Atelier régional du Partenariat de Ouagadougou : La Côte d’Ivoire accueille une restitution des résultats de recherche en santé de la reproduction
L’ouverture de l’atelier régional de restitution des résultats des recherches, initiées dans le cadre de l’agenda de recherche du Partenariat de Ouagadougou (PO), a eu lieu ce mardi 12 novembre 2024 à Marcory. Cette rencontre, qui se poursuivra jusqu’au jeudi 14 novembre 2024, a pour objectif de présenter les résultats des recherches et d’élaborer des plans d’action pour leur utilisation dans les politiques et stratégies de santé.
Représentant Pierre Dimba, ministre ivoirien de la Santé, de l'Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle, Dr Bamba Fatoumata, directrice coordonnatrice du programme mère-enfant, a salué l’importance de cet atelier, qui constitue une étape clé pour le développement des politiques de santé publique basées sur des données scientifiques. Cet atelier, a-t-elle indiqué, permettra d’une part de renforcer la recherche sur la santé de la reproduction, en particulier la planification familiale, en réponse aux besoins exprimés par les décideurs. Puis d’autre part, offrira aux chercheurs d’Afrique de l’Ouest l’opportunité de développer leurs compétences pour guider les politiques et stratégies de santé.
« Aujourd'hui, nous allons découvrir les résultats des recherches menées par les trois instituts bénéficiaires de subventions dans le cadre de cette première cohorte. Ces études couvrent des thèmes prioritaires identifiés par les pays membres du PO », a-t-elle déclaré.
Selon la directrice coordonnatrice du programme mère-enfant, cet atelier est une étape clé dans le parcours de l’agenda de recherche. « À l’issue de ces échanges, nous espérons que des actions précises et bien structurées émergeront pour assurer que ces connaissances soient mises au service des populations de notre région. Je tiens à remercier chaleureusement tous les instituts et chercheurs dont le travail, le dévouement, et la rigueur contribuent à la vision commune du Partenariat de Ouagadougou », a-t-elle conclu.
Pour sa part, Marie Ba, directrice de l’unité de coordination du Partenariat de Ouagadougou, a rappelé que malgré les progrès réalisés entre 2012 et 2020 en matière de planification familiale, la région fait face à un ralentissement des avancées. Elle a toutefois félicité la Côte d’Ivoire pour son rôle exemplaire au sein de ce partenariat de Ouagadougou qui regroupe neuf pays. À l’entendre : « Depuis trois ans, la Côte d’Ivoire est en tête en termes d’utilisatrices additionnelles de méthodes modernes de contraception. »
Didier Assoumou
« Aujourd'hui, nous allons découvrir les résultats des recherches menées par les trois instituts bénéficiaires de subventions dans le cadre de cette première cohorte. Ces études couvrent des thèmes prioritaires identifiés par les pays membres du PO », a-t-elle déclaré.
Selon la directrice coordonnatrice du programme mère-enfant, cet atelier est une étape clé dans le parcours de l’agenda de recherche. « À l’issue de ces échanges, nous espérons que des actions précises et bien structurées émergeront pour assurer que ces connaissances soient mises au service des populations de notre région. Je tiens à remercier chaleureusement tous les instituts et chercheurs dont le travail, le dévouement, et la rigueur contribuent à la vision commune du Partenariat de Ouagadougou », a-t-elle conclu.
Pour sa part, Marie Ba, directrice de l’unité de coordination du Partenariat de Ouagadougou, a rappelé que malgré les progrès réalisés entre 2012 et 2020 en matière de planification familiale, la région fait face à un ralentissement des avancées. Elle a toutefois félicité la Côte d’Ivoire pour son rôle exemplaire au sein de ce partenariat de Ouagadougou qui regroupe neuf pays. À l’entendre : « Depuis trois ans, la Côte d’Ivoire est en tête en termes d’utilisatrices additionnelles de méthodes modernes de contraception. »
Didier Assoumou