Taekwondo/saison sportive 2020-2021 : Ça bouge déjà dans tout le pays
Plus de deux mille pratiquants ont été évalués en une semaine, à travers le pays.
Depuis une semaine, la pratique du taekwondo a repris sur toute l’étendue du territoire national. Partout dans le pays, du district d’Abidjan jusque dans le Kabadougou (Odienné), en passant par le Gbêkê (Bouaké) et le Sud-Comoé, tous ont enfilé le dobok pour annoncer la couleur de la nouvelle saison sportive.
Une année sportive qui, précise-t-on, sera aux couleurs des Jeux Olympiques de Tokyo. Sans toutefois abandonner les activités locales. En tout cas, ils ont fait fort en commençant par une évaluation d’envergure, pour faire l’état des lieux avant la grande aventure 2021. Ce sont plus de 2000 pratiquants qui ont été notés depuis le début de la saison.
Ce passage de grades éclaté organisé par la Commission formation-évaluation de la fédération, avec une forte implication de toutes ses structures déconcentrées (Ligues communales, départementales et régionales), participe de la volonté du président Bamba Cheick Daniel de rapprocher davantage la pratique de la base.
Depuis son avènement à la tête de la Fitkd, Me Bamba Cheick, dans un souci de laisser une maison viable et autonome, ne cesse de permettre aux ligues d’avoir les coudées franches afin de les aider à prendre toutes leurs responsabilités.
Avec cette première activité 2021, il est clair que l’objectif est quasiment atteint. Au regard de ce qui a été donné de voir depuis quelques jours.
Cocody et Bouaké au-dessus du lot
Tout a commencé à Cocody-Angré 1, le 21 mars. La Ligue communale de Cocody et son président, Me Serge Nabi Soumah, ont battu le record d’affluence. Pour cette première articulation de la saison, ils ont mobilisé 485 candidats.
Un peu plus qu’à Bouaké où la Ligue de Gêkê conduite par le président Brou N’Doua a sorti le grand jeu, avec 440 candidats pour le passage de grades des ceintures de couleur. Obligeant la Fitkd à utiliser les grands moyens, dépêchant six évaluateurs dans la ville.
A Odiénné, c’est le lycée moderne 1 qui a servi de cadre à l’évaluation des impétrants, au nombre de 115. Principalement des pratiquants de 1er à 8e Keup, qui ont fait valoir leur back-ground en matière de taekwondo devant un jury composé d’émissaires de la fédération dont Me Kourouma Mamadou et Tapé Nestor, tous deux Cn 5e Dan.
Aboisso, capitale du Sud-Comoé, n’était pas en reste. Là-bas, une centaine de candidats ont été évalués sous le regard de Me Patrice Diarra Aly, président de la Ligue locale, qui représentait le président de la fédération.
Dans cette ville, la manifestation était placée sous le parrainage et la présence effective du Père Niakouri François d’Assise, supérieur du petit séminaire Alberto Fontana et chef du Cours secondaire catholique de la ville. Un des prêtres bien connus dans les fichiers de la Fitkd, avec son collègue, le Père Tiémélé (Cn 3e Dan).
Tous ont été évalués selon leurs aptitudes et connaissance en poomsae, combats, attaque-défense et leur culture de la discipline.
Ce passage de grades éclaté organisé par la Commission formation-évaluation de la fédération, avec une forte implication de toutes ses structures déconcentrées (Ligues communales, départementales et régionales), participe de la volonté du président Bamba Cheick Daniel de rapprocher davantage la pratique de la base.
Depuis son avènement à la tête de la Fitkd, Me Bamba Cheick, dans un souci de laisser une maison viable et autonome, ne cesse de permettre aux ligues d’avoir les coudées franches afin de les aider à prendre toutes leurs responsabilités.
Avec cette première activité 2021, il est clair que l’objectif est quasiment atteint. Au regard de ce qui a été donné de voir depuis quelques jours.
Cocody et Bouaké au-dessus du lot
Tout a commencé à Cocody-Angré 1, le 21 mars. La Ligue communale de Cocody et son président, Me Serge Nabi Soumah, ont battu le record d’affluence. Pour cette première articulation de la saison, ils ont mobilisé 485 candidats.
Un peu plus qu’à Bouaké où la Ligue de Gêkê conduite par le président Brou N’Doua a sorti le grand jeu, avec 440 candidats pour le passage de grades des ceintures de couleur. Obligeant la Fitkd à utiliser les grands moyens, dépêchant six évaluateurs dans la ville.
A Odiénné, c’est le lycée moderne 1 qui a servi de cadre à l’évaluation des impétrants, au nombre de 115. Principalement des pratiquants de 1er à 8e Keup, qui ont fait valoir leur back-ground en matière de taekwondo devant un jury composé d’émissaires de la fédération dont Me Kourouma Mamadou et Tapé Nestor, tous deux Cn 5e Dan.
Aboisso, capitale du Sud-Comoé, n’était pas en reste. Là-bas, une centaine de candidats ont été évalués sous le regard de Me Patrice Diarra Aly, président de la Ligue locale, qui représentait le président de la fédération.
Dans cette ville, la manifestation était placée sous le parrainage et la présence effective du Père Niakouri François d’Assise, supérieur du petit séminaire Alberto Fontana et chef du Cours secondaire catholique de la ville. Un des prêtres bien connus dans les fichiers de la Fitkd, avec son collègue, le Père Tiémélé (Cn 3e Dan).
Tous ont été évalués selon leurs aptitudes et connaissance en poomsae, combats, attaque-défense et leur culture de la discipline.