Candidat à sa propre succession/Ahmad Ahmad : « Personne ne peut me battre »
L’élection à la présidence de l’instance du football africain est prévue en mars 2021 au Maroc.
C’était dans l’air depuis quelque temps, c’est désormais officiel. Le Malgache Ahmad Ahmad est candidat à sa propre succession à la présidence de la Confédération africaine de football. Il a été officiellement inscrit dans la course par la Fédération malgache de football comme l’exigent les règlements de la Caf.
S’il hésitait, il y a quelques mois sur la question de ce deuxième mandat, le dirigeant de 60 ans estime avoir été conforté dans sa décision par le soutien de plusieurs fédérations membres qui, selon lui, ont approuvé sa gestion depuis son accession à la tête de la Caf, en 2017.
« J’ai accepté d’être candidat en écoutant les présidents de fédération, dont environ 46 m’ont demandé de briguer un autre mandat après avoir approuvé mon bilan. Comme je l’ai annoncé précédemment, j’ai dit que je poursuivrais un deuxième mandat si le besoin était là. C’est le résultat d’un travail en commun, d’un management qui implique tout le monde, ce qui se passe depuis 2017 », a-t-il déclaré dans un entretien avec une chaîne de radio internationale.
Ahmad Ahmad est, pour l’instant, le seul à avoir déposé son dossier pendant la période d’enregistrement des candidatures, qui s’achève le 12 novembre prochain. Après avoir déclaré qu’il briguerait le fauteuil de président de la Caf, le Tunisien Tarek Bouachamaoui, membre du Conseil de la Fifa, n’a pas obtenu la caution de la Fédération tunisienne de football comme le recommandent les textes.
Les regards sont également tournés vers la Fédération nigériane de football où Amaju Pinnick, son président avait déclaré dans une interview, il y a un mois, ne pas exclure la possibilité de briguer le poste.
Des velléités de candidature qui ne semblent pas perturber l’actuel président qui estime désormais avoir toutes les cartes en main pour être reconduit à la tête de l’instance du football africain, l’année prochaine.
« C’est toujours bien, lors d’une élection, d’avoir un candidat rival, mais nous attendons. Je sais que certaines personnes attendent d’autres choses sans rapport avec les élections. Mais quant aux élections elles-mêmes, ils savent tous qu’ils ne peuvent pas me battre étant donné que je représente un groupe de personnes qui veulent aller de l’avant ensemble », a déclaré Ahmad Ahmad.
Le président de la Caf faisait apparemment référence au procès imminent de la Fifa contre lui, qui a été ouvert l’année dernière après que l’ancien secrétaire général Amr Fahmy a fait diverses allégations à l’instance dirigeante mondiale du football contre le Malgache. Des accusations niées par Ahmad Ahmad.
L’élection du président de la Confédération africaine de football est prévue en mars 2021 à Rabat au Maroc. Il faut rappeler que le Malgache a été élu à la présidence de la Caf, en 2017, après avoir battu le Camerounais Issa Hayatou qui a dirigé l’institution de 1988 à 2017.
« J’ai accepté d’être candidat en écoutant les présidents de fédération, dont environ 46 m’ont demandé de briguer un autre mandat après avoir approuvé mon bilan. Comme je l’ai annoncé précédemment, j’ai dit que je poursuivrais un deuxième mandat si le besoin était là. C’est le résultat d’un travail en commun, d’un management qui implique tout le monde, ce qui se passe depuis 2017 », a-t-il déclaré dans un entretien avec une chaîne de radio internationale.
Ahmad Ahmad est, pour l’instant, le seul à avoir déposé son dossier pendant la période d’enregistrement des candidatures, qui s’achève le 12 novembre prochain. Après avoir déclaré qu’il briguerait le fauteuil de président de la Caf, le Tunisien Tarek Bouachamaoui, membre du Conseil de la Fifa, n’a pas obtenu la caution de la Fédération tunisienne de football comme le recommandent les textes.
Les regards sont également tournés vers la Fédération nigériane de football où Amaju Pinnick, son président avait déclaré dans une interview, il y a un mois, ne pas exclure la possibilité de briguer le poste.
Des velléités de candidature qui ne semblent pas perturber l’actuel président qui estime désormais avoir toutes les cartes en main pour être reconduit à la tête de l’instance du football africain, l’année prochaine.
« C’est toujours bien, lors d’une élection, d’avoir un candidat rival, mais nous attendons. Je sais que certaines personnes attendent d’autres choses sans rapport avec les élections. Mais quant aux élections elles-mêmes, ils savent tous qu’ils ne peuvent pas me battre étant donné que je représente un groupe de personnes qui veulent aller de l’avant ensemble », a déclaré Ahmad Ahmad.
Le président de la Caf faisait apparemment référence au procès imminent de la Fifa contre lui, qui a été ouvert l’année dernière après que l’ancien secrétaire général Amr Fahmy a fait diverses allégations à l’instance dirigeante mondiale du football contre le Malgache. Des accusations niées par Ahmad Ahmad.
L’élection du président de la Confédération africaine de football est prévue en mars 2021 à Rabat au Maroc. Il faut rappeler que le Malgache a été élu à la présidence de la Caf, en 2017, après avoir battu le Camerounais Issa Hayatou qui a dirigé l’institution de 1988 à 2017.