Caroline Da Sylva, organisatrice de ‘’Drôles de femmes": “À un certain point, le théâtre s’est retrouvé à l’agonie. Il fallait y remédier”
Le théâtre ivoirien retrouve peu à peu ses heures de gloire à travers la collaboration entre les légendes de la discipline et les personnalités humoristiques de la nouvelle génération.
« Drôles de femmes, c’est du théâtre, mais pas du théâtre à l’ancienne. Nous apprécions l’héritage de nos prédécesseurs qui nous ont montré le chemin, appris la valeur historique de cet art. Mais, à un certain point, le théâtre s’est retrouvé à l’agonie. Il fallait remédier à cela et penser à une innovation qui allait intéresser toutes les générations, toutes les couches sociales ». C'est ainsi que Caroline Da Sylva, créatrice du spectacle humoristique 100 % féminin, « Drôles de femmes », a présenté son projet lors de la conférence de presse qui s’est tenue le 18 mai 2021, à l’hôtel Palm Club, à Abidjan (Côte d’Ivoire).
Une vision du théâtre ivoirien partagée par les différents partenaires, dont le ministère du Tourisme et des Loisirs qui voit là une occasion de porter haut les couleurs du drapeau. « Le théâtre est une identité culturelle de notre pays sur laquelle, en tant que chargé du tourisme, nous devons nous appuyer pour créer de la visibilité », renchérit Isabelle Anoh, représentant le ministre du Tourisme et des Loisirs, Siandou Fofana.
Cet événement suscite l'intérêt de plusieurs acteurs même hors de la sphère culturelle par son message en faveur de la femme et qui se donne pour mission la revalorisation du genre féminin. « Ce spectacle est si cher au ministre Amadou Koné que son département en est à sa deuxième participation. À travers ce partenariat, il tient à montrer son intérêt pour la cause de l'autonomisation des femmes. Nous savons tous l'impact du revenu d'une femme dans le foyer, sur l'épanouissement des enfants et du conjoint », souligne Aka Stéphanie qui représentait le ministre des Transports, Amadou Koné.
Quelques membres de la troupe ont joué un extrait de la représentation prévue pour la deuxième édition, pour le plus grand plaisir des invités.
Rappelons que l’évènement se tiendra les 29 mai et 12 juin 2021, respectivement au Palais de la Culture de Treichville et au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire à Cocody.
Pour cette édition, l’on retrouvera sur scène deux types d’actrices, à savoir les « Pagneuses » et les « Collantières » lesquelles représentent deux générations différentes. D’un côté, les femmes africaines vêtues de pagnes wax, attachées aux valeurs traditionnelles et de l’autre, la nouvelle génération, avec une vision de la vie moderne.
Paule-Emmanuelle Delbe (Stagiaire)
Une vision du théâtre ivoirien partagée par les différents partenaires, dont le ministère du Tourisme et des Loisirs qui voit là une occasion de porter haut les couleurs du drapeau. « Le théâtre est une identité culturelle de notre pays sur laquelle, en tant que chargé du tourisme, nous devons nous appuyer pour créer de la visibilité », renchérit Isabelle Anoh, représentant le ministre du Tourisme et des Loisirs, Siandou Fofana.
Cet événement suscite l'intérêt de plusieurs acteurs même hors de la sphère culturelle par son message en faveur de la femme et qui se donne pour mission la revalorisation du genre féminin. « Ce spectacle est si cher au ministre Amadou Koné que son département en est à sa deuxième participation. À travers ce partenariat, il tient à montrer son intérêt pour la cause de l'autonomisation des femmes. Nous savons tous l'impact du revenu d'une femme dans le foyer, sur l'épanouissement des enfants et du conjoint », souligne Aka Stéphanie qui représentait le ministre des Transports, Amadou Koné.
Quelques membres de la troupe ont joué un extrait de la représentation prévue pour la deuxième édition, pour le plus grand plaisir des invités.
Rappelons que l’évènement se tiendra les 29 mai et 12 juin 2021, respectivement au Palais de la Culture de Treichville et au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire à Cocody.
Pour cette édition, l’on retrouvera sur scène deux types d’actrices, à savoir les « Pagneuses » et les « Collantières » lesquelles représentent deux générations différentes. D’un côté, les femmes africaines vêtues de pagnes wax, attachées aux valeurs traditionnelles et de l’autre, la nouvelle génération, avec une vision de la vie moderne.
Paule-Emmanuelle Delbe (Stagiaire)