Bilan des violences contre les Nigériens: Un mort, 39 Nigériens blessés, des armes blanches saisies... (CNS)
Le gouvernement de Côte d’Ivoire dresse le bilan des récentes agressions contre la communauté nigérienne à Abidjan et dans d'autres villes du pays.
A l’issue de la réunion du Conseil national de sécurité (Cns) tenue le jeudi 27 mai 2021, à Abidjan, il ressort « qu’un Nigérien y a perdu la vie. Trente-neuf (39) autres blessés dont 6 cas graves, un officier de la police ivoirienne légèrement blessé, 51 commerces pillés et 22 incendiés, 14 véhicules saccagés, 21 millions de FCfa déclarés emportés ».
Selon le communiqué publié par le Cns, à ce jour, « 38 personnes ont été interpellées par la police. Des armes blanches ont également été saisies ».
Tout en condamnant fermement ces affrontements et présentant ses condoléances aux familles endeuillées, le Président de la République, Alassane Ouattara, félicite les Forces de défense et de sécurité pour avoir rapidement mis un terme aux violences. Il a également demandé que « des actions vigoureuses soient prises en vue de mettre fin aux messages et discours haineux sur les réseaux sociaux ».
Ces affrontements ont eu pour origine la publication d'une vidéo sur les réseaux sociaux montrant des actes de violence commis sur des individus considérés à tort comme étant des ressortissants ivoiriens, faut-il rappeler.
Selon le communiqué publié par le Cns, à ce jour, « 38 personnes ont été interpellées par la police. Des armes blanches ont également été saisies ».
Tout en condamnant fermement ces affrontements et présentant ses condoléances aux familles endeuillées, le Président de la République, Alassane Ouattara, félicite les Forces de défense et de sécurité pour avoir rapidement mis un terme aux violences. Il a également demandé que « des actions vigoureuses soient prises en vue de mettre fin aux messages et discours haineux sur les réseaux sociaux ».
Ces affrontements ont eu pour origine la publication d'une vidéo sur les réseaux sociaux montrant des actes de violence commis sur des individus considérés à tort comme étant des ressortissants ivoiriens, faut-il rappeler.