
Le secrétaire général de la Fédération ivoirienne de taekwondo, Me Anzoumana Siaka alias Me Anz. (Photo : DR)
Le secrétaire général de la Fédération ivoirienne de taekwondo, Me Anzoumana Siaka alias Me Anz. (Photo : DR)
Me Anz (SG de la Fitkd) : « Aucune limite, pas de périodicité pour réviser les textes »
Le Comité directeur de la Fédération ivoirienne de taekwondo (Codir-Fitkd) ne lésine pas sur les moyens pour mettre tous les membres actifs au même niveau d’information sur la marche de la discipline.
Le bureau fait l’effort, à chaque étape, de rendre compte à ses mandants des différentes évolutions en la matière. Cet exercice s’est accru depuis la tentative de déstabilisation étouffée dans l’œuf en 2018. Il est vrai qu’ils ont décidé de ne pas céder au chant des sirènes pour préserver les acquis importants engrangés depuis 2009, mais les taekwondo-in ne peuvent pas non plus rester les bras croisés face aux bruits qui courent.
« D’abord, il faut que chacun de nous sache que dans les organisations telles que la Fédération ivoirienne de taekwondo, l'organe souverain demeure l'assemblée générale (Ag). Seule l'assemblée générale peut procéder à des amendements. Et ce, en toute souveraineté. Ensuite la Fitkd, en tant que membre de la World taekwondo, fonctionne au rythme des changements qui s'opèrent au sein de cette instance internationale et doit tenir compte des réalités qui s'imposent au taekwondo ivoirien. C'est pourquoi la Fitkd procède de temps à autre, lors de ses Ag, à la modification de ses statuts et règlement intérieur. C'est ce qu'a fait le président Bamba Cheick Daniel de 2009 à ce jour », indique, d’emblée, le secrétaire général de la Fédération, Anzoumana Siaka, connu sous le sobriquet de Me Anz.
Avant de répondre aux allégations tendant à incriminer le comité directeur sur les différents amendements des textes. « La révision des textes n'a ni limite, ni une périodicité qui contraigne la Fitkd à la respecter », dit-il.
Pour corroborer ses dires, Me Anz a pris l’exemple de la World taekwondo. « Depuis 2009, la World taekwondo a effectué 18 révisions de ses statuts : une fois en 2008 (le 6 mai), une fois en 2009 (le 3 février), deux fois en 2010 (les 2 mars et 7 octobre), deux fois en 2011, une fois en 2012, etc. La dernière modification date du 14 mai 2019 », a souligné le secrétaire général de la Fédération. Dix-huit révisions des textes en 12 ans, là où le Codir-Fitkd n’a retouché que 4 fois ses textes.
« D’abord, il faut que chacun de nous sache que dans les organisations telles que la Fédération ivoirienne de taekwondo, l'organe souverain demeure l'assemblée générale (Ag). Seule l'assemblée générale peut procéder à des amendements. Et ce, en toute souveraineté. Ensuite la Fitkd, en tant que membre de la World taekwondo, fonctionne au rythme des changements qui s'opèrent au sein de cette instance internationale et doit tenir compte des réalités qui s'imposent au taekwondo ivoirien. C'est pourquoi la Fitkd procède de temps à autre, lors de ses Ag, à la modification de ses statuts et règlement intérieur. C'est ce qu'a fait le président Bamba Cheick Daniel de 2009 à ce jour », indique, d’emblée, le secrétaire général de la Fédération, Anzoumana Siaka, connu sous le sobriquet de Me Anz.
Avant de répondre aux allégations tendant à incriminer le comité directeur sur les différents amendements des textes. « La révision des textes n'a ni limite, ni une périodicité qui contraigne la Fitkd à la respecter », dit-il.
Pour corroborer ses dires, Me Anz a pris l’exemple de la World taekwondo. « Depuis 2009, la World taekwondo a effectué 18 révisions de ses statuts : une fois en 2008 (le 6 mai), une fois en 2009 (le 3 février), deux fois en 2010 (les 2 mars et 7 octobre), deux fois en 2011, une fois en 2012, etc. La dernière modification date du 14 mai 2019 », a souligné le secrétaire général de la Fédération. Dix-huit révisions des textes en 12 ans, là où le Codir-Fitkd n’a retouché que 4 fois ses textes.