondiale et l’Agence française de développement (Afd) pour appuyer le transport informel », a soutenu Gahie Wouomon Aristide.
Le panéliste a également fait savoir que dans le cadre du projet, des actions ont été menées, notamment le renouvellement de 2000 taxis et 1000 minicars, la formation de 5000 chauffeurs, et 1000 entrepreneurs, la réorganisation des lignes de transports collectifs. Ahoulou Michaël a, pour sa part, révélé que l’Oser met un point d’honneur sur la sensibilisation et la formation.
« Nous faisons un recyclage des conducteurs de véhicules, nous faisons la formation de 3500 conducteurs et à ce jour nous sommes à 2000 formés. Les routes évoluent, les véhicules aussi. Notre objectif est de faire en sorte de réduire les risques d’accident », espère Ahoulou Michaël.