La bataille s'annonce épique entre militaires et Figthers ce mercredi soir. (DR)
Basket-ball (match en retard de 1ère journée) : Un palpitant Abc-Soa ce mercredi, au Palais des sports !
Ce mercredi 10 mars, après le boulot, les amoureux de la balle au panier vont pouvoir déstresser au palais des sports de Treichville. En effet, la Fédération ivoirienne de basket-ball leur a préparé une belle surprise, un certain Abc-Soa. Le must du basket-ball ivoirien en ce moment.
Ce match en retard qui compte pour la 1ère journée du championnat national de basket-ball ne sera pas simple. En tout cas, l’équipe qui veut triompher ce soir devra sortir les tripes.
En effet, c’est de notoriété publique, l’Abidjan basket club (Abc) est l’ogre du championnat national. Depuis 2003, l’Abc enfile les titres à la pelle. Sauf en 2017 où le club prenait la tête d’une fronde contre le président Agui-Mathieu et faisait une croix sur la saison 2016-2017. Ce qui a permis à Azur d’ouvrir son palmarès. Mais la saison qui a suivi, l’Abc a repris sa couronne.
Cette saison, l’équipe a fait sa mue. Elle a renouvelé ses instances et mis en place un nouveau staff technique. L’Abc s’est même baptisé « Fighters » (les combattants). Un état d’esprit que Stéphane Konaté et ses équipiers traduisent dans les faits chaque week-end sur le parquet du palais des Sports de Treichville.
Jusqu’ici, aucune équipe du championnat ne leur résiste. Samedi, ils ont pilonné le Séwé (128-46). A qui le tour ? La Soa ? pas si sûr. Car les militaires qui ont terminé vice-champions croient dur comme fer que le temps est venu pour eux d'être champions. Et puis, ils ont la chance d’avoir sur le banc de touche Christian Coulibaly Alias Larry, coach de l’Abc pendant plusieurs années.
Larry connaît les joueurs et l’équipe de l’Abc. Même s’il dit ne pas avoir l’effectif de rêve pour battre les grandes équipes, le nouveau coach de la Soa dispose d’un groupe homogène. « C’est un mélange d’anciens et de jeunes. Une forme de symbiose qui donne l’envie aux uns et aux autres de décupler ses forces pour aider l’équipe à évoluer », confie Larry.
Cette équipe de la Soa qui casse tout sur son passage depuis le coup d’envoi de la compétition, fait peur à sa manière.
Avant ce choc, il est prévu un bon petit spectacle entre Ivestp et Azur. Une équipe d’étudiants qui a baissé la garde après un début tonitruant, face à des Azuréens qui montent en puissance au fil des rencontres. Spectacle garanti.
En effet, c’est de notoriété publique, l’Abidjan basket club (Abc) est l’ogre du championnat national. Depuis 2003, l’Abc enfile les titres à la pelle. Sauf en 2017 où le club prenait la tête d’une fronde contre le président Agui-Mathieu et faisait une croix sur la saison 2016-2017. Ce qui a permis à Azur d’ouvrir son palmarès. Mais la saison qui a suivi, l’Abc a repris sa couronne.
Cette saison, l’équipe a fait sa mue. Elle a renouvelé ses instances et mis en place un nouveau staff technique. L’Abc s’est même baptisé « Fighters » (les combattants). Un état d’esprit que Stéphane Konaté et ses équipiers traduisent dans les faits chaque week-end sur le parquet du palais des Sports de Treichville.
Jusqu’ici, aucune équipe du championnat ne leur résiste. Samedi, ils ont pilonné le Séwé (128-46). A qui le tour ? La Soa ? pas si sûr. Car les militaires qui ont terminé vice-champions croient dur comme fer que le temps est venu pour eux d'être champions. Et puis, ils ont la chance d’avoir sur le banc de touche Christian Coulibaly Alias Larry, coach de l’Abc pendant plusieurs années.
Larry connaît les joueurs et l’équipe de l’Abc. Même s’il dit ne pas avoir l’effectif de rêve pour battre les grandes équipes, le nouveau coach de la Soa dispose d’un groupe homogène. « C’est un mélange d’anciens et de jeunes. Une forme de symbiose qui donne l’envie aux uns et aux autres de décupler ses forces pour aider l’équipe à évoluer », confie Larry.
Cette équipe de la Soa qui casse tout sur son passage depuis le coup d’envoi de la compétition, fait peur à sa manière.
Avant ce choc, il est prévu un bon petit spectacle entre Ivestp et Azur. Une équipe d’étudiants qui a baissé la garde après un début tonitruant, face à des Azuréens qui montent en puissance au fil des rencontres. Spectacle garanti.