Représentativité des femmes dans les assemblées : Le gouvernement pour une application correcte de la loi
Le National democratic institute (Ndi), en collaboration avec l'Agence internationale des nations unies pour le développement (Usaid), a organisé à l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody, un débat citoyen en ligne sur la représentation des femmes autour du thème : « Loi sur la représentativité des femmes dans les assemblées élues, quelles stratégies pour une application correcte de cette loi ? ».
La rencontre s'est tenue au siège de ladite institution, à Cocody-Attoban, le mercredi 10 février 2021, en présence des organisations de la société civile, des représentantes des partis politiques (Rhdp, Fpi, Pdci, Lider). Au cours de cette rencontre, les femmes ont plaidé pour la mise en application de la loi N°2019-870 du 14 octobre 2019 favorisant leur représentation dans les assemblées élues.
Pour le Ndi, la représentativité des femmes dans les assemblées élues, notamment aux postes de députés, sénateurs, conseillers régionaux, conseillers de districts et conseillers municipaux, reste un défi majeur. Cet organisme veut contribuer et préserver la place de la femme sur l'échiquier de la politique nationale.
L’objectif, selon Kevin Adomayakpor, directeur résident du Ndi, est de faire un état des lieux de la loi sur la représentativité des femmes dans les assemblées élues et comment elle est appliquée par les partis politiques et la Commission électorale indépendante (Cei).
Il vise également à identifier de potentiels obstacles à la jouissance de cette loi par les femmes elles-mêmes, à contribuer à les encourager à participer aux prochaines élections législatives de 2021.
Kevin Adomayakpor a également indiqué que les femmes représentent près de la moitié de la population ivoirienne, selon le document du Recensement général de la population et de l'habitat (Rgph 2014). Et pourtant, elles sont sous-représentées dans les assemblées. C’est pourquoi, il est demandé au pouvoir public de veiller à l’application correcte de cette loi pour ainsi donner la place qui leur est réservée dans ce cas de figure.
Revenant sur le thème, les panelistes composés de Mme Doumbia Fanta, Coordinatrice du comité de coordination pour la participation politique des femmes (2c2pf) ; Dr Hué Loi, membre de la direction du Fpi, secrétaire générale adjointe chargée de l'économie tertiaire et de l’honorable Kouassi Virginie, membre du conseil national du Rhdp député-maire de Rubino, ont relevé les difficultés liées à la mise en œuvre de la loi.
A les en croire, il s'agit, entre autres, des questions de financement, du manque d'engouement et de détermination des femmes, etc. Elles ont par ailleurs recommandé à l'Etat de Côte d'Ivoire d’harmoniser et d'élaborer des textes, au respect des 30% des femmes dans les assemblées élues. Ainsi que la mise à disposition de moyens afin de sensibiliser et de former les plus jeunes.
Il faut rappeler que le gouvernement ivoirien a adopté depuis le 16 mars, en Conseil des ministres, un projet de loi instituant pour les scrutins uninominaux ou de liste un quota minimum de 30% de femmes sur un total de candidats présentés pour les élections législatives, régionales et municipales.
Pour le Ndi, la représentativité des femmes dans les assemblées élues, notamment aux postes de députés, sénateurs, conseillers régionaux, conseillers de districts et conseillers municipaux, reste un défi majeur. Cet organisme veut contribuer et préserver la place de la femme sur l'échiquier de la politique nationale.
L’objectif, selon Kevin Adomayakpor, directeur résident du Ndi, est de faire un état des lieux de la loi sur la représentativité des femmes dans les assemblées élues et comment elle est appliquée par les partis politiques et la Commission électorale indépendante (Cei).
Il vise également à identifier de potentiels obstacles à la jouissance de cette loi par les femmes elles-mêmes, à contribuer à les encourager à participer aux prochaines élections législatives de 2021.
Kevin Adomayakpor a également indiqué que les femmes représentent près de la moitié de la population ivoirienne, selon le document du Recensement général de la population et de l'habitat (Rgph 2014). Et pourtant, elles sont sous-représentées dans les assemblées. C’est pourquoi, il est demandé au pouvoir public de veiller à l’application correcte de cette loi pour ainsi donner la place qui leur est réservée dans ce cas de figure.
Revenant sur le thème, les panelistes composés de Mme Doumbia Fanta, Coordinatrice du comité de coordination pour la participation politique des femmes (2c2pf) ; Dr Hué Loi, membre de la direction du Fpi, secrétaire générale adjointe chargée de l'économie tertiaire et de l’honorable Kouassi Virginie, membre du conseil national du Rhdp député-maire de Rubino, ont relevé les difficultés liées à la mise en œuvre de la loi.
A les en croire, il s'agit, entre autres, des questions de financement, du manque d'engouement et de détermination des femmes, etc. Elles ont par ailleurs recommandé à l'Etat de Côte d'Ivoire d’harmoniser et d'élaborer des textes, au respect des 30% des femmes dans les assemblées élues. Ainsi que la mise à disposition de moyens afin de sensibiliser et de former les plus jeunes.
Il faut rappeler que le gouvernement ivoirien a adopté depuis le 16 mars, en Conseil des ministres, un projet de loi instituant pour les scrutins uninominaux ou de liste un quota minimum de 30% de femmes sur un total de candidats présentés pour les élections législatives, régionales et municipales.