Violences liées à la présidentielle : Les enfants "veulent grandir dans la paix"
Cris de cœur ! Les enfants s’offusquent contre les violences qui ont émaillé la vie politique, avant, pendant et après l’élection présidentielle. Dans une déclaration à la faveur de la journée internationale des droits de l’enfant, Dago Manuella (11 ans, en classe de 3e), porte-parole des enfants, a demandé aux politiques de mettre balle à terre pour que règne la paix. «Nous voulons grandir dans la paix», a-t-elle plaidé, au cours de la cérémonie, organisée par le Conseil national des droits de l’Homme (Cndh), à son siège, à Cocody II Plateaux.
Au nom de ses camarades, Dago Manuella a mis à profit ce jour qui leur est dédié pour formuler d’autres recommandations dans le cadre du respect des droits des enfants. Entre autres, la mise en œuvre de la gratuité de l’école sur l’étendue du territoire national, le renforcement de la vaccination pédiatrique de tous les gosses, le renforcement de la lutte contre les violences physiques et sexuelles sur les enfants, ainsi qu’un meilleur accès à l’information.
La présidente du Cndh, Sangaré Namizata, a indiqué qu’en plus du droit à la paix, les enfants ont aussi droit à l’éducation, à la santé, à l’identité, au logement... Elle a ajouté que plusieurs manifestations seront organisées jusqu’au 25 novembre, dans le but de promouvoir davantage l’ensemble des droits des enfants.
L’ambassadeur d’Israël en Côte d'Ivoire, Leo Vinovezky a exhorté les gamins à travailler et étudier davantage pour assurer un avenir radieux à la Côte d’Ivoire. «Vous êtes l’avenir de votre pays. Si vous avez un rêve, n’abandonnez jamais», a-t-il conseillé.
La vice-présidente du Cndh, Marie Paule Kodjo, à son tour, leur a demandé de respecter les parents et les aînés. Elle leur a expliqué que, la Convention du droit des enfants (Cde), en vigueur depuis plus de 30 ans, les situe sur leurs droits et devoirs.
Méïté Ben Abdoulaye, président du Réseau des parlementaires pour la prévention, la protection et la défense des droits de l'homme, a demandé aux gamins de faire des efforts dans le travail et le respect des aînés.
La Convention relative aux droits de l'enfant a été adoptée à l'unanimité, le 20 novembre 1989, à l'Onu. La célébration de cette journée en Côte d’Ivoire a pour thème «réinventer un monde meilleur». La cérémonie au sein du Cndh a été marquée aussi par la finale d’un concours de plaidoyer sur les droits des enfants.
La présidente du Cndh, Sangaré Namizata, a indiqué qu’en plus du droit à la paix, les enfants ont aussi droit à l’éducation, à la santé, à l’identité, au logement... Elle a ajouté que plusieurs manifestations seront organisées jusqu’au 25 novembre, dans le but de promouvoir davantage l’ensemble des droits des enfants.
L’ambassadeur d’Israël en Côte d'Ivoire, Leo Vinovezky a exhorté les gamins à travailler et étudier davantage pour assurer un avenir radieux à la Côte d’Ivoire. «Vous êtes l’avenir de votre pays. Si vous avez un rêve, n’abandonnez jamais», a-t-il conseillé.
La vice-présidente du Cndh, Marie Paule Kodjo, à son tour, leur a demandé de respecter les parents et les aînés. Elle leur a expliqué que, la Convention du droit des enfants (Cde), en vigueur depuis plus de 30 ans, les situe sur leurs droits et devoirs.
Méïté Ben Abdoulaye, président du Réseau des parlementaires pour la prévention, la protection et la défense des droits de l'homme, a demandé aux gamins de faire des efforts dans le travail et le respect des aînés.
La Convention relative aux droits de l'enfant a été adoptée à l'unanimité, le 20 novembre 1989, à l'Onu. La célébration de cette journée en Côte d’Ivoire a pour thème «réinventer un monde meilleur». La cérémonie au sein du Cndh a été marquée aussi par la finale d’un concours de plaidoyer sur les droits des enfants.