Education complète à la sexualité : Les parties prenantes plaident pour accélérer l’opérationnalisation de son enseignement
Un atelier de consensus national pour accélérer l’opérationnalisation de l’enseignement de l’Education complète à la sexualité (Ecs) en milieu scolaire et hors scolaire en Côte d’Ivoire, s’est tenu le 25 septembre 2020, à Abidjan-Plateau.
Il s’est agi au cours de cet atelier d’amener le Ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement technique et de la formation professionnelle à prendre l’engagement d’accélérer le processus de mise en œuvre de l’Ecs dans les programmes scolaires et hors scolaires.
Cet atelier, faut-il le souligner, s’inscrit dans la mise en œuvre du projet Educasso, c’est-à-dire, le plaidoyer pour le renforcement de l’Ecs dans les programmes scolaires en Côte d’Ivoire. « Depuis mars 2018, l’Ong Mission des jeunes pour l'Education la Santé la Solidarité et l’inclusion (Messi) et l’Association des femmes juristes de Côte d’Ivoire (Afjci) mettent en œuvre le projet Educasso qui a pour objectif de renforcer la prise en compte de l’Ecs dans les programmes scolaires. Nos activités dans ce cadre ont pu capter l’attention des décideurs et des communautés grâce aux stratégies utilisées, notamment la mobilisation sociale et politique », a indiqué Maitre Assa Simone, présidente de l’Association des femmes juristes de Côte d’Ivoire.
A l’en croire l’Afjci et l’Ong Messi sont résolument engagées pour la promotion des droits en santé sexuelle et reproductive. « Cet engagement passe par une éducation à la santé et à une vie saine », dira-t-elle. Avant d’interpeller, parents et enseignants en leur disant que s’ils ne donnent pas une éducation à la sexualité à leurs enfants, d’autres le feront à leur place et de la manière la plus mauvaise.
A Mme la représentante du ministre de l’éducation nationale, elle affirmé qu’à travers l’engagement pris pour accélérer l’opérationnalisation de l’ECS, le ministère va permettre aux jeunes d’avoir des compétences nécessaires. Et ce, pour prendre en charge leur vie sexuelle. Tout en abordant la sexualité sur tous ces aspects, éthique, biologique, émotionnelle, culturelle, sociale...
Pour sa part, Mme Essey Célestine, représentante de la ministre de l’Education nationale, a salué la synergie d’action entre l’Association des femmes juristes de Côte d’Ivoire et l’Ong Messi. Le sujet, dira-t-elle, est d’une importance capitale et préoccupe la ministre Kandia Camara, les parents et la société civile, en raison de nombreux cas de grossesse en cours de scolarité. Les grossesses en milieu scolaire, a-t-elle déploré, sont devenues un fléau par manque d’éducation.
Cet atelier a été l’occasion pour les parties prenantes de partager les résultats de la phase 1 du projet Educasso. Et surtout de présenter les avancées et les limites dans la mise en œuvre des programmes Ecs.
Cet atelier, faut-il le souligner, s’inscrit dans la mise en œuvre du projet Educasso, c’est-à-dire, le plaidoyer pour le renforcement de l’Ecs dans les programmes scolaires en Côte d’Ivoire. « Depuis mars 2018, l’Ong Mission des jeunes pour l'Education la Santé la Solidarité et l’inclusion (Messi) et l’Association des femmes juristes de Côte d’Ivoire (Afjci) mettent en œuvre le projet Educasso qui a pour objectif de renforcer la prise en compte de l’Ecs dans les programmes scolaires. Nos activités dans ce cadre ont pu capter l’attention des décideurs et des communautés grâce aux stratégies utilisées, notamment la mobilisation sociale et politique », a indiqué Maitre Assa Simone, présidente de l’Association des femmes juristes de Côte d’Ivoire.
A l’en croire l’Afjci et l’Ong Messi sont résolument engagées pour la promotion des droits en santé sexuelle et reproductive. « Cet engagement passe par une éducation à la santé et à une vie saine », dira-t-elle. Avant d’interpeller, parents et enseignants en leur disant que s’ils ne donnent pas une éducation à la sexualité à leurs enfants, d’autres le feront à leur place et de la manière la plus mauvaise.
A Mme la représentante du ministre de l’éducation nationale, elle affirmé qu’à travers l’engagement pris pour accélérer l’opérationnalisation de l’ECS, le ministère va permettre aux jeunes d’avoir des compétences nécessaires. Et ce, pour prendre en charge leur vie sexuelle. Tout en abordant la sexualité sur tous ces aspects, éthique, biologique, émotionnelle, culturelle, sociale...
Pour sa part, Mme Essey Célestine, représentante de la ministre de l’Education nationale, a salué la synergie d’action entre l’Association des femmes juristes de Côte d’Ivoire et l’Ong Messi. Le sujet, dira-t-elle, est d’une importance capitale et préoccupe la ministre Kandia Camara, les parents et la société civile, en raison de nombreux cas de grossesse en cours de scolarité. Les grossesses en milieu scolaire, a-t-elle déploré, sont devenues un fléau par manque d’éducation.
Cet atelier a été l’occasion pour les parties prenantes de partager les résultats de la phase 1 du projet Educasso. Et surtout de présenter les avancées et les limites dans la mise en œuvre des programmes Ecs.