Lutte contre la contrefaçon et le piratage: Plus de 2 milliards de FCfa de produits contrefaits saisis en trois ans
La commune d’Adjamé a accueilli le mercredi 2 décembre, la première journée de sensibilisation et de communication sur les dangers de la contrefaçon et le piratage, à la salle de mariage de la mairie. Une manifestation qui fait office de lancement de la campagne qui va se dérouler également à Abobo et à Koumassi. Le thème retenu pour cette opération est : « Contrefaçon et santé publique ».
A l’occasion, le premier vice-président du Comité national de lutte contre la contrefaçon (Cnlc), Hervé Abissa, a fait le bilan des actions menées au cours des trois dernières années dans le cadre de la lutte contre la contrefaçon : « Plusieurs produits contrefaits estimés à plus de 2 milliards de FCfa ont été mis hors des circuits commerciaux au cours des trois dernières années », a-t-il révélé.
Il a expliqué que la contrefaçon est un fléau qui touche, de nos jours, tous les secteurs d’activités avec des conséquences désastreuses pour l’humanité, mettant en péril notre santé et la sécurité des populations, freinant ainsi le développement de la société.
Par conséquent, a-t-il estimé, il convient de mobiliser les acteurs du commerce, les médias, les leaders d’opinion sur les dangers de ce fléau.
Le colonel Dakouri Jacques, coordonnateur de la Cellule de Prévention et d’Investigation du Cnlc, a indiqué que ces journées visent à sensibiliser les populations aux effets néfastes de la contrefaçon et le piratage.
Représentant le ministre du commerce, Michel N’Zi Brou, coordonnateur du Cnlc, a procédé à l’ouverture de la journée. Il a salué l’initiative avant de faire remarquer que la propreté intellectuelle est un outil incitatif très important pour l’innovation et la créativité. Elle permet de créer un environnement propice à l’investissement et d’instaurer un cadre favorable aux échanges commerciaux et au passage de nouvelles technologies à travers le monde.
Le Cnlc a vu le jour, selon lui, pour accompagner cette grande volonté du gouvernement de protéger les populations et les créateurs.
Le maire de la commune d’Adjamé, Soumahoro Farikou, a invité les populations à accompagner le Cnlc dans sa mission de sensibilisation sur les dangers de la contrefaçon. « Nous sommes tous des consommateurs. Aussi, faire la campagne nous permettra d’être mieux informés sur les risques liés à la consommation des produits contrefaits. Je vous invite donc à vous mobiliser pour le soutien de cette initiative de salut public », a-t-il exhorté.
Après l’étape d’Adjamé, la commune d’Abobo accueillera cette campagne le 8 décembre, et Koumassi le 12 du même mois.
Il a expliqué que la contrefaçon est un fléau qui touche, de nos jours, tous les secteurs d’activités avec des conséquences désastreuses pour l’humanité, mettant en péril notre santé et la sécurité des populations, freinant ainsi le développement de la société.
Par conséquent, a-t-il estimé, il convient de mobiliser les acteurs du commerce, les médias, les leaders d’opinion sur les dangers de ce fléau.
Le colonel Dakouri Jacques, coordonnateur de la Cellule de Prévention et d’Investigation du Cnlc, a indiqué que ces journées visent à sensibiliser les populations aux effets néfastes de la contrefaçon et le piratage.
Représentant le ministre du commerce, Michel N’Zi Brou, coordonnateur du Cnlc, a procédé à l’ouverture de la journée. Il a salué l’initiative avant de faire remarquer que la propreté intellectuelle est un outil incitatif très important pour l’innovation et la créativité. Elle permet de créer un environnement propice à l’investissement et d’instaurer un cadre favorable aux échanges commerciaux et au passage de nouvelles technologies à travers le monde.
Le Cnlc a vu le jour, selon lui, pour accompagner cette grande volonté du gouvernement de protéger les populations et les créateurs.
Le maire de la commune d’Adjamé, Soumahoro Farikou, a invité les populations à accompagner le Cnlc dans sa mission de sensibilisation sur les dangers de la contrefaçon. « Nous sommes tous des consommateurs. Aussi, faire la campagne nous permettra d’être mieux informés sur les risques liés à la consommation des produits contrefaits. Je vous invite donc à vous mobiliser pour le soutien de cette initiative de salut public », a-t-il exhorté.
Après l’étape d’Adjamé, la commune d’Abobo accueillera cette campagne le 8 décembre, et Koumassi le 12 du même mois.