Baie du Banco : La bretelle poussiéreuse fermée à la circulation
Il n’y a plus de nuage de poussière sur l’autoroute du Nord au niveau de la baie du Banco. En effet, la bretelle mise en cause est désormais fermée à la circulation.
Des dalots sont disposés à l’entrée et à la sortie de cette passerelle. Les automobilistes ont fait l’amer constat le 8 janvier (lendemain de la visite du ministre Séka Séka). « La bretelle a été fermée au lendemain de la visite du ministre de l’Environnement et du Développement durable. C’est la mesure phare qu’il fallait prendre pour totalement endiguer la poussière dans un premier temps », a fait savoir Kéita Ibrahima, directeur administratif de SI béton, rencontré ce 12 janvier.
Outre la fermeture de la bretelle, chaque matin les deux entreprises arrosent leurs locaux, les environs de l’autoroute, a-t-on constaté. « Nous veillons au lavage systématique de tous les camions dans nos centres, précisément à SI béton et Abeille béton », a ajouté Kéita Ibrahima, qui intervenait au nom des deux entreprises. Et d’expliquer : « SI béton a pris un certain nombre de mesures parce qu’elle est dans une démarche qualité pour la certification 14 001 et 45 001 dont le premier audit est prévu fin mars 2021. »
« Ce qui fera qu’à la fin de la mise en demeure, nous aurons eu nos certificats 14 001 et 45 001 sur le plan environnemental et sécurité au travail. Nous avons déjà eu, il y a quelques mois, l’Iso 9001 version 2015 pour la qualité », a précisé le directeur administratif de SI béton.
A l’en croire, dans le cadre de la mise en œuvre des recommandations à elles faites par le ministère de l’Environnement, d’autres actions sont en cours. Celles-ci seront menées entre janvier et février. Il s’agit, entre autres, de changer régulièrement les silos de ciment, arroser la cour des entreprises et la bretelle de 7h 30 min à 00h avec 2 heures d’intervalle, arroser toutes les voies empruntées par les camions de livraison de béton, mesurer toutes les particules en circulation dans l’air. Ainsi que le revêtement de toutes les voies empruntées par tous les camions de livraison de produits d’ici fin mars. Mettre à jour la feuille de déclaration, actualiser les Pgea et avoir toutes les autorisations adéquates.
Il a ajouté que chacune des entreprises a entamé la construction d’une zone de rétention, de récupération et de stockage des huiles usagées. « De janvier à février, nous allons boucler toutes les observations et recommandations à nous faites par le ministère de l’Environnement et du Développement durable à travers l’Agence nationale de l’environnement (Ande) et le Centre anti-pollution (Ciapol)», a-t-il conclu.
Outre la fermeture de la bretelle, chaque matin les deux entreprises arrosent leurs locaux, les environs de l’autoroute, a-t-on constaté. « Nous veillons au lavage systématique de tous les camions dans nos centres, précisément à SI béton et Abeille béton », a ajouté Kéita Ibrahima, qui intervenait au nom des deux entreprises. Et d’expliquer : « SI béton a pris un certain nombre de mesures parce qu’elle est dans une démarche qualité pour la certification 14 001 et 45 001 dont le premier audit est prévu fin mars 2021. »
« Ce qui fera qu’à la fin de la mise en demeure, nous aurons eu nos certificats 14 001 et 45 001 sur le plan environnemental et sécurité au travail. Nous avons déjà eu, il y a quelques mois, l’Iso 9001 version 2015 pour la qualité », a précisé le directeur administratif de SI béton.
A l’en croire, dans le cadre de la mise en œuvre des recommandations à elles faites par le ministère de l’Environnement, d’autres actions sont en cours. Celles-ci seront menées entre janvier et février. Il s’agit, entre autres, de changer régulièrement les silos de ciment, arroser la cour des entreprises et la bretelle de 7h 30 min à 00h avec 2 heures d’intervalle, arroser toutes les voies empruntées par les camions de livraison de béton, mesurer toutes les particules en circulation dans l’air. Ainsi que le revêtement de toutes les voies empruntées par tous les camions de livraison de produits d’ici fin mars. Mettre à jour la feuille de déclaration, actualiser les Pgea et avoir toutes les autorisations adéquates.
Il a ajouté que chacune des entreprises a entamé la construction d’une zone de rétention, de récupération et de stockage des huiles usagées. « De janvier à février, nous allons boucler toutes les observations et recommandations à nous faites par le ministère de l’Environnement et du Développement durable à travers l’Agence nationale de l’environnement (Ande) et le Centre anti-pollution (Ciapol)», a-t-il conclu.