Élection et paix : Euphrasie Yao décline sa stratégie à la diplomatie et à ses partenaires
Au cours d’un déjeuner d’échange, les ambassadeurs des États-Unis, d’Israël, la représentante spéciale de l’Ua, le coordonnateur des Nations unies en Côte d’Ivoire, ont pris connaissance du projet du conseiller spécial du Président de la République chargé du genre
«Parce que la paix est non négociable, les femmes et les jeunes se positionnent ! ». C’est le thème principal de la campagne de sensibilisation à la paix lancée récemment par Euphrasie Kouassi Yao, conseiller spécial du Président de la République chargé du genre, responsable de la Chaire Unesco.
Pour expliquer cette vision, elle a convié, le 10 septembre, des diplomates dont le coordonnateur résident du système des Nations unies en Côte d’Ivoire, Philippe Poinsot, celui des États-Unis, Richard K. Bell, l’ambassadeur d’Israël, Leo Vinovesky, la représentante spéciale de l’Union africaine, Joséphine Mayuma Kala à un déjeuner d’échanges à l’hôtel Tiama, au Plateau.
En présence d’acteurs du secteur privé, de la société civile, d’organisations de femmes et de jeunes, elle a décliné son plan d’actions qui compte trois axes principaux. Il s’agit des projets « Je m’engage pour la paix », « Médiation des femmes leaders et engagées » et du « Programme assistance psychologique, genre et médiation communautaire ».
A travers ces différents projets, elle entend, entre autres, informer, sensibiliser, motiver les femmes et les jeunes ivoiriens à s’engager et à adopter des attitudes et comportements qui préservent la paix pendant la période pré et post-électorale.
Pour la titulaire de la Chaire Unesco, son rêve à travers une telle initiative, est de voir « une Côte d’Ivoire unie, réconciliée et prospère dans laquelle les femmes et les hommes bénéficient des mêmes chances, des mêmes droits et opportunités de sorte à vivre ensemble et à travailler dans un environnement paisible ». Elle invite toutes les couches ciblées à s’y impliquer afin de contribuer à l’aboutissement de ce rêve. Euphrasie Yao souhaite concrètement que chaque habitant de la Côte d’Ivoire pose un acte, quel qu’il soit, pour que l’objectif soit atteint.
« La paix est une activité et non une passivité. Être un spectateur passif face aux interactions violentes des autres tue la paix », dénonce-t-elle. Avant de conclure que la Côte d’Ivoire n’a aucun intérêt à détruire les fondamentaux de la paix construits durant 30 années et qui positionnent la Côte d’Ivoire dans le concert des nations.
Saluant l’initiative, Philippe Poinsot, coordonnateur résident du système des Nations unies a fait savoir qu’elle est la bienvenue. Parce qu’au cours d’un sondage réalisé par ses services auprès de 48 mille jeunes pour s’enquérir de leurs vœux en cette période électorale, « ils ont souhaité que la Côte d’Ivoire soit en paix et qu’ils aient accès à l’emploi ».
Dans la même veine, l’action de la présidente du Compendium des compétences féminines de Côte d’Ivoire (Cocofci) a, tour à tour, été apprécié par l’ambassadeur des États-Unis et celui d’Israël en Côte d’Ivoire qui ont appelé les participants et les cibles à s’y engager. Afin que la Côte d’Ivoire qui, précise l’ambassadeur des Usa, représente une véritable locomotive de développement des pays de la sous-région, poursuive son rôle
En présence d’acteurs du secteur privé, de la société civile, d’organisations de femmes et de jeunes, elle a décliné son plan d’actions qui compte trois axes principaux. Il s’agit des projets « Je m’engage pour la paix », « Médiation des femmes leaders et engagées » et du « Programme assistance psychologique, genre et médiation communautaire ».
A travers ces différents projets, elle entend, entre autres, informer, sensibiliser, motiver les femmes et les jeunes ivoiriens à s’engager et à adopter des attitudes et comportements qui préservent la paix pendant la période pré et post-électorale.
Pour la titulaire de la Chaire Unesco, son rêve à travers une telle initiative, est de voir « une Côte d’Ivoire unie, réconciliée et prospère dans laquelle les femmes et les hommes bénéficient des mêmes chances, des mêmes droits et opportunités de sorte à vivre ensemble et à travailler dans un environnement paisible ». Elle invite toutes les couches ciblées à s’y impliquer afin de contribuer à l’aboutissement de ce rêve. Euphrasie Yao souhaite concrètement que chaque habitant de la Côte d’Ivoire pose un acte, quel qu’il soit, pour que l’objectif soit atteint.
« La paix est une activité et non une passivité. Être un spectateur passif face aux interactions violentes des autres tue la paix », dénonce-t-elle. Avant de conclure que la Côte d’Ivoire n’a aucun intérêt à détruire les fondamentaux de la paix construits durant 30 années et qui positionnent la Côte d’Ivoire dans le concert des nations.
Saluant l’initiative, Philippe Poinsot, coordonnateur résident du système des Nations unies a fait savoir qu’elle est la bienvenue. Parce qu’au cours d’un sondage réalisé par ses services auprès de 48 mille jeunes pour s’enquérir de leurs vœux en cette période électorale, « ils ont souhaité que la Côte d’Ivoire soit en paix et qu’ils aient accès à l’emploi ».
Dans la même veine, l’action de la présidente du Compendium des compétences féminines de Côte d’Ivoire (Cocofci) a, tour à tour, été apprécié par l’ambassadeur des États-Unis et celui d’Israël en Côte d’Ivoire qui ont appelé les participants et les cibles à s’y engager. Afin que la Côte d’Ivoire qui, précise l’ambassadeur des Usa, représente une véritable locomotive de développement des pays de la sous-région, poursuive son rôle