Relance du théâtre ivoirien : Des acteurs culturels recherchent des solutions
«Quelles initiatives pour la relance du théâtre en Côte d’Ivoire : Forces, faiblesses et perspectives ?». C’est la thématique autour de laquelle ont tourné les réflexions lors de la 7e séance des ‘’causeries autour du théâtre’’. C’était le 29 janvier dernier au Bureau des Arts et Communication (Bac), à Abobo.
Ce programme initié en partenariat avec le Festival National de Théâtre de Côte d’Ivoire (Fenath-ci) se veut un cadre de rencontres, d’échanges et de réflexions qui permet d’adresser les problématiques liées à la renaissance du théâtre en Côte d’Ivoire.
Cette 7e causerie a enregistré la contribution de deux panélistes qui ont fait l’état des lieux du théâtre ivoirien. Ils ont évoqué les perspectives de relance d’un secteur en perte de vitesse depuis de nombreuses années. Il s’agit d’Esther Thomas Dagri, directrice générale de Fleed production et Karamoko Touré, opérateur culturel, directeur de Tsk Studios.
Ce rendez-vous a permis aux différents intervenants de mettre en lumière certains facteurs qui, entre autres, minent la relance du théâtre ivoirien. Un ensemble de maux qui se résume au manque de professionnalisme dans ce milieu. Notamment les problèmes d’organisation, de structuration, mais aussi celui d’un manque criant d’infrastructures consacrées à l’expression artistique.
Par ailleurs, les acteurs culturels présents n’ont pas caché leur sensation d’être «d’éternels oubliés» des priorités de l’État. Cependant, ce rendez-vous fut aussi l’occasion de dégager des indices qui fondent l’espoir d’un retour en surface du théâtre en Côte d’Ivoire. «L’une de ces forces, c’est le talent», a fait remarquer la panéliste Esther Thomas Dagri.
Cependant, a-t-elle souligné, «seule la solidarité des acteurs culturels dans leur ensemble, de façon collective et concertée, peut contribuer à faire bouger les lignes dans la lutte pour la renaissance du théâtre ivoirien». C’est pourquoi, elle a lancé un appel à toute la classe des acteurs des arts vivants pour la réalisation de cet objectif.
Cette 7e causerie a enregistré la contribution de deux panélistes qui ont fait l’état des lieux du théâtre ivoirien. Ils ont évoqué les perspectives de relance d’un secteur en perte de vitesse depuis de nombreuses années. Il s’agit d’Esther Thomas Dagri, directrice générale de Fleed production et Karamoko Touré, opérateur culturel, directeur de Tsk Studios.
Ce rendez-vous a permis aux différents intervenants de mettre en lumière certains facteurs qui, entre autres, minent la relance du théâtre ivoirien. Un ensemble de maux qui se résume au manque de professionnalisme dans ce milieu. Notamment les problèmes d’organisation, de structuration, mais aussi celui d’un manque criant d’infrastructures consacrées à l’expression artistique.
Par ailleurs, les acteurs culturels présents n’ont pas caché leur sensation d’être «d’éternels oubliés» des priorités de l’État. Cependant, ce rendez-vous fut aussi l’occasion de dégager des indices qui fondent l’espoir d’un retour en surface du théâtre en Côte d’Ivoire. «L’une de ces forces, c’est le talent», a fait remarquer la panéliste Esther Thomas Dagri.
Cependant, a-t-elle souligné, «seule la solidarité des acteurs culturels dans leur ensemble, de façon collective et concertée, peut contribuer à faire bouger les lignes dans la lutte pour la renaissance du théâtre ivoirien». C’est pourquoi, elle a lancé un appel à toute la classe des acteurs des arts vivants pour la réalisation de cet objectif.