Amadou Coulibaly, ministre de la Communication, des Médias et de la Francophonie. (Photo : Joséphine Kouadio)
Amadou Coulibaly, ministre de la Communication, des Médias et de la Francophonie. (Photo : Joséphine Kouadio)
Hommage à Laurent Dona-Fologo : Le ministre Amadou Coulibaly invite la jeunesse à se souvenir de lui
Le monde de la communication a rendu ce jeudi 20 mai 2021, dans les locaux du groupe Fraternité Matin, un dernier hommage à l’illustre disparu, après ceux de la Nation et du Pdci-Rda.
Le ministre de la Communication, des Médias et de la Francophonie, par ailleurs porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly, dans son oraison funèbre, a invité la jeunesse ivoirienne à suivre l’exemple de cet homme d’Etat. « J’en appelle à la jeunesse, à son devoir de mémoire et de reconnaissance envers celles et ceux qui ont su marquer notre histoire commune en jouant leur partition avec un réel engagement citoyen, à se souvenir de l’homme Dona-Fologo qui fut véritablement bon sur terre, prélude à une grandeur qu’il aura, espérons-le, au ciel dans toute sa dimension », a souhaité l’émissaire du gouvernement.
Pour lui, la vie de Laurent Dona-Fologo (LDF) s’inscrit dans l’intemporalité. « Le président Fologo avait choisi le métier de journaliste pour apporter sa part à l’édification de la jeune nation ivoirienne qui avait tant besoin de cadres. C’est ce volet de sa riche vie qui nous rassemble en ce moment », a-t-il précisé.
A l’en croire, l’histoire de LDF reste intimement liée à celle de la Côte d’Ivoire, tant son dévouement pour sa patrie était grand. « Ce dévouement l’a conduit à tous les niveaux de l’échelle de responsabilité. Il a dédié 22 ans de sa vie au gouvernement. Il a été président d’institution de la République », a rappelé Amadou Coulibaly.
« La grande famille de la communication et des médias prend sa part de deuil et s’incline respectueusement devant sa mémoire. Nous présentons, par ma voix, nos condoléances les plus émues à Madame Danielle Dona-Fologo et à ses enfants », a poursuivi le ministre. Qui a fait savoir que LDF a très vite compris que le développement de la Côte d’Ivoire passe irrémédiablement par l’union et la cohésion sociale.
« Il a trop tôt compris que nous sommes des fils et des filles d’une nation, tous propriétaires du même sol fraternel qu’est la Côte d’Ivoire donc il fallait s’unir. Convaincu déjà que le métissage à l’image de Senghor, le poète, était la solution », a conclu Amadou Coulibaly.
Aussi a-t-il rappelé que Laurent Dona-Fologo a lutté pour la liberté de la presse comme il a lutté pour les autres libertés, des injustices raciales en Afrique du Sud, la démocratie dans nos pays en développement.
Blaky Koné, porte-parole de la famille, a remercié le ministre de la Communication, des Médias et de la Francophonie, et ses collaborateurs pour cette marque de reconnaissance.
Pour lui, la vie de Laurent Dona-Fologo (LDF) s’inscrit dans l’intemporalité. « Le président Fologo avait choisi le métier de journaliste pour apporter sa part à l’édification de la jeune nation ivoirienne qui avait tant besoin de cadres. C’est ce volet de sa riche vie qui nous rassemble en ce moment », a-t-il précisé.
A l’en croire, l’histoire de LDF reste intimement liée à celle de la Côte d’Ivoire, tant son dévouement pour sa patrie était grand. « Ce dévouement l’a conduit à tous les niveaux de l’échelle de responsabilité. Il a dédié 22 ans de sa vie au gouvernement. Il a été président d’institution de la République », a rappelé Amadou Coulibaly.
« La grande famille de la communication et des médias prend sa part de deuil et s’incline respectueusement devant sa mémoire. Nous présentons, par ma voix, nos condoléances les plus émues à Madame Danielle Dona-Fologo et à ses enfants », a poursuivi le ministre. Qui a fait savoir que LDF a très vite compris que le développement de la Côte d’Ivoire passe irrémédiablement par l’union et la cohésion sociale.
« Il a trop tôt compris que nous sommes des fils et des filles d’une nation, tous propriétaires du même sol fraternel qu’est la Côte d’Ivoire donc il fallait s’unir. Convaincu déjà que le métissage à l’image de Senghor, le poète, était la solution », a conclu Amadou Coulibaly.
Aussi a-t-il rappelé que Laurent Dona-Fologo a lutté pour la liberté de la presse comme il a lutté pour les autres libertés, des injustices raciales en Afrique du Sud, la démocratie dans nos pays en développement.
Blaky Koné, porte-parole de la famille, a remercié le ministre de la Communication, des Médias et de la Francophonie, et ses collaborateurs pour cette marque de reconnaissance.