Transport routier: La Fenacci appelle les commerçants à mettre fin aux surcharges des véhicules de marchandises
La Fédération nationale des acteurs du commerce de Côte d’Ivoire (Fenacci) a décidé de s’impliquer dans la lutte contre la surcharge. Dans ce sens, elle a entamé le 22 avril 2021, à Bouaké, une campagne nationale de sensibilisation contre la surcharge des véhicules de transport de marchandises.
A cet effet, le directeur général adjoint de la structure, Ouattara Sékou, a donné les raisons de l’implication des acteurs de commerce dans cette opération.
« Depuis le 15 avril 2021, la Côte d’Ivoire a mis en application le règlement 14 de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa) avec une tolérance de 15% sur les poids. Il était donc bon que tous les acteurs de commerce qui sont les ordonnateurs de frets (marchandises) soient informés et sensibilisés parce qu’à la vérité, lorsqu’un camion fait de la surcharge et qu’il est saisi, c’est le commerçant qui paye les frais supplémentaires », a-t-il souligné.
Il a par ailleurs déploré les conséquences économiques de cette pratique sur les infrastructures routières. « Il est clair que tous ceux qui font des surcharges ne respectent pas toutes les procédures douanières. Ils trouvent toujours des formules pour passer les frontières. Ils ne respectent non plus les routes qui se dégradent en très peu de temps sous le poids des camions surchargés. Des milliards investis dans la construction de nos routes partent ainsi en ''fumée''. Quand il n’y a pas de bonnes routes, ce ne sont pas seulement les transporteurs qui paient le lourd tribut, mais il y a aussi les commerçants qui ne peuvent pas mener à bien leurs activités », a-t-il expliqué, tout en exhortant les opérateurs économiques à contribuer à respecter la directive de l’Uemoa relativement à la surcharge des camions.
Au nom de l’ensemble des commerçants de la région de Gbêkê, Diallo Moussa, membre de la Fenacci, a salué l’initiative et a traduit ses remerciements à ses dirigeants avec à leur tête le président Farikou Soumahoro. Il a également assuré de la disponibilité des opérateurs économiques à appliquer les consignes reçues.
« C’est nous qui pratiquons les routes. Si elles sont en bon état, c’est nous qui en sommes les plus grands bénéficiaires. Nous remercions la Fenacci et son président pour cette initiative qui vise à nous amener à protéger nos routes afin qu’elles durent le plus longtemps possible », a-t-il déclaré.
« Depuis le 15 avril 2021, la Côte d’Ivoire a mis en application le règlement 14 de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa) avec une tolérance de 15% sur les poids. Il était donc bon que tous les acteurs de commerce qui sont les ordonnateurs de frets (marchandises) soient informés et sensibilisés parce qu’à la vérité, lorsqu’un camion fait de la surcharge et qu’il est saisi, c’est le commerçant qui paye les frais supplémentaires », a-t-il souligné.
Il a par ailleurs déploré les conséquences économiques de cette pratique sur les infrastructures routières. « Il est clair que tous ceux qui font des surcharges ne respectent pas toutes les procédures douanières. Ils trouvent toujours des formules pour passer les frontières. Ils ne respectent non plus les routes qui se dégradent en très peu de temps sous le poids des camions surchargés. Des milliards investis dans la construction de nos routes partent ainsi en ''fumée''. Quand il n’y a pas de bonnes routes, ce ne sont pas seulement les transporteurs qui paient le lourd tribut, mais il y a aussi les commerçants qui ne peuvent pas mener à bien leurs activités », a-t-il expliqué, tout en exhortant les opérateurs économiques à contribuer à respecter la directive de l’Uemoa relativement à la surcharge des camions.
Au nom de l’ensemble des commerçants de la région de Gbêkê, Diallo Moussa, membre de la Fenacci, a salué l’initiative et a traduit ses remerciements à ses dirigeants avec à leur tête le président Farikou Soumahoro. Il a également assuré de la disponibilité des opérateurs économiques à appliquer les consignes reçues.
« C’est nous qui pratiquons les routes. Si elles sont en bon état, c’est nous qui en sommes les plus grands bénéficiaires. Nous remercions la Fenacci et son président pour cette initiative qui vise à nous amener à protéger nos routes afin qu’elles durent le plus longtemps possible », a-t-il déclaré.