Bouaké/Agrandissement de la Rn3 : Le Plan de gestion environnemental et social expliqué
Dans le cadre des travaux d’agrandissement du segment de la route nationale 3 (Rn3) qui traverse Bouaké du sud au nord, une consultation publique s’est tenue, le vendredi 18 décembre, à la salle de mariage de la mairie de Bouaké, en présence des autorités communales et des populations, avec à leur tête la chefferie traditionnelle.
Boka Brou, coordinateur régional du Projet de renaissance des infrastructures de Côte d’Ivoire-Projet d’infrastructures pour le développement urbain et la compétitivité des agglomérations secondaires (Prici-Piducas), a présenté, au cours de cette consultation publique, le Plan de gestion environnemental et social, un précieux outil pour gérer les dimensions sécuritaires, sociales et environnementales des travaux. Et ce, afin de réduire les impacts sur toutes les personnes qui ont des biens sur les emprises des travaux.
« Vous aurez, lors des travaux, toutes les indications, les panneaux de sécurité, les panneaux d’indication de chantier. Mais aussi le mécanisme est mis en place pour recueillir d’éventuelles plaintes. Par conséquent, pendant près de 22 mois, l’Ong et tous les autres acteurs qui ont en charge ce volet vont essayer de dérouler de façon opérationnelle ce mécanisme sur le terrain », a-t-il indiqué.
Tout en rassurant les populations que toutes les mesures possibles ont été prises pour que les travaux se déroulent bien, tant au point de vue technique que de la gestion environnementale, sécuritaire et sociale. « Avant d’exécuter ce projet, nous avons pu identifier tous ceux qui étaient impactés par les travaux en cours. D’ailleurs, ils ont été dédommagés par l’État de Côte d’Ivoire », a-t-il révélé.
Par ailleurs, concernant les impactés indirects, Boka Brou a dit qu’un aménagement sera fait sous trafic pour que les banques, les pharmacies et autres services puissent travailler afin de satisfaire les usagers.
Ali Yatassi, chef de mission de contrôle du projet, dira que tout est mis en œuvre pour le bon déroulement des travaux de ce projet qui va redonner un meilleur visage à la capitale de la région de Gbêkê.
Techniquement, le tronçon concerné a une longueur de 8,7 km. Il sera réalisé en deux chaussées de 2X2 voies de 6,5 m, deux trottoirs de 5 m revêtus de pavés. « Les travaux dureront 22 mois. Ils prendront fin en juillet 2022, pour un coût estimé à 10,897 milliards de FCfa cofinancé par la Banque mondiale et l’État de Côte d’Ivoire », a précisé le chef de mission de contrôle du projet.
« Vous aurez, lors des travaux, toutes les indications, les panneaux de sécurité, les panneaux d’indication de chantier. Mais aussi le mécanisme est mis en place pour recueillir d’éventuelles plaintes. Par conséquent, pendant près de 22 mois, l’Ong et tous les autres acteurs qui ont en charge ce volet vont essayer de dérouler de façon opérationnelle ce mécanisme sur le terrain », a-t-il indiqué.
Tout en rassurant les populations que toutes les mesures possibles ont été prises pour que les travaux se déroulent bien, tant au point de vue technique que de la gestion environnementale, sécuritaire et sociale. « Avant d’exécuter ce projet, nous avons pu identifier tous ceux qui étaient impactés par les travaux en cours. D’ailleurs, ils ont été dédommagés par l’État de Côte d’Ivoire », a-t-il révélé.
Par ailleurs, concernant les impactés indirects, Boka Brou a dit qu’un aménagement sera fait sous trafic pour que les banques, les pharmacies et autres services puissent travailler afin de satisfaire les usagers.
Ali Yatassi, chef de mission de contrôle du projet, dira que tout est mis en œuvre pour le bon déroulement des travaux de ce projet qui va redonner un meilleur visage à la capitale de la région de Gbêkê.
Techniquement, le tronçon concerné a une longueur de 8,7 km. Il sera réalisé en deux chaussées de 2X2 voies de 6,5 m, deux trottoirs de 5 m revêtus de pavés. « Les travaux dureront 22 mois. Ils prendront fin en juillet 2022, pour un coût estimé à 10,897 milliards de FCfa cofinancé par la Banque mondiale et l’État de Côte d’Ivoire », a précisé le chef de mission de contrôle du projet.