Adzopé: 10.000 jeunes célèbrent la paix
Prôner la paix, la stabilité pour le développement de leur région et de toute la Côte d’Ivoire, est la raison qui a réuni les jeunes des départements d'Adzopé, Akoupé, Alépé et Yakassé-Attobrou qui constituent la région de la Mé, soutenus par ceux venus d’Anyama et d’Agboville, le 10 octobre 2020, pour remplir le stade Alassane Ouattara d’Adzopé, capitale de la région.
Fortement mobilisés, leur objectif, sauver leur région des déstabilisateurs qui s’adonnent à l’intoxication, réveiller les consciences. Du moins celles de quelques jeunes qui se laissent manipuler par des personnes de mauvaises intentions. Qui selon eux, n'ont pas l'air de se rendre compte de l'urgence de la paix et la stabilité dans la région.
Le samedi 10 octobre, dans des campements, villages des différents départements, ce sont des dizaines de milliers de jeunes qui ont décidé de ne pas se laisser conter l’évènement, et ont remplis les cars de transports pour rallier le stade à Adzopé. « Nous venons d’arriver d’Akoupé. Il n’était pas question de ne pas venir écouter ces messages de paix qui est pour nous, plus que nécessaire pour le développement de notre région, qui, grâce au ministre Patrick Achi est réel », a lancé Chimène Ahua, qui venait de descendre d’un convoi. Les trais de son visage, montraient une joie indescriptive.
Une joie que viendra amplifier l’entrée en ce moment-là, de celui qu’ils appellent le bâtisseur. Le ministre Patrick Achi. Qui, vu le monde composé essentiellement de jeunes, va crier : « je suis fière de vous. Par cette grande mobilisation, vous démontrez votre attachement à la paix et aux actions de développement qui ne peuvent se poursuivre que dans la paix et la stabilité ».
A l’entrée du stade, aux alentours, ce sont des centaines de jeunes qui n’ont n’ayant pas eu de place, écoutaient les différents messages et discours via les écrans. A l’intérieur, des jeunes se bousculaient sous la vingtaine de bâches disposées sur les angles de la pelouse. Au centre du stade, les centaines de chaises placées ne pouvaient plus contenir les jeunes, dont la majorité étaient obligée de se tenir debout hors des barbelés pour assister à l’évènement. Egalement, autour du stade, ce sont des centaines de cars et de Gbaka qui ont servi à transporter les festivaliers, qui démontraient la masse de jeunes qui ont effectué le déplacement. Le tout, sous la vigilance, de nombreux agents de force et de l’ordre et de sécurité qui assuraient la sécurité aidés par d’autres jeunes volontaires. A en croire Hugues Achi, président de la jeunesse communale, ces jeunes qui se déplacés pouvaient atteindre 10 mille.
Le samedi 10 octobre, dans des campements, villages des différents départements, ce sont des dizaines de milliers de jeunes qui ont décidé de ne pas se laisser conter l’évènement, et ont remplis les cars de transports pour rallier le stade à Adzopé. « Nous venons d’arriver d’Akoupé. Il n’était pas question de ne pas venir écouter ces messages de paix qui est pour nous, plus que nécessaire pour le développement de notre région, qui, grâce au ministre Patrick Achi est réel », a lancé Chimène Ahua, qui venait de descendre d’un convoi. Les trais de son visage, montraient une joie indescriptive.
Une joie que viendra amplifier l’entrée en ce moment-là, de celui qu’ils appellent le bâtisseur. Le ministre Patrick Achi. Qui, vu le monde composé essentiellement de jeunes, va crier : « je suis fière de vous. Par cette grande mobilisation, vous démontrez votre attachement à la paix et aux actions de développement qui ne peuvent se poursuivre que dans la paix et la stabilité ».
A l’entrée du stade, aux alentours, ce sont des centaines de jeunes qui n’ont n’ayant pas eu de place, écoutaient les différents messages et discours via les écrans. A l’intérieur, des jeunes se bousculaient sous la vingtaine de bâches disposées sur les angles de la pelouse. Au centre du stade, les centaines de chaises placées ne pouvaient plus contenir les jeunes, dont la majorité étaient obligée de se tenir debout hors des barbelés pour assister à l’évènement. Egalement, autour du stade, ce sont des centaines de cars et de Gbaka qui ont servi à transporter les festivaliers, qui démontraient la masse de jeunes qui ont effectué le déplacement. Le tout, sous la vigilance, de nombreux agents de force et de l’ordre et de sécurité qui assuraient la sécurité aidés par d’autres jeunes volontaires. A en croire Hugues Achi, président de la jeunesse communale, ces jeunes qui se déplacés pouvaient atteindre 10 mille.