Initiative pêche côtière Afrique de l’Ouest : Le projet enregistre des avancées notables
L’équipe de mise en œuvre du projet Initiative pêche côtière Afrique de l’Ouest (IPC-AO) a présenté le 6 mai, à la direction de l’aquaculture et des pêches à Treichville, les résultats atteints en 2020 et les perspectives pour l’année 2021, au cours du Comité technique national (Ctn).
Il ressort des échanges que malgré la pandémie de Covid-19, le projet enregistre des avancées notables dans le domaine de la gouvernance et de la gestion des pêches, mais également dans celui de la chaîne de valeur des produits de la mer.
Il s’agit notamment de l’analyse de la loi n° 2016-554 du 26 juillet 2016 relative à la pêche et à l’aquaculture et ses textes d’applications, de l’inventaire des projets/programmes et initiatives dans le secteur des pêches et aquaculture en Côte d’Ivoire de 2015 à 2025.
Le choix de deux produits de la pêche, à savoir le thon et la sardinelle, qui feront l’objet d’analyse de la chaîne de valeur sensible au genre, puis la réalisation de l’Étude des fonctions, biens et services écosystémiques et de l’évolution à travers une cartographie diachronique des écosystèmes de mangrove du complexe Sassandra – Dagbego figurent parmi les progrès enregistrés.
Le succès concerne aussi la plantation de 5 ha de mangrove, la régénération naturelle assistée de 25 ha de mangrove et la mise en défens de 145 ha de mangrove dans 8 villages du département de Sassandra.
En outre, quatre sessions de formation sur les techniques de plantation de mangrove à environ 85 membres d’associations communautaires et de huit séances de sensibilisation sur les bienfaits des mangroves et leur importance pour la chaîne de valeur de la pêcherie constituent des éléments de progression notable du projet.
La cartographie des structures commerciales et établissements financiers ayant des intérêts dans la pêche artisanale ; la disponibilité de données sur le marché national, collectées pendant l’étude de marché des produits de la pêche (rapport non encore validé par la coordination du projet) et celles de l’analyse couts-bénéfices des principaux produits viennent compléter la liste des avancées phares du projet.
À cela s’ajoute un plan de communication stratégique pour assurer la visibilité des composantes du projet.
À l’occasion, le directeur de l’aquaculture et des pêches, Shep Helguilè, a expliqué que « la création du Comité Technique National (CTN) vise à améliorer le partage d’informations sur la mise en œuvre du projet IPC-Afrique de l’Ouest avec les partenaires et les parties prenantes publiques et privées ».
Se félicitant des engagements internationaux de la Côte d’Ivoire en matière de gouvernance efficace des pêches, il a souligné l’importance du projet IPC dans l’amélioration des conditions de travail du secteur de la pêche.
Pour sa part, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao) s’est félicitée des acquis enregistrés durant l’année 2020. « Ils permettront aux Ivoiriens de tirer parti des avantages d’une gestion durable de leurs pêcheries, de la restauration des mangroves et des écosystèmes côtiers et marins tout en œuvrant à l’amélioration des conditions de travail et à l’autonomisation des femmes dans la chaîne de valeur des produits de la mer », a indiqué l’administrateur national du projet, Koné Aboubakar.
Il s’agit notamment de l’analyse de la loi n° 2016-554 du 26 juillet 2016 relative à la pêche et à l’aquaculture et ses textes d’applications, de l’inventaire des projets/programmes et initiatives dans le secteur des pêches et aquaculture en Côte d’Ivoire de 2015 à 2025.
Le choix de deux produits de la pêche, à savoir le thon et la sardinelle, qui feront l’objet d’analyse de la chaîne de valeur sensible au genre, puis la réalisation de l’Étude des fonctions, biens et services écosystémiques et de l’évolution à travers une cartographie diachronique des écosystèmes de mangrove du complexe Sassandra – Dagbego figurent parmi les progrès enregistrés.
Le succès concerne aussi la plantation de 5 ha de mangrove, la régénération naturelle assistée de 25 ha de mangrove et la mise en défens de 145 ha de mangrove dans 8 villages du département de Sassandra.
En outre, quatre sessions de formation sur les techniques de plantation de mangrove à environ 85 membres d’associations communautaires et de huit séances de sensibilisation sur les bienfaits des mangroves et leur importance pour la chaîne de valeur de la pêcherie constituent des éléments de progression notable du projet.
La cartographie des structures commerciales et établissements financiers ayant des intérêts dans la pêche artisanale ; la disponibilité de données sur le marché national, collectées pendant l’étude de marché des produits de la pêche (rapport non encore validé par la coordination du projet) et celles de l’analyse couts-bénéfices des principaux produits viennent compléter la liste des avancées phares du projet.
À cela s’ajoute un plan de communication stratégique pour assurer la visibilité des composantes du projet.
À l’occasion, le directeur de l’aquaculture et des pêches, Shep Helguilè, a expliqué que « la création du Comité Technique National (CTN) vise à améliorer le partage d’informations sur la mise en œuvre du projet IPC-Afrique de l’Ouest avec les partenaires et les parties prenantes publiques et privées ».
Se félicitant des engagements internationaux de la Côte d’Ivoire en matière de gouvernance efficace des pêches, il a souligné l’importance du projet IPC dans l’amélioration des conditions de travail du secteur de la pêche.
Pour sa part, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao) s’est félicitée des acquis enregistrés durant l’année 2020. « Ils permettront aux Ivoiriens de tirer parti des avantages d’une gestion durable de leurs pêcheries, de la restauration des mangroves et des écosystèmes côtiers et marins tout en œuvrant à l’amélioration des conditions de travail et à l’autonomisation des femmes dans la chaîne de valeur des produits de la mer », a indiqué l’administrateur national du projet, Koné Aboubakar.