Autonomisation de la jeune fille : Une association invite les étudiantes à plus de responsabilité
Dans le cadre de ses activités, l’Association universitaire de sociologie et des sciences du politique (Auspo) a organisé, récemment, une conférence à l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody autour du thème : « Autonomisation des femmes dans une société en pleine mutation : enjeux et perspectives ».
Pour Jude Gouantouheu, président de l’Auspo, il s’agit de répondre à un besoin de la jeunesse estudiantine surtout des jeunes filles qui ont soif de formation pour qu’elles se prennent en charge. « Pour cette conférence, nous avons invité des femmes parce que nous avons estimé qu’elles sont les mieux placées pour parler aux femmes », a-t-il dit.
Dans son intervention, Fatou Koffi Oura, présidente fondatrice de Versus Fondation, marraine de l’événement, a invité les jeunes filles à rêver grand. « Voulez-vous réussir ou être autonomes ? qu’est-ce que vous faites à votre niveau pour changer les choses ? », s’est-elle interrogée. Avant d’exhorter les jeunes filles à impacter leur environnement et être présentes dans les instances de décision.
Pour Laurence N’Guessan, directeur de cabinet de la Fondation Lola Wis, « on ne peut pas parler d’autonomisation sans une confiance en soi. Il faut avoir confiance en soi face aux défis que la vie va vous proposer ».
« Il n’y a plus d’emplois et le monde est devenu concurrentiel. C’est une jungle, mais vous êtes obligées de réussir. Comment allez-vous faire pour vous démarquer ? La clé de votre réussite c’est la motivation », a conseillé la coach Agnès Fouffe, secrétaire générale de l’Ong Gaha.
Dans son exposé sur « les violences conjugales », Cynthia Kouassi, chargée d’appui aux finances des entreprises à la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (Cci-Ci), a indiqué que la femme autonome dérange dans son foyer. C’est pourquoi elle a invité les jeunes filles à réfléchir sur le choix de leur partenaire avant de s’engager.
Créée en 2013, l’Auspo se veut un incubateur des étudiants en sociologie pour adresser un certain nombre de problématiques de la société.
Info : une correspondance particulière
Dans son intervention, Fatou Koffi Oura, présidente fondatrice de Versus Fondation, marraine de l’événement, a invité les jeunes filles à rêver grand. « Voulez-vous réussir ou être autonomes ? qu’est-ce que vous faites à votre niveau pour changer les choses ? », s’est-elle interrogée. Avant d’exhorter les jeunes filles à impacter leur environnement et être présentes dans les instances de décision.
Pour Laurence N’Guessan, directeur de cabinet de la Fondation Lola Wis, « on ne peut pas parler d’autonomisation sans une confiance en soi. Il faut avoir confiance en soi face aux défis que la vie va vous proposer ».
« Il n’y a plus d’emplois et le monde est devenu concurrentiel. C’est une jungle, mais vous êtes obligées de réussir. Comment allez-vous faire pour vous démarquer ? La clé de votre réussite c’est la motivation », a conseillé la coach Agnès Fouffe, secrétaire générale de l’Ong Gaha.
Dans son exposé sur « les violences conjugales », Cynthia Kouassi, chargée d’appui aux finances des entreprises à la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (Cci-Ci), a indiqué que la femme autonome dérange dans son foyer. C’est pourquoi elle a invité les jeunes filles à réfléchir sur le choix de leur partenaire avant de s’engager.
Créée en 2013, l’Auspo se veut un incubateur des étudiants en sociologie pour adresser un certain nombre de problématiques de la société.
Info : une correspondance particulière