Filière ananas : Une formation pour renforcer la capacité technique des producteurs et des unités de transformation

Formation pour renforcer la capacité technique des producteurs et des unités de transformation
Formation pour renforcer la capacité technique des producteurs et des unités de transformation
Formation pour renforcer la capacité technique des producteurs et des unités de transformation

Filière ananas : Une formation pour renforcer la capacité technique des producteurs et des unités de transformation

Le 21/10/20 à 19:19
modifié 21/10/20 à 19:59
« Les bonnes pratiques d’hygiène en plantation, à la récolte, à la station de conditionnement et en unité de transformation » et « L’itinéraire technique innovant de l’ananas ». Tels sont les thèmes des formations à l’intention des producteurs et des unités de transformation de la filière ananas qui se tient du 21 au 22 octobre 2020, à Grand-Bassam.

Daniel Kouamé Koffi, responsable du département études et audits agricoles de bureau norme audit (DR)
Daniel Kouamé Koffi, responsable du département études et audits agricoles de bureau norme audit (DR)



A l’ouverture de formation, ce mercredi 21 octobre, Daniel Kouamé Koffi, responsable du département études et audits agricoles de bureau norme audit, a expliqué que l’objectif principal de cette formation est de renforcer la capacité technique des producteurs et des unités de transformation de la filière ananas. « Ces différentes formations permettront aux acteurs de la filière de maitriser les techniques d’amélioration de la productivité, la chaine de valeurs de la production de la matière première à la commercialisation du produit mais également l’hygiène à toutes les étapes de production et de transformation », a-t-il soutenu.

Poursuivant, M. Kouamé Koffi a fait remarquer que les producteurs dans leur ensemble ne maîtrisent pas parfaitement les itinéraires techniques ainsi que les programmes de production faute de formation. Alors que cela constitue des exigences de l'exportation. « Les connaissances que vous en tirerez devraient vous être utiles dans votre travail au quotidien et je souhaite que vous puissiez les appliquer immédiatement dans l’exercice de vos taches habituelles », a-t-il indiqué à l’endroit des 15 personnes qui prennent part à cette première session de formation.

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Il faut noter que c’est avec l’appui de la Banque africaine de développement (Bad) que le gouvernement ivoirien a décidé d’apporter un « appui à la mise à niveau des entreprises industrielles ». Et cela, dans le cadre du Projet d’Appui au Renforcement de la Compétitivité du Secteur Industriel (Parcsi).

En effet, le Parcsi a pour objectif principal de soutenir la compétitivité industrielle par l’adaptation des entreprises ivoiriennes à l’ouverture des marchés dans le cadre des accords de libre-échange, et l’augmentation de leur contribution à la création de richesse et d’emplois

La filière fruits et légumes occupe une place importante dans l'économie ivoirienne, mais elle est marquée par un manque à gagner. La part commercialisée se répartit entre l’exportation, la commercialisation locale et la transformation.

En plus de l’exportation, une partie de la production est transformée (soit industriellement soit de manière artisanale) en jus, etc.



Le 21/10/20 à 19:19
modifié 21/10/20 à 19:59