Grandes surfaces: Le Syndicat des travailleurs de la Cdci plaide auprès de l’Etat pour la réintégration de près de 900 employés licenciés
Le Syndicat national des travailleurs de la Compagnie de distribution en Côte d’Ivoire (Syntra-Cdci) à travers son secrétaire général, Attiali Segui, a animé une conférence de presse le mercredi 26 mai, à Cocody-Riviera II, pour dénoncer des abus dont les travailleurs sont victimes.
Selon lui, il s’agit, à travers cette rencontre, de plaider auprès des autorités ivoiriennes afin qu’elles se penchent sur leur cas. « Nous plaidons auprès de nos autorités pour qu'elles se saisissent de ce dossier afin de permettre à ces centaines de familles que nous constituons, de vivre », plaide-t-il. Avant de dépeindre et égrener les griefs contre leur employeur.
« Nous avons été l'objet d’un licenciement abusif. Pour nous, c'est une grosse injustice que nous avons subi de la part de notre employeur », a-t-il indiqué. Et de déplorer : « Nous n’arrivons pas à comprendre. Une entreprise pour laquelle tu travailles, elle prend des décisions sans le consentement du personnel. Pour une société qui emploie plus de 2000 personnes, il est interdit de militer dans un syndicat. Quand tu veux le faire, l’on te demande de choisir entre le travail et la démission. L'on méprise les travailleurs. Actuellement, nous sommes près de 850 travailleurs licenciés depuis 2020 ».
Ajoutant que cette situation qui perdure depuis des mois, cause d’énormes préjudices et dégâts dans des familles de licenciés. C’est pourquoi il insiste sur l’intervention des autorités compétentes pour trouver une issue favorable à leur situation.
Le Syntra-Cdci créé depuis plusieurs années s’est donné pour mission la défense les droits et intérêts des travailleurs.
« Nous avons été l'objet d’un licenciement abusif. Pour nous, c'est une grosse injustice que nous avons subi de la part de notre employeur », a-t-il indiqué. Et de déplorer : « Nous n’arrivons pas à comprendre. Une entreprise pour laquelle tu travailles, elle prend des décisions sans le consentement du personnel. Pour une société qui emploie plus de 2000 personnes, il est interdit de militer dans un syndicat. Quand tu veux le faire, l’on te demande de choisir entre le travail et la démission. L'on méprise les travailleurs. Actuellement, nous sommes près de 850 travailleurs licenciés depuis 2020 ».
Ajoutant que cette situation qui perdure depuis des mois, cause d’énormes préjudices et dégâts dans des familles de licenciés. C’est pourquoi il insiste sur l’intervention des autorités compétentes pour trouver une issue favorable à leur situation.
Le Syntra-Cdci créé depuis plusieurs années s’est donné pour mission la défense les droits et intérêts des travailleurs.