Lutte contre les changements climatiques : Les femmes invitées à s’investir davantage
Dans le cadre de la lutte contre les changements climatiques, trois jeunes femmes ivoiriennes leaders d’association ont été formées à Dakar (au Sénégal), du 7 au 10 décembre 2020. C’est une initiative de l’Association des femmes de l’Afrique de l’ouest-section Côte d’Ivoire (Afao-Ci) en collaboration avec l’Association pour la promotion économique, sociale et sanitaire (Apess-Ci) et la Cedeao. Un atelier de restitution de cette formation a eu lieu le 22 janvier 2021, à l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody (Abidjan).
Plusieurs organisations de jeunesse ont participé à ce programme dont Lionnes d’Afrique.
« En Noël, il a plu. Je ne sais pas si vous vous rappeler depuis quand il pleut en Noël. Ceux qui sont dans le milieu rural remarquent que l’anacarde qui, autrefois, était exclusivement cultivée au Nord (Boundiali, Odienné, etc.) du pays, l’on en trouve aujourd’hui au Centre (Dimbokro, Bouaké, etc.) et au Sud (Tiassalé). C’est une situation inhabituelle qui démontre que nous sommes de plain-pied dans le changement climatique. C’est pourquoi ce thème est d’une importance majeure », a indiqué Constance Konan, présidente de l’Afao-Ci.
Selon elle, cette formation s’inscrit dans le cadre de « la 2ème session de formation des femmes et des jeunes des Organisations de la société civile (Osc) d’Afrique de l’ouest de l’association sur les changements climatiques : climats et effets ». Elles sont 15 jeunes filles de l’Afrique dont 3 Ivoiriennes qui ont participé à cette formation.
« Les femmes sont moins présentes dans les instances de prise de décisions. C’est pourquoi, à travers vous, d’autres femmes doivent bénéficier de cette formation », a indiqué Oboué Durand, président du Club de développement durable (Cdd-Ci). Avant d’inviter les jeunes femmes à saisir les opportunités qu’offre l’économie verte.
« Le changement climatique n’est pas seulement une affaire d’hommes. D’ailleurs, les femmes sont plus exposées. Il nous faut trouver des mécanismes adaptatifs pour profiter des avantages qu’offrent ces changements », a affirmé Grâce Gnolou, présidente de Lionnes d’Afrique, l’une des bénéficiaires de ce projet.
(Source : Sercom Afao-Ci)
« En Noël, il a plu. Je ne sais pas si vous vous rappeler depuis quand il pleut en Noël. Ceux qui sont dans le milieu rural remarquent que l’anacarde qui, autrefois, était exclusivement cultivée au Nord (Boundiali, Odienné, etc.) du pays, l’on en trouve aujourd’hui au Centre (Dimbokro, Bouaké, etc.) et au Sud (Tiassalé). C’est une situation inhabituelle qui démontre que nous sommes de plain-pied dans le changement climatique. C’est pourquoi ce thème est d’une importance majeure », a indiqué Constance Konan, présidente de l’Afao-Ci.
Selon elle, cette formation s’inscrit dans le cadre de « la 2ème session de formation des femmes et des jeunes des Organisations de la société civile (Osc) d’Afrique de l’ouest de l’association sur les changements climatiques : climats et effets ». Elles sont 15 jeunes filles de l’Afrique dont 3 Ivoiriennes qui ont participé à cette formation.
« Les femmes sont moins présentes dans les instances de prise de décisions. C’est pourquoi, à travers vous, d’autres femmes doivent bénéficier de cette formation », a indiqué Oboué Durand, président du Club de développement durable (Cdd-Ci). Avant d’inviter les jeunes femmes à saisir les opportunités qu’offre l’économie verte.
« Le changement climatique n’est pas seulement une affaire d’hommes. D’ailleurs, les femmes sont plus exposées. Il nous faut trouver des mécanismes adaptatifs pour profiter des avantages qu’offrent ces changements », a affirmé Grâce Gnolou, présidente de Lionnes d’Afrique, l’une des bénéficiaires de ce projet.
(Source : Sercom Afao-Ci)