Réconciliation nationale : KKB attend beaucoup des populations de la Cedeao
Au cours d’une rencontre avec les ressortissants de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) vivant en Côte d’Ivoire, le 25 février, à son cabinet, au Plateau, Kouadio Konan Bertin dit KKB, ministre de la Réconciliation nationale, a indiqué qu’il attendait beaucoup d’eux pour une Côte d’Ivoire unie et en paix. Car ils ont leur partition à jouer pour que le Président de la République, Alassane Ouattara, dont l’un des projets phares est l’unité nationale, atteigne son objectif.
Face aux hommes et aux femmes, représentant les différents pays membres de la communauté, il a fait savoir que c’est avec leur concours que la Côte d’Ivoire qui autrefois était un havre de paix, pourra reprendre sa place de « pays de paix et d’hospitalité » d’antan.
Pour lui, la porte ouverte du Président Félix Houphouët-Boigny et poursuivie par le Chef de l’État actuel doit être une occasion d’aider le pays à se construire pour le bonheur de tous. « Aucun pays ne doit servir de base arrière pour déstabiliser un autre », prévient-il.
Le ministre de la Réconciliation nationale compte solliciter au plus haut niveau, après avoir pris connaissance des problèmes qui minent la vie des populations de la Cedeao et leurs hôtes ivoiriens, les responsables des différents pays pour qu’ « ensemble, nous mettions en place une feuille de route qui nous mènera à une paix véritable et durable ».
C’est pour cette raison que le ministre fait des différents représentants de la Cedeao, des ambassadeurs de la paix et de la réconciliation auprès de leurs frères pour que les choses se passent le mieux possible. Car pour KKB, il est inconcevable que la Côte d’Ivoire qui servait de médiateur dans le règlement des conflits au plan sous-régional et même africain, sous le Président Félix Houphouët-Boigny, ne parvienne pas à trouver une solution efficace pour la réconciliation après le décès de ce dernier. Alors que, précise-t-il, « la Côte d’Ivoire est un grenier que ni les Ivoiriens, ni les ressortissants d’un pays quelconque n’ont intérêt à voir brûler ». « Faisons tout pour que les mots coup d’État, boycott et autres soient bannis de nos dictionnaires », a insisté le ministre.
Homme-orchestre de la rencontre, Émile Kima, bien connu pour son engagement pour la paix, a fait savoir que c’est un grand honneur pour lui de voir le Président de la République confier le ministère de la Réconciliation à KKB. Il lui a traduit tout son soutien avant d’engager les représentants de la Cedeao, sous sa coupole, à l’aider à réussir sa mission.
A sa suite, Salam Djintigo et Issa Uamba, tous deux représentants de la Cedeao, ont saisi l’appel du ministre et promis de tout faire pour que les ressortissants de la Cedeao vivent en parfaite harmonie avec les Ivoiriens et jouent le rôle d’ambassadeur souhaité par celui-ci pour le bonheur de tous.
Pour lui, la porte ouverte du Président Félix Houphouët-Boigny et poursuivie par le Chef de l’État actuel doit être une occasion d’aider le pays à se construire pour le bonheur de tous. « Aucun pays ne doit servir de base arrière pour déstabiliser un autre », prévient-il.
Le ministre de la Réconciliation nationale compte solliciter au plus haut niveau, après avoir pris connaissance des problèmes qui minent la vie des populations de la Cedeao et leurs hôtes ivoiriens, les responsables des différents pays pour qu’ « ensemble, nous mettions en place une feuille de route qui nous mènera à une paix véritable et durable ».
C’est pour cette raison que le ministre fait des différents représentants de la Cedeao, des ambassadeurs de la paix et de la réconciliation auprès de leurs frères pour que les choses se passent le mieux possible. Car pour KKB, il est inconcevable que la Côte d’Ivoire qui servait de médiateur dans le règlement des conflits au plan sous-régional et même africain, sous le Président Félix Houphouët-Boigny, ne parvienne pas à trouver une solution efficace pour la réconciliation après le décès de ce dernier. Alors que, précise-t-il, « la Côte d’Ivoire est un grenier que ni les Ivoiriens, ni les ressortissants d’un pays quelconque n’ont intérêt à voir brûler ». « Faisons tout pour que les mots coup d’État, boycott et autres soient bannis de nos dictionnaires », a insisté le ministre.
Homme-orchestre de la rencontre, Émile Kima, bien connu pour son engagement pour la paix, a fait savoir que c’est un grand honneur pour lui de voir le Président de la République confier le ministère de la Réconciliation à KKB. Il lui a traduit tout son soutien avant d’engager les représentants de la Cedeao, sous sa coupole, à l’aider à réussir sa mission.
A sa suite, Salam Djintigo et Issa Uamba, tous deux représentants de la Cedeao, ont saisi l’appel du ministre et promis de tout faire pour que les ressortissants de la Cedeao vivent en parfaite harmonie avec les Ivoiriens et jouent le rôle d’ambassadeur souhaité par celui-ci pour le bonheur de tous.