Dr. Joseph Boguifo, président du Conseil d’administration de la Fipme (au centre), entouré des membres. (DR)
Dr. Joseph Boguifo, président du Conseil d’administration de la Fipme (au centre), entouré des membres. (DR)
Petites et moyennes entreprises : La FIPME commémore ses 25 ans
La Fédération ivoirienne des petites et moyennes entreprises (Fipme) a organisé une conférence de presse, jeudi, pour marquer le début des festivités de son jubilé d’argent.
28 septembre 1995 – 28 septembre 2020. Cela fait exactement 25 ans que la Fédération ivoirienne des petites et moyennes entreprises (Fipme) a été créée. A cet effet, une conférence de presse a été organisé le 1er octobre 2020, au Palm club, à Cocody, pour marquer cet événement inédit.
A cette occasion, Dr. Joseph Boguifo, Président du conseil d’administration (Pca) de la Fipme s’est réjoui de la célébration de ce jubilé d’argent qui, selon lui, marque une étape décisive de la vie de l’organisation qu’il préside. « Nous avons franchir certaines étapes et la Fipme est sur la bonne voie. Car, notre fédération occupe une place incontournable », a-t-il dit. Non, sans insister sur le fait que cette organisation patronale est une faitière que revendique aujourd’hui 34 associations et fédérations de différents secteurs d’activités plus de 33 000 membres composés de Pme, Pmi et Tpe réparties sur l’ensemble du territoire national. Dr. Joseph Boguifo a annoncé l’inauguration très prochaine du nouveau siège de la faitière et l’organisation de grandes festivités au mois de novembre 2020.
Le Pca a été également donné la position de la Fipme sur la mise en place de la Plateforme unique des Pme (Pu-Pme). A l’en croire, son organisation fait partie de celle qui ont initiées la création de cette plateforme. Avant d’insister que le fait que la Fipme n’a pas signé le document devant conduire à la mise en œuvre de la Pu-Pme pour des questions de principes.
« Au départ, il s’agissait de créer une plateforme de concertation entre trois structures, la Fipme, la Cgpme et la Mpme. Malheureusement, elle a évolué autrement avec l’arrivée de deux autres structures qui ne remplissent pas les conditions pour participer à ce niveau de concertation », a tenu à préciser Dr. Joseph Boguifo. Et d’ajouter « il n’était nullement question de créer une plateforme unique qui allait parler au nom des Pme en Côte d’Ivoire. Et cette situation peut être source de conflits internes. Car, la Pu-Pme ne peut pas être un organe. Il n’est qu’un cadre de concertation ». Toutefois, Dr. Joseph Boguifo, au nom de la Fipme, s’est dit toujours ouvert pour échanger sur la question en vue de trouver une solution à la situation qui prévaut...
Cléophas Diby Lolo, vice-président de la Fipme, a pour sa part rappelé la mission de la faitière qui est « d’accompagner l’Etat pour avoir une masse critique de Pme compétitives en Côte d’Ivoire ». Avant d’ajouter que la Fipme est la deuxième plus grande organisation patronale après la Confédération générale des entreprises de Cote d’Ivoire (Cgeci).
Le vice-président est ensuite revenu sur quelques grandes actions et initiatives mises en œuvre par la faitière ces dernières années. Il s’agit, notamment de la Caravane 100 000 femmes pour l’entrepreneuriat, les Journées promotionnelles des Pme et de l’Artisanat, la forte implication dans les activités des jeunes avec l’Agence emploi jeunes (Aej), etc.
En termes de perspectives 2021-2025, Cléophas Diby Lolo a fait savoir l’engagement de son organisation à continuer le renforcement des capacités de gestion et techniques de ses membres, la mise en place d’un réseau d’experts consultants de la Fipme, la création d’une banque des Pme en Côte d’Ivoire, etc. « Tout cela devrait contribuer à hisser la contribution des Pme de 20% à 40% du Produit intérieur brut (Pib) de la Côte d’Ivoire », a-t-il projeté.
Le Pca a été également donné la position de la Fipme sur la mise en place de la Plateforme unique des Pme (Pu-Pme). A l’en croire, son organisation fait partie de celle qui ont initiées la création de cette plateforme. Avant d’insister que le fait que la Fipme n’a pas signé le document devant conduire à la mise en œuvre de la Pu-Pme pour des questions de principes.
« Au départ, il s’agissait de créer une plateforme de concertation entre trois structures, la Fipme, la Cgpme et la Mpme. Malheureusement, elle a évolué autrement avec l’arrivée de deux autres structures qui ne remplissent pas les conditions pour participer à ce niveau de concertation », a tenu à préciser Dr. Joseph Boguifo. Et d’ajouter « il n’était nullement question de créer une plateforme unique qui allait parler au nom des Pme en Côte d’Ivoire. Et cette situation peut être source de conflits internes. Car, la Pu-Pme ne peut pas être un organe. Il n’est qu’un cadre de concertation ». Toutefois, Dr. Joseph Boguifo, au nom de la Fipme, s’est dit toujours ouvert pour échanger sur la question en vue de trouver une solution à la situation qui prévaut...
Cléophas Diby Lolo, vice-président de la Fipme, a pour sa part rappelé la mission de la faitière qui est « d’accompagner l’Etat pour avoir une masse critique de Pme compétitives en Côte d’Ivoire ». Avant d’ajouter que la Fipme est la deuxième plus grande organisation patronale après la Confédération générale des entreprises de Cote d’Ivoire (Cgeci).
Le vice-président est ensuite revenu sur quelques grandes actions et initiatives mises en œuvre par la faitière ces dernières années. Il s’agit, notamment de la Caravane 100 000 femmes pour l’entrepreneuriat, les Journées promotionnelles des Pme et de l’Artisanat, la forte implication dans les activités des jeunes avec l’Agence emploi jeunes (Aej), etc.
En termes de perspectives 2021-2025, Cléophas Diby Lolo a fait savoir l’engagement de son organisation à continuer le renforcement des capacités de gestion et techniques de ses membres, la mise en place d’un réseau d’experts consultants de la Fipme, la création d’une banque des Pme en Côte d’Ivoire, etc. « Tout cela devrait contribuer à hisser la contribution des Pme de 20% à 40% du Produit intérieur brut (Pib) de la Côte d’Ivoire », a-t-il projeté.