Euphrasie Yao (au centre) et Joséphine Mayuma Kala de l'Union africaine croient en l'aboutissement du dialogue politique. (Dr)
Euphrasie Yao (au centre) et Joséphine Mayuma Kala de l'Union africaine croient en l'aboutissement du dialogue politique. (Dr)
Reprise du dialogue politique : L’Union africaine et la Chaire Unesco saluent l’initiative
La Cheffe du bureau de l’Union africaine en Côte d’Ivoire Joséphine Mayuma Kala et la responsable de la Chaire Unesco « Eau, femme et pouvoir de décision », Euphrasie Kouassi Yao, par ailleurs Conseillère spéciale du Président de la République chargée du genre, ont salué la reprise du dialogue politique entre le gouvernement et les partis d’opposition.
Au cours d’un atelier d’échanges dans le cadre du projet Crea-paix portant sur « les défis actuels en matière de consolidation et de promotion de la paix », organisé par la Chaire Unesco et le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), le 22 décembre au Plateau, elles ont émis le vœu de voir ces échanges aboutir afin que la Côte d’Ivoire retrouve sa paix d’antan pour le bonheur des Ivoiriens.
Devant un parterre de personnalités composées en majorité de femmes, la représentante de l’Union africaine s’est félicitée du chemin emprunté par les deux parties et qui s’inscrit dans le thème 2020 de l’union, à savoir « Faire taire les armes en Afrique ».
Pour elle, œuvrer pour la paix ne se résume pas seulement à des lancements de slogans, ni à des déclarations « pompeuses », mais par la réalisation d’actions concrètes comme celle entreprise par le gouvernement et les partis d’opposition. Dans la même veine, elle s’est réjouie des actions d’Euphrasie Yao qui, à travers Crea-paix mis sur pied le 25 juillet 2019, contribue efficacement à l’instauration de la paix et de la cohésion entre les populations en Côte d’Ivoire.
Joséphine Mayuma Kala se dit prête à soutenir l’ancienne ministre dans son engagement à faire de la femme, un acteur significatif de la paix en Côte d’Ivoire parce que les organisations ont, après analyse, trouvé nécessaire de les impliquer dans cette lutte parce qu’ « elles sont éprises de paix, douces et savent pardonner ».
Pour Euphrasie Kouassi Yao, il n’y a rien de plus satisfaisant que de voir les acteurs d’un même pays, autrefois opposés, se retrouver autour d’une même table pour chercher les voies et moyens et parler d’une même voix. Elle se dit certaine que la grandeur d’esprit des personnalités au centre des discussions pourra permettre d’aboutir à des solutions fiables.
Par ailleurs, elle a profité de la présence de ses partenaires, notamment l’ambassadeur d’Israël en Côte d’Ivoire, Leo Vinovezky, la représentante résidente de l’Unesco, Anne Lemaistre et le représentant du Pnud, pour traduire toute sa satisfaction pour leur soutien remarquable depuis le lancement de Crea-paix.
Grâce à leur concours, précise-t-elle, le projet a pu initier des campagnes de sensibilisation de femmes issues des différentes couches de la société à la paix en Côte d’Ivoire. Depuis sa mise sur pied en juillet, ce projet, ajoute Euphrasie Kouassi Yao, a initié plusieurs séances d’échanges et de Webinaires avec des leaders d’opinion, des humoristes et même des étudiants.
Au nom du Pnud, Diarra Bécaye, économiste au bureau de Côte d’Ivoire, a salué toutes les actions de Crea-paix parce que la mission principale de son organisation est le maintien de la paix dans le monde. C’est pour cela que, dit-il, le Pnud restera engagé à accompagner ses actions qui mettent en relief les actions des femmes dans la recherche de la paix.
Devant un parterre de personnalités composées en majorité de femmes, la représentante de l’Union africaine s’est félicitée du chemin emprunté par les deux parties et qui s’inscrit dans le thème 2020 de l’union, à savoir « Faire taire les armes en Afrique ».
Pour elle, œuvrer pour la paix ne se résume pas seulement à des lancements de slogans, ni à des déclarations « pompeuses », mais par la réalisation d’actions concrètes comme celle entreprise par le gouvernement et les partis d’opposition. Dans la même veine, elle s’est réjouie des actions d’Euphrasie Yao qui, à travers Crea-paix mis sur pied le 25 juillet 2019, contribue efficacement à l’instauration de la paix et de la cohésion entre les populations en Côte d’Ivoire.
Joséphine Mayuma Kala se dit prête à soutenir l’ancienne ministre dans son engagement à faire de la femme, un acteur significatif de la paix en Côte d’Ivoire parce que les organisations ont, après analyse, trouvé nécessaire de les impliquer dans cette lutte parce qu’ « elles sont éprises de paix, douces et savent pardonner ».
Pour Euphrasie Kouassi Yao, il n’y a rien de plus satisfaisant que de voir les acteurs d’un même pays, autrefois opposés, se retrouver autour d’une même table pour chercher les voies et moyens et parler d’une même voix. Elle se dit certaine que la grandeur d’esprit des personnalités au centre des discussions pourra permettre d’aboutir à des solutions fiables.
Par ailleurs, elle a profité de la présence de ses partenaires, notamment l’ambassadeur d’Israël en Côte d’Ivoire, Leo Vinovezky, la représentante résidente de l’Unesco, Anne Lemaistre et le représentant du Pnud, pour traduire toute sa satisfaction pour leur soutien remarquable depuis le lancement de Crea-paix.
Grâce à leur concours, précise-t-elle, le projet a pu initier des campagnes de sensibilisation de femmes issues des différentes couches de la société à la paix en Côte d’Ivoire. Depuis sa mise sur pied en juillet, ce projet, ajoute Euphrasie Kouassi Yao, a initié plusieurs séances d’échanges et de Webinaires avec des leaders d’opinion, des humoristes et même des étudiants.
Au nom du Pnud, Diarra Bécaye, économiste au bureau de Côte d’Ivoire, a salué toutes les actions de Crea-paix parce que la mission principale de son organisation est le maintien de la paix dans le monde. C’est pour cela que, dit-il, le Pnud restera engagé à accompagner ses actions qui mettent en relief les actions des femmes dans la recherche de la paix.