Élections couplées au Faso : La diaspora burkinabè en Côte d’Ivoire invitée à marquer l’histoire
En prélude aux élections couplées, présidentielle et législatives du 22 Novembre 2020, au Burkina Faso, la Fédération des associations burkinabè de Côte d'Ivoire (Fedabci), à travers son président Sia Koudougou, appelle à la grande mobilisation de toute la diaspora burkinabè.
Ainsi que de tous ceux et toutes celles qui se sont faits enrôler et disposant d'une carte d'électeur délivrée par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). Ce, en vue de marquer l'histoire tout en se rendant dans leurs différents bureaux de vote (Abidjan, Soubré et Bouaké). Afin d'accomplir pour la toute première fois leur devoir de citoyenneté burkinabè vivant en République de Côte d'Ivoire, ce dimanche 22 novembre 2020.
Dans une déclaration faite à cet effet, Sia Koudougou a rappelé que depuis la création de la Fedabci en 2002, elle a fait la participation de la diaspora au choix de la personne pour conduire la destinée de leur pays le Burkina Faso, une de ses revendications.
Au nom de la diaspora, il a tenu à exprimer sa reconnaissance aux autorités burkinabè pour l'aboutissement de ce processus permettant à sa diaspora d'y prendre part. « Nous tenons à informer les non détenteurs de la carte d'électeur d'éviter le déplacement sur les différents lieux de vote afin de permettre à ceux qui ont les documents requis de voter en toute tranquillité et dans la paix », a-t-il invité.
Toutefois, il appelle tous les partis en compétition au respect scrupuleux des textes en vigueur pendant et après le vote.
A tous les Burkinabè, il leur a rappelé qu'ils doivent hisser leur pays au rang des nations démocratiques en bannissant tout acte tendant à décrédibiliser le scrutin. Car une élection ne rime pas avec la violence.
Terminant, il a indiqué que la Fedabci est pour des élections apaisées, libres et transparentes pour un Burkina émergent et démocratique.
Dans une déclaration faite à cet effet, Sia Koudougou a rappelé que depuis la création de la Fedabci en 2002, elle a fait la participation de la diaspora au choix de la personne pour conduire la destinée de leur pays le Burkina Faso, une de ses revendications.
Au nom de la diaspora, il a tenu à exprimer sa reconnaissance aux autorités burkinabè pour l'aboutissement de ce processus permettant à sa diaspora d'y prendre part. « Nous tenons à informer les non détenteurs de la carte d'électeur d'éviter le déplacement sur les différents lieux de vote afin de permettre à ceux qui ont les documents requis de voter en toute tranquillité et dans la paix », a-t-il invité.
Toutefois, il appelle tous les partis en compétition au respect scrupuleux des textes en vigueur pendant et après le vote.
A tous les Burkinabè, il leur a rappelé qu'ils doivent hisser leur pays au rang des nations démocratiques en bannissant tout acte tendant à décrédibiliser le scrutin. Car une élection ne rime pas avec la violence.
Terminant, il a indiqué que la Fedabci est pour des élections apaisées, libres et transparentes pour un Burkina émergent et démocratique.