Randonnée pédestre : Koun-Fao et Tanda à l’honneur

Les jeunes randonneurs du zanzan s'organisent pour mieux participer aux activités de la Firape. (DR)
Les jeunes randonneurs du zanzan s'organisent pour mieux participer aux activités de la Firape. (DR)
Les jeunes randonneurs du zanzan s'organisent pour mieux participer aux activités de la Firape. (DR)

Randonnée pédestre : Koun-Fao et Tanda à l’honneur

Le 15/04/21 à 14:29
modifié 15/04/21 à 14:37
La Fédération ivoirienne de randonnée pédestre et du bien-être pour tous (Firape) est en plein dans sa saison sportive 2021. Ce jeudi 15 avril, à partir de 15h, elle va installer le président du club du lycée Bad de Koun-Fao.

« Tout cela participe de notre politique de vulgarisation et de promotion des activités de la randonnée et ses activités intégrantes. Nous en profitons pour encourager et susciter la création de clubs de randonnée pédestre en milieu scolaire », explique la présidente de la Firape, Marie-Laure Essan.

Toute l’équipe fédérale mettra par la suite le cap sur la ville de Tanda pour un autre rendez-vous non moins important. « Ce sera le matin, à partir de 8h au stade Prince Adingra. A Koun-Fao, tout comme à Tanda, il est prévu, en plus de la randonnée pédestre, un giga fitness avec les autorités et toutes les composantes des établissements scolaires de la ville d’accueil », précise-t-elle.

Après une année 2020 plombée par le coronavirus, la patronne de la randonnée pédestre en Côte d’Ivoire et de tout le continent a décidé d’y aller à fond cette année, mais dans le respect des mesures barrières. Il y a deux semaines, tout le staff de la Firape était à Yamoussoukro pour un « Hakking women 2021 », qui a tenu toutes ses promesses à la place Jean-Paul II.

Une grande fête de promotion de la discipline qui avait mobilisé 500 femmes de toutes les couches sociales. « C’est ainsi que, petit-à-petit, nous allons convaincre toutes les populations ivoiriennes à pratiquer l’activité physique qu’est la randonnée pédestre. Un sport simple à pratiquer, mais ô combien salvateur », insiste Marie-Laure Essan.


Le 15/04/21 à 14:29
modifié 15/04/21 à 14:37