Conservation des parcs nationaux d’Azagny et des Îles Ehotilés: L’Oipr et le projet Waca signent une convention
L’Office ivoirien des parcs et réserves (Oipr) et le Programme de gestion du littoral ouest-africain Côte d’Ivoire (projet Waca) ont décidé de mutualiser leurs forces en vue de renforcer les actions de conservation et de protection des parcs nationaux d’Azagny et des Îles Ehotilés.
Le directeur général de l’Oipr, colonel Tondossama Adama et Ochou Abé Delfin, coordonnateur du projet Waca, ont signé, à cet effet, le 14 octobre, une convention, à Angré ; en présence du directeur de cabinet du ministre de l’Environnement et du Développement durable, François Kouablan.
Les activités qui seront conduites dans le cadre de cette convention visent, selon le colonel Tondossama Adama, à aménager et restaurer les écosystèmes de mangroves de ces aires protégées permettant, ainsi, de contribuer à la préservation du cordon littoral.
Le patron de l’Oipr a rassuré que sa structure mettra tout en œuvre pour mener à bien toutes les activités inscrites dans le plan d’actions en accordant une attention particulière à l’appui aux populations riveraines desdites aires protégées.
Kouablan François, représentant le ministre de l’Environnement et du Développement durable, a précisé qu’à travers cette convention, le projet Waca mettra à la disposition de l’Oipr, 200 millions de FCfa pour l’aider à bien mener ses activités sur une période de 4 ans.
L’émissaire du Pr Joseph Séka Séka a indiqué que le littoral ivoirien est exposé à des menaces d’ordre anthropique que sont la démographie galopante, la pollution, la destruction des mangroves. « Le projet Waca est une opportunité de fédérer les actions en vue de réduire les risques côtiers et de renforcer la résilience aux effets néfastes des changements climatiques et des catastrophes naturelles », a déclaré Kouablan François.
Pour sa part, Ochou Abé Delfin a rappelé que le projet Waca, financé par la Banque mondiale pour environ 16 milliards de FCfa en Côte d’Ivoire sur 5 ans, a pour objectif de développer et surtout renforcer la résilience des communautés et des zones ciblées de la côte ouest-africaine.
Les activités qui seront conduites dans le cadre de cette convention visent, selon le colonel Tondossama Adama, à aménager et restaurer les écosystèmes de mangroves de ces aires protégées permettant, ainsi, de contribuer à la préservation du cordon littoral.
Le patron de l’Oipr a rassuré que sa structure mettra tout en œuvre pour mener à bien toutes les activités inscrites dans le plan d’actions en accordant une attention particulière à l’appui aux populations riveraines desdites aires protégées.
Kouablan François, représentant le ministre de l’Environnement et du Développement durable, a précisé qu’à travers cette convention, le projet Waca mettra à la disposition de l’Oipr, 200 millions de FCfa pour l’aider à bien mener ses activités sur une période de 4 ans.
L’émissaire du Pr Joseph Séka Séka a indiqué que le littoral ivoirien est exposé à des menaces d’ordre anthropique que sont la démographie galopante, la pollution, la destruction des mangroves. « Le projet Waca est une opportunité de fédérer les actions en vue de réduire les risques côtiers et de renforcer la résilience aux effets néfastes des changements climatiques et des catastrophes naturelles », a déclaré Kouablan François.
Pour sa part, Ochou Abé Delfin a rappelé que le projet Waca, financé par la Banque mondiale pour environ 16 milliards de FCfa en Côte d’Ivoire sur 5 ans, a pour objectif de développer et surtout renforcer la résilience des communautés et des zones ciblées de la côte ouest-africaine.