Crystal Taekwondo académie : De belles retrouvailles autour du Grand maître Kraidy
Le Grand maître du taekwondo ivoirien, Lucien Kraidy (ceinture noire, 7e dan Kukkiwon), est devenu un symbole à la Fédération ivoirienne. Père fondateur du club Crystal taekwondo académie, formateur, pédagogue averti (enseignant à l’École normale supérieure), il n’a pas fait que des émules, il est un modèle que ses anciens élèves devenus des maîtres ont tenu à magnifier.
Le 11 septembre dernier, ils se sont retrouvés en grand nombre autour d’un copieux repas, en bordure de lagune, dans la commune de Port-Bouët, pour lui rendre un vibrant hommage. De ces retrouvailles pourrait naître, sous peu, une amicale des anciens de Crystal.
Un club emblématique qui a vu sortir de ses différentes salles, des champions, mais aussi de grands maîtres et de très grands formateurs, tels l’actuel Directeur technique national (Dtn), Me Jean-Jacques Niava, des arbitres de renom tels que Me Ediémou et des dirigeants émérites de la trempe des Serges Nabi Soumah (ceinture noire, 4e dan), président de la Ligue communale de Cocody) et le patron de la Ligue d’Adjamé, Barthélémy Bindé (ceinture noire, 5e dan).
« C’était une rencontre de retrouvailles entre des maîtres du club de taekwondo Crystal. Un club créé par le Grand maître Lucien Kraidy, qui est aujourd’hui vice-président de la Fédération ivoirienne de taekwondo. Ce maître a non seulement créé le club, mais il a formé des élèves qui, à leur tour, ont créé des clubs et formé d’autres personnes. Il y a un moment où il fallait marquer le coup et rendre hommage à ce grand maître », expliquait Me Niava, un des cerveaux sur lesquels s’appuie le président Bamba Cheick Daniel pour réaliser toutes ces merveilles pour le taekwondo.
La rencontre de Port-Bouët qui n’est certainement pas la dernière aura permis aux anciens champions de revenir sur leurs exploits passés, mais surtout à tous ceux, parmi eux, qui avaient décroché un tant soit peu de renouer avec la famille.
« Je suis très ému. Cela fait très longtemps qu’on ne s’était pas vu. Exactement 30 ans pour la plupart. Quand on se séparait, certains avaient à peine 10-12 ans. Aujourd’hui, ils sont devenus des pères de famille que j’ai eu du mal à reconnaître. Franchement, je ne m’attendais pas à les voir si nombreux. Maintenant, il va falloir aller au-delà et formaliser tout cela pour devenir une véritable famille adossée sur des actions sociales et autres, mais toujours au service du taekwondo », a indiqué le Grand maître.
Des idées que le président Serges Soumah et ses camarades travaillent déjà à rendre concrètes.
Un club emblématique qui a vu sortir de ses différentes salles, des champions, mais aussi de grands maîtres et de très grands formateurs, tels l’actuel Directeur technique national (Dtn), Me Jean-Jacques Niava, des arbitres de renom tels que Me Ediémou et des dirigeants émérites de la trempe des Serges Nabi Soumah (ceinture noire, 4e dan), président de la Ligue communale de Cocody) et le patron de la Ligue d’Adjamé, Barthélémy Bindé (ceinture noire, 5e dan).
« C’était une rencontre de retrouvailles entre des maîtres du club de taekwondo Crystal. Un club créé par le Grand maître Lucien Kraidy, qui est aujourd’hui vice-président de la Fédération ivoirienne de taekwondo. Ce maître a non seulement créé le club, mais il a formé des élèves qui, à leur tour, ont créé des clubs et formé d’autres personnes. Il y a un moment où il fallait marquer le coup et rendre hommage à ce grand maître », expliquait Me Niava, un des cerveaux sur lesquels s’appuie le président Bamba Cheick Daniel pour réaliser toutes ces merveilles pour le taekwondo.
La rencontre de Port-Bouët qui n’est certainement pas la dernière aura permis aux anciens champions de revenir sur leurs exploits passés, mais surtout à tous ceux, parmi eux, qui avaient décroché un tant soit peu de renouer avec la famille.
« Je suis très ému. Cela fait très longtemps qu’on ne s’était pas vu. Exactement 30 ans pour la plupart. Quand on se séparait, certains avaient à peine 10-12 ans. Aujourd’hui, ils sont devenus des pères de famille que j’ai eu du mal à reconnaître. Franchement, je ne m’attendais pas à les voir si nombreux. Maintenant, il va falloir aller au-delà et formaliser tout cela pour devenir une véritable famille adossée sur des actions sociales et autres, mais toujours au service du taekwondo », a indiqué le Grand maître.
Des idées que le président Serges Soumah et ses camarades travaillent déjà à rendre concrètes.