Les acteurs de la filière bétail ont compris la nécessité de fédérer leurs actions en créant cette coordination. (Dr)
Les acteurs de la filière bétail ont compris la nécessité de fédérer leurs actions en créant cette coordination. (Dr)
Bouaké/Filière bétail : La coordination des régions de Gbêkê et du Hambol installée
L’Interbovici (Confédération des professionnels de la filière bovine, caprine et laitière en Côte d’Ivoire) a installé le mardi 22 décembre 2020, à l’abattoir de Bouaké, la coordination régionale des régions de Gbêkê et du Hambol. C’était en présence d’Ankoun Kouadjo, secrétaire général de la préfecture de Bouaké, représentant Tuo Fozié, préfet de la région de Gbêkê, préfet du département de Bouaké.
Prenant la parole, Ankoun Kouadjo a rappelé que le gouvernement ivoirien, en invitant l’ensemble des acteurs (domaines agricole et des ressources animales et halieutiques), à se regrouper en coopérative, veut permettre aux agriculteurs et éleveurs de prendre dorénavant en main la gestion de leurs propres activités.
« En décidant de vous associer à travers une coordination dans les régions de Gbêkê et du Hambol, vous avez compris que c’est dans la synergie des actions que vous pourrez défendre les intérêts de vos membres et de votre corporation face au pouvoir public qui n’attendait que cela. Ne dit-on pas que l’union fait la force », a-t-il encouragé.
Le secrétaire général de préfecture qui voit en cette belle initiative une augmentation des ressources financières et une amélioration des conditions de travail des acteurs, a invité la coordination à une campagne de sensibilisation en vue d’amener l’ensemble des éleveurs à y adhérer.
Pour sa part, Moussa Koné, président du conseil d’administration de l’Interbovici, a fait comprendre qu’à travers leur organisation, les acteurs de la filière élevage veulent faire en sorte que la Côte d’Ivoire soit autosuffisante en protéine animale. « C’est la raison pour laquelle depuis deux ans, nous parcourons villes et villages pour sensibiliser tous les braves paysans, autres intervenants, à se constituer en société coopérative », a-t-il révélé. Il s’est réjoui de ce que leur sensibilisation ait porté ses fruits puisqu’à ce jour, l’Interbovici compte en son sein une centaine de coopératives réparties dans une douzaine de régions.
Aussi, le Pca est revenu sur les missions de leur organisation à savoir, promouvoir le mouvement coopératif dans leur domaine d’activité ; renforcer les capacités des sociétaires ; contribuer à la résolution des problèmes ou encore mobiliser les ressources pour le financement des projets de développement innovant.
« En décidant de vous associer à travers une coordination dans les régions de Gbêkê et du Hambol, vous avez compris que c’est dans la synergie des actions que vous pourrez défendre les intérêts de vos membres et de votre corporation face au pouvoir public qui n’attendait que cela. Ne dit-on pas que l’union fait la force », a-t-il encouragé.
Le secrétaire général de préfecture qui voit en cette belle initiative une augmentation des ressources financières et une amélioration des conditions de travail des acteurs, a invité la coordination à une campagne de sensibilisation en vue d’amener l’ensemble des éleveurs à y adhérer.
Pour sa part, Moussa Koné, président du conseil d’administration de l’Interbovici, a fait comprendre qu’à travers leur organisation, les acteurs de la filière élevage veulent faire en sorte que la Côte d’Ivoire soit autosuffisante en protéine animale. « C’est la raison pour laquelle depuis deux ans, nous parcourons villes et villages pour sensibiliser tous les braves paysans, autres intervenants, à se constituer en société coopérative », a-t-il révélé. Il s’est réjoui de ce que leur sensibilisation ait porté ses fruits puisqu’à ce jour, l’Interbovici compte en son sein une centaine de coopératives réparties dans une douzaine de régions.
Aussi, le Pca est revenu sur les missions de leur organisation à savoir, promouvoir le mouvement coopératif dans leur domaine d’activité ; renforcer les capacités des sociétaires ; contribuer à la résolution des problèmes ou encore mobiliser les ressources pour le financement des projets de développement innovant.