Fête de Noël : L'Association « Cri du cœur » gâte plus de 400 enfants de la rue
Plus de 400 enfants déshérités de diverses communes d’Abidjan ont reçu la visite du père Noël le samedi 26 décembre 2020.
En effet, dans le cadre d’une parade initiée à l’occasion de la fête de Noël par l'Association « Cri du cœur » qui œuvre à la prise en charge des enfants vivant dans la rue en Côte d'Ivoire, ces gamins démunis et marginalisés, communément appelés « Enfants de la rue », ont reçu des repas, des vêtements, des chaussures et bien d'autres présents.
Selon le président fondateur de l’Association « Cri du Cœur », Armel Kouamé, cette action marque le début des festivités pour la célébration des 10 ans d'existence de ladite structure.
« Cela fait 10 ans que nous aidons les enfants déshérités à sortir de la rue pour retrouver le cadre familial et/ou à bénéficier d’un projet de réinsertion professionnelle, afin de pouvoir se prendre eux-mêmes en charge. A cet effet, nous avons pu aider plus de 30 enfants à retrouver leurs familles respectives, soit en Côte d’Ivoire, soit dans d’autres pays de la Cedeao », a-t-il souligné.
Il a aussi noté que sa structure a distribué depuis sa création, plus de 70 000 repas. « Notre ambition, c’est l’ouverture d’un centre "Refuge" qui servira de centre d'apprentissage de différents métiers », a-t-il poursuivi.
Selon le président fondateur de l’Association « Cri du Cœur », Armel Kouamé, cette action marque le début des festivités pour la célébration des 10 ans d'existence de ladite structure.
« Cela fait 10 ans que nous aidons les enfants déshérités à sortir de la rue pour retrouver le cadre familial et/ou à bénéficier d’un projet de réinsertion professionnelle, afin de pouvoir se prendre eux-mêmes en charge. A cet effet, nous avons pu aider plus de 30 enfants à retrouver leurs familles respectives, soit en Côte d’Ivoire, soit dans d’autres pays de la Cedeao », a-t-il souligné.
Il a aussi noté que sa structure a distribué depuis sa création, plus de 70 000 repas. « Notre ambition, c’est l’ouverture d’un centre "Refuge" qui servira de centre d'apprentissage de différents métiers », a-t-il poursuivi.