
De gauche à droite, Jean-Claude Coulibaly, Rosine Anoh Kacou, Raymond Dibi et Alafé Wakili. (DR)
De gauche à droite, Jean-Claude Coulibaly, Rosine Anoh Kacou, Raymond Dibi et Alafé Wakili. (DR)
Livre/‘’Journalistes et élections en Côte d’Ivoire’’: Raymond Dibi attire l’attention sur le poids de la plume
Le journaliste-écrivain Raymond Dibi a officiellement présenté le 14 septembre au Plateau, son œuvre intitulée ‘’Journalistes et élections en Côte d’Ivoire’’.
L’ouvrage de 89 pages, nous replonge au cœur de la crise de 2010 en mettant en lumière le témoignage de certains journalistes témoins de ce passage douloureux de l’histoire de la Côte d’Ivoire.
L’auteur, à travers son œuvre, nous exhorte à regarder dans le rétroviseur de ce passé sombre afin d’en tirer des leçons pour éviter une nouvelle crise à la Côte d’Ivoire lors de l’élection présidentielle de 2020. Il en appelle au sens de la responsabilité de tous pour une paix durable.
Pour Raymond Dibi, le contexte sociopolitique actuel présente les mêmes signes annonciateurs qui ont précédé la déflagration de 2011. Il s’agit, selon ses explications, d’un rappel en vue d’attirer l’attention de tous. Notamment des journalistes sur leur responsabilité et la nécessité de se montrer professionnels dans la manipulation de l’information en cette période sensible de la joute électorale. «Le livre n’entend pas faire un procès, mais interpeller les journalistes et par extension les acteurs de la vie socio-politique», a-t-il précisé.
L’auteur a reçu les encouragements de Jean-Claude Coulibaly, président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), parrain de la cérémonie. Il a regretté la rareté des productions d’œuvres littéraires parmi la corporation des journalistes.
«Le journaliste ne doit pas se contenter de se confiner à l’écriture au sein de sa rédaction. C’est aussi un intellectuel accompli pourvu d’une riche culture, et d’un sens aigu d’analyse. C’est un essayiste et un écrivain en puissance», a-t-il laissé entendre.
Abondant dans le même sens, Rosine Anoh Kacou, a, au nom du ministre de la Communication et des Médias, traduit sa fierté devant la qualité du travail présenté et la pertinence du sujet abordé dans cette œuvre.
La cérémonie a enregistré la présence de nombreux acteurs des médias et écrivains, à l’image de Alafé Wakili et Anzata Ouattara. La phase des échanges a été l’occasion pour eux de partager leur espoir de voir le message véhiculé atteindre son but. C’est-à-dire contribuer à l'organisation d'une élection apaisée.
Avec cet appel à l’éveil des consciences, Raymond Dibi, titulaire d’un master en journalisme, signe sa toute première œuvre littéraire.
L’auteur, à travers son œuvre, nous exhorte à regarder dans le rétroviseur de ce passé sombre afin d’en tirer des leçons pour éviter une nouvelle crise à la Côte d’Ivoire lors de l’élection présidentielle de 2020. Il en appelle au sens de la responsabilité de tous pour une paix durable.
Pour Raymond Dibi, le contexte sociopolitique actuel présente les mêmes signes annonciateurs qui ont précédé la déflagration de 2011. Il s’agit, selon ses explications, d’un rappel en vue d’attirer l’attention de tous. Notamment des journalistes sur leur responsabilité et la nécessité de se montrer professionnels dans la manipulation de l’information en cette période sensible de la joute électorale. «Le livre n’entend pas faire un procès, mais interpeller les journalistes et par extension les acteurs de la vie socio-politique», a-t-il précisé.
L’auteur a reçu les encouragements de Jean-Claude Coulibaly, président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), parrain de la cérémonie. Il a regretté la rareté des productions d’œuvres littéraires parmi la corporation des journalistes.
«Le journaliste ne doit pas se contenter de se confiner à l’écriture au sein de sa rédaction. C’est aussi un intellectuel accompli pourvu d’une riche culture, et d’un sens aigu d’analyse. C’est un essayiste et un écrivain en puissance», a-t-il laissé entendre.
Abondant dans le même sens, Rosine Anoh Kacou, a, au nom du ministre de la Communication et des Médias, traduit sa fierté devant la qualité du travail présenté et la pertinence du sujet abordé dans cette œuvre.
La cérémonie a enregistré la présence de nombreux acteurs des médias et écrivains, à l’image de Alafé Wakili et Anzata Ouattara. La phase des échanges a été l’occasion pour eux de partager leur espoir de voir le message véhiculé atteindre son but. C’est-à-dire contribuer à l'organisation d'une élection apaisée.
Avec cet appel à l’éveil des consciences, Raymond Dibi, titulaire d’un master en journalisme, signe sa toute première œuvre littéraire.