Coopération: Le Sénat ivoirien et des élus français en phase pour consolider les liens
Le vice-président du Sénat, Ollo Germain, a présidé une rencontre entre élus ivoiriens et français à la permanence à la Riviera Attoban.
Les relations ivoiro-françaises sont au beau fixe. Des élus des deux nations veulent davantage consolider leurs liens de coopération. C’est ce qui a justifié hier la visite de la délégation des députés et sénateurs français à la permanence du Sénat sise à la Riviera Attoban.
Elle y a été reçue par le vice-président de la Chambre haute du Parlement ivoirien, Ollo Germain. Celui-ci, au cours de la séance de travail effectuée avec les visiteurs venus de l’hexagone, avait à ses côtés ses pairs que sont Charles Gomis, Alain Cocauthrey, Touré Souleymane, Touré Manindja, Djouka Kéhi Édouard.
Au terme de leur entretien à huis clos, le chef de la délégation française, Patrice Anato a fait montre de leur volonté de participer au renforcement des relations entre les deux pays via les deux institutions. Coprésident du groupe diplomatie et économie avec l’Afrique, ce dernier s’est félicité de la parfaite entente qui meuble les rapports ivoiro-français.
« Comment nous comptons vraiment mettre en œuvre de façon concrète cette coopération ? C’est déjà à travers cette relation historique qu’il y a entre la France et la Côte d’Ivoire sur plusieurs volets, à la fois économique, social et culturel », a-t-il expliqué.
Patrice Anato a déclaré que, dans la perspective de consolidation de ces liens, le ministre français des Affaires étrangères, Bruno Le Maire s’est rendu récemment en terre ivoirienne. « Nous allons collaborer entre élus de sorte à mettre en place des projets entre nos différents territoires. Dans nos échanges, nous avons parlé de coopération décentralisée. Mais aussi la coopération entre la France et la Côte d’Ivoire », a-t-il ajouté.
Ollo Germain, dans son allocution, s’est satisfait de la volonté qui anime les deux parties à travailler main dans la main. Il a précisé que l’un des points saillants de cette coopération est de renforcer les capacités des sénateurs ivoiriens.
« Vous savez que la France a une longue tradition de la Chambre haute donc du Sénat. Nous avons eu déjà à visiter cette institution française. Le président du Sénat français est venu aussi en Côte d’Ivoire. Il était avec nous quand nous organisions le forum sur les collectivités. Il était bon de discuter avec les membres de la délégation et voir comment ils arrivent à diriger leurs commissions pour que nous puissions bénéficier de l’impact social qu’ils en tirent. Je leur ai dit tout à l’heure, au cours de la séance de travail, que nous voulons capitaliser les erreurs qu’ils ont pu commettre lors de leurs différents mandats pour ne pas reproduire la même chose chez nous (...). Nous pouvons profiter donc de leur expérience. C’est le sens que nous accordons à la visite de nos collègues de la France », a-t-il argué.
La délégation des élus français était composée du député Christophe Di Pompéo, membre de la commission des Affaires étrangères ; du député Anissa Kheder, membre de la commission de Défense ; le député Flora Lazaar, membre de la commission du Développement durable et de l’Aménagement du territoire et du sénateur Philippe Mouiller. Les deux parties, pour matérialiser leur volonté de coopérer ont échangé des présents en guise de souvenir.
Au terme de leur entretien à huis clos, le chef de la délégation française, Patrice Anato a fait montre de leur volonté de participer au renforcement des relations entre les deux pays via les deux institutions. Coprésident du groupe diplomatie et économie avec l’Afrique, ce dernier s’est félicité de la parfaite entente qui meuble les rapports ivoiro-français.
« Comment nous comptons vraiment mettre en œuvre de façon concrète cette coopération ? C’est déjà à travers cette relation historique qu’il y a entre la France et la Côte d’Ivoire sur plusieurs volets, à la fois économique, social et culturel », a-t-il expliqué.
Patrice Anato a déclaré que, dans la perspective de consolidation de ces liens, le ministre français des Affaires étrangères, Bruno Le Maire s’est rendu récemment en terre ivoirienne. « Nous allons collaborer entre élus de sorte à mettre en place des projets entre nos différents territoires. Dans nos échanges, nous avons parlé de coopération décentralisée. Mais aussi la coopération entre la France et la Côte d’Ivoire », a-t-il ajouté.
Ollo Germain, dans son allocution, s’est satisfait de la volonté qui anime les deux parties à travailler main dans la main. Il a précisé que l’un des points saillants de cette coopération est de renforcer les capacités des sénateurs ivoiriens.
« Vous savez que la France a une longue tradition de la Chambre haute donc du Sénat. Nous avons eu déjà à visiter cette institution française. Le président du Sénat français est venu aussi en Côte d’Ivoire. Il était avec nous quand nous organisions le forum sur les collectivités. Il était bon de discuter avec les membres de la délégation et voir comment ils arrivent à diriger leurs commissions pour que nous puissions bénéficier de l’impact social qu’ils en tirent. Je leur ai dit tout à l’heure, au cours de la séance de travail, que nous voulons capitaliser les erreurs qu’ils ont pu commettre lors de leurs différents mandats pour ne pas reproduire la même chose chez nous (...). Nous pouvons profiter donc de leur expérience. C’est le sens que nous accordons à la visite de nos collègues de la France », a-t-il argué.
La délégation des élus français était composée du député Christophe Di Pompéo, membre de la commission des Affaires étrangères ; du député Anissa Kheder, membre de la commission de Défense ; le député Flora Lazaar, membre de la commission du Développement durable et de l’Aménagement du territoire et du sénateur Philippe Mouiller. Les deux parties, pour matérialiser leur volonté de coopérer ont échangé des présents en guise de souvenir.