Éléphants : La reconstruction en marche
Le technicien français a présenté mardi face à Madagascar, une équipe de Côte d’Ivoire constituée à moitié de joueurs qui n’étaient pas de la dernière Can en 2019, en Égypte. Hormis Sangaré Ibrahim, les autres n’ont intégré le groupe que depuis l’arrivée aux commandes du technicien français. Une équipe expérimentale qui de l’avis de plusieurs observateurs a présenté le meilleur visage de l’équipe de Côte d’Ivoire sous l’ère Beaumelle.
Un groupe complet dans sa production durant les 90 mn de la rencontre. Il a été cohérent tactiquement et techniquement et a surtout joué solidaire comme le souhaitait leur sélectionneur. Les Éléphants ont montré quelque chose de positif dans tous les compartiments du jeu, où le technicien français a composé avec les nouveaux joueurs.
En défense, la paire centrale expérimentale constituée par Willy Boly et Sinaly Diomandé a été complémentaire, comme s’ils avaient évolué ensemble depuis plusieurs rencontres. La discipline, le bon placement de Willy Boly et la pugnacité de Sinaly Diomandé ont donné du répondant à la défense ivoirienne. Dans le milieu du terrain, si Franck Kessié a été impérial, ce n’est pas uniquement grâce à son talent. C’est aussi parce qu’il avait à ses côtés deux jeunes qui ont joué efficacement leur partition. Dans le schéma tactique (4-3-3) mis en place par Patrice Beaumelle, Kessié, Odilon Kossonou et Sangaré Ibrahim constituaient le trio dans cette zone du terrain.
Sangaré Ibrahim avait un rôle de meneur qui lui permettait de se retrouver le plus souvent dans les 25 mètres adverses, en phase offensive. Le joueur du Psv Eindhoven a suivi à la lettre les instructions de son entraîneur. Avec un peu plus de lucidité dans le geste final, il aurait pu inscrire deux buts dans cette rencontre. Beaucoup plus discret que ses deux autres partenaires de l’entre-jeu, Odilon Kossonou a abattu un travail de fourmi.
Dans un rôle d’essuie-glace devant la défense ivoirienne le rideau qu’il a constitué a énormément facilité la tâche aux défenseurs. Sur le plan offensif, Lago Junior titularisé pour la première fois constituait la grosse curiosité.
Dans une position excentrée, le joueur de Majorque a constamment provoqué la défense gauche de Madagascar. Il a pris des risques qui auraient pu permettre aux Éléphants de se mettre assez rapidement sur orbite, s’il n’avait pas manqué de concentration dans le geste final.
Que dire de Sébastien Haller ? Le nouvel attaquant des Éléphants n’a certes pas marqué cette fois-ci, mais a été très utile sur le front de l’attaque des Pachydermes ivoiriens, par son jeu en mouvement. Au total, les nouveaux de Patrice Beaumelle ont assuré et mettent désormais la pression sur les anciens.
Une bonne nouvelle également pour le sélectionneur national qui entame bien l’une des missions qui lui a été confié, la reconstruction de l’équipe.
En défense, la paire centrale expérimentale constituée par Willy Boly et Sinaly Diomandé a été complémentaire, comme s’ils avaient évolué ensemble depuis plusieurs rencontres. La discipline, le bon placement de Willy Boly et la pugnacité de Sinaly Diomandé ont donné du répondant à la défense ivoirienne. Dans le milieu du terrain, si Franck Kessié a été impérial, ce n’est pas uniquement grâce à son talent. C’est aussi parce qu’il avait à ses côtés deux jeunes qui ont joué efficacement leur partition. Dans le schéma tactique (4-3-3) mis en place par Patrice Beaumelle, Kessié, Odilon Kossonou et Sangaré Ibrahim constituaient le trio dans cette zone du terrain.
Sangaré Ibrahim avait un rôle de meneur qui lui permettait de se retrouver le plus souvent dans les 25 mètres adverses, en phase offensive. Le joueur du Psv Eindhoven a suivi à la lettre les instructions de son entraîneur. Avec un peu plus de lucidité dans le geste final, il aurait pu inscrire deux buts dans cette rencontre. Beaucoup plus discret que ses deux autres partenaires de l’entre-jeu, Odilon Kossonou a abattu un travail de fourmi.
Dans un rôle d’essuie-glace devant la défense ivoirienne le rideau qu’il a constitué a énormément facilité la tâche aux défenseurs. Sur le plan offensif, Lago Junior titularisé pour la première fois constituait la grosse curiosité.
Dans une position excentrée, le joueur de Majorque a constamment provoqué la défense gauche de Madagascar. Il a pris des risques qui auraient pu permettre aux Éléphants de se mettre assez rapidement sur orbite, s’il n’avait pas manqué de concentration dans le geste final.
Que dire de Sébastien Haller ? Le nouvel attaquant des Éléphants n’a certes pas marqué cette fois-ci, mais a été très utile sur le front de l’attaque des Pachydermes ivoiriens, par son jeu en mouvement. Au total, les nouveaux de Patrice Beaumelle ont assuré et mettent désormais la pression sur les anciens.
Une bonne nouvelle également pour le sélectionneur national qui entame bien l’une des missions qui lui a été confié, la reconstruction de l’équipe.