Atteinte à la sûreté de l’Etat: Le procureur de la République confirme l’implication de Guillaume Soro
Adou Richard a fait le mardi 6 octobre, au palais de la justice du Plateau, le point sur la procédure judiciaire engagée contre Guillaume Soro et les 47 personnes qui avaient été citées dans un projet de déstabilisation de la Côte d’Ivoire.
En sa qualité de procureur de la République, il a informé que cette étape intervient après l’investigation du juge d’instruction. Le magistrat du ministère public a annoncé que l’information judiciaire ouverte par le juge en question, après enquête, révèle que les 19 personnes n’étaient nullement impliquées dans la commission des différentes infractions à elles reprochées. Et par conséquent, un non-lieu total a donc été requis à leur encontre conformément aux dispositions des articles 209 et 211 du code de procédure pénale.
Adou Richard a précisé qu’en revanche, cette information judiciaire a mis en évidence l’implication effective et active de 8 personnes dans la commission des faits de trouble à l’ordre public, diffusion et publication de nouvelles fausses jetant le discrédit sur les institutions et leur fonctionnement et ayant entraîné une atteinte au moral des populations.
Il a ajouté que ces faits prévus et punis par les articles 179, 183 et 190 du code pénal étant de nature délictuelle, leur renvoi devant le tribunal correctionnel pour y être jugés conformément à la loi, a été requis. Il s’agit entre autres de Soro Kanigui Mamadou, Mamadou Djibo, enseignant, Tehfour Koné, Camara Loukimane, Yao Soumaïla, Ouattara Marc, Kandoh Soumahoro, Karidioula Souleymane.
Le procureur de la République a, par ailleurs, soutenu que l’information judiciaire a démontré indubitablement la participation active de Guillaume Soro et 19 de ses proches dans « la commission des faits de complot et atteinte contre l’autorité de l’État, diffusion et publication de nouvelles fausses jetant le discrédit sur les institutions et leur fonctionnement et ayant entraîné une atteinte au moral des populations et trouble à l’ordre public ; tentative de complot et tentative d’atteinte contre l’autorité de l’État et l’intégrité du territoire national, pour certains ».
Au nombre de ces concernés, il a entre autres cité Soro Porlo Rigobert, Affoussiata Bamba-Lamine, Lobognon Alain, Koné Kamaraté Souleymane alias « Soul to Soul », Soro SIMON, Sékongo Félicien, Traoré Babou, Kassé Kouamé Jean-Baptiste, Zébret Souleymane, Issiaka Fofana, Touré Moussa, Sess Soukou Mohamed. « Ces faits étant de nature criminelle, nous avons requis, conformément aux dispositions des articles 210 et 215 du code de procédure pénale, la transmission au procureur général près la Cour d’Appel d’Abidjan, du dossier de la procédure et un état des pièces servant à conviction, aux fins de saisine de la chambre d’instruction », a-t-il spécifié.
Le procureur de la République a informé que les personnes transférées devant le tribunal correctionnel risquent une peine d’emprisonnement de 5 à 10 ans, si leur culpabilité est établie. Quant aux 20 personnes dont Guillaume Soro renvoyées devant la chambre d’instruction, elles seront condamnées à perpétuité si elles sont reconnues coupables, selon lui.
Adou Richard a précisé qu’en revanche, cette information judiciaire a mis en évidence l’implication effective et active de 8 personnes dans la commission des faits de trouble à l’ordre public, diffusion et publication de nouvelles fausses jetant le discrédit sur les institutions et leur fonctionnement et ayant entraîné une atteinte au moral des populations.
Il a ajouté que ces faits prévus et punis par les articles 179, 183 et 190 du code pénal étant de nature délictuelle, leur renvoi devant le tribunal correctionnel pour y être jugés conformément à la loi, a été requis. Il s’agit entre autres de Soro Kanigui Mamadou, Mamadou Djibo, enseignant, Tehfour Koné, Camara Loukimane, Yao Soumaïla, Ouattara Marc, Kandoh Soumahoro, Karidioula Souleymane.
Le procureur de la République a, par ailleurs, soutenu que l’information judiciaire a démontré indubitablement la participation active de Guillaume Soro et 19 de ses proches dans « la commission des faits de complot et atteinte contre l’autorité de l’État, diffusion et publication de nouvelles fausses jetant le discrédit sur les institutions et leur fonctionnement et ayant entraîné une atteinte au moral des populations et trouble à l’ordre public ; tentative de complot et tentative d’atteinte contre l’autorité de l’État et l’intégrité du territoire national, pour certains ».
Au nombre de ces concernés, il a entre autres cité Soro Porlo Rigobert, Affoussiata Bamba-Lamine, Lobognon Alain, Koné Kamaraté Souleymane alias « Soul to Soul », Soro SIMON, Sékongo Félicien, Traoré Babou, Kassé Kouamé Jean-Baptiste, Zébret Souleymane, Issiaka Fofana, Touré Moussa, Sess Soukou Mohamed. « Ces faits étant de nature criminelle, nous avons requis, conformément aux dispositions des articles 210 et 215 du code de procédure pénale, la transmission au procureur général près la Cour d’Appel d’Abidjan, du dossier de la procédure et un état des pièces servant à conviction, aux fins de saisine de la chambre d’instruction », a-t-il spécifié.
Le procureur de la République a informé que les personnes transférées devant le tribunal correctionnel risquent une peine d’emprisonnement de 5 à 10 ans, si leur culpabilité est établie. Quant aux 20 personnes dont Guillaume Soro renvoyées devant la chambre d’instruction, elles seront condamnées à perpétuité si elles sont reconnues coupables, selon lui.