
Le ministre des Paulin Claude Danho entouré des membre de la Fitkd et des athlètes champions d'Afrique 2021 mettent le cap sur Tokyo 2021. (DR)
Le ministre des Paulin Claude Danho entouré des membre de la Fitkd et des athlètes champions d'Afrique 2021 mettent le cap sur Tokyo 2021. (DR)
Taekwondo (après leurs brillantes performances à Dakar): Gbagbi Ruth et ses équipiers célébrés au ministère des Sports
Après leur razzia aux derniers championnats d’Afrique des nations où ils ont raflé onze médailles, les taekwondo-in ivoiriens sont rentrés lundi soir à Abidjan. Un retour en fanfare voulu et orchestré par le ministre de la Promotion des sports et du Développement de l’économie sportive, Danho Paulin Claude. Ce dernier, heureux et fier de la moisson à ce rendez-vous continental, a tenu à les recevoir à son cabinet, au Plateau.
Une manière pour le premier responsable des sports dans le pays de leur transmettre de vive voix les félicitations et encouragements du gouvernement. « ... Au combat et à la victoire pour la Côte d'Ivoire », a déclaré le ministre face aux tireurs ivoiriens.
Les résultats, selon le président Bamba Cheick Daniel, « parlent d’eux-mêmes. La Côte d’Ivoire est la première nation africaine au niveau du taekwondo. Nous sommes partis avec une équipe pas complète. Nous aurions dû partir avec seize athlètes au lieu de quatorze. Nous n’avions malheureusement pas les moyens. Sur les quatorze combattants, nous sommes revenus avec onze médailles : trois médailles d’or, quatre médailles d’argent et quatre médailles de bronze ».
En effet, à quelques semaines du coup d’envoi des jeux planétaires de Tokyo 2021, la grosse performance des tireurs ivoiriens à Dakar sonne comme un signal fort à l’endroit de la communauté sportive. Sur les quatre athlètes qualifiés, trois ont survolé l’Arena de Dakar. Gbagbi Ruth Marie Christelle (-67 Kg) a ouvert la voie, Aminata Charlène Traoré (+73 Kg) s’y est engouffrée et Cissé Cheick Sallah (-80Kg) l’a refermée.
Ils ont tous arraché la médaille d’or de leurs catégories. Sauf Gbané Seydou qui a accroché une médaille d’argent. Et pourtant, le capitaine ivoirien n’a pas démérité. Il avait en face de lui Abdoulrazak Issoufou Alfaga, médaillé d’argent de Rio 2016. Malgré les allonges du Nigérien (2,07m) le score (2-3) en dit long sur la détermination de Gbané.
Bien qu’ayant reçu des consignes de ne pas trop s’engager au risque de se blesser avant les Jeux olympiques, les Ivoiriens ont bien maîtrisé leur sujet à Dakar. « Il fallait combattre avec prudence, marquer des points sans trop d’engagement, et cela a beaucoup gêné les athlètes », confie le président de la Fitkd.
La Côte d’Ivoire était partie avec quelques épines dans les jambes, après une longue période de passivité, en raison du Covid-19. Il n’y avait pas de compétitions internationales. Du coup, tout s’était relâché.
C’est pourquoi le patron de la Fitkd estime que la retraite de l’équipe à Man a été bénéfique, même s’il reconnaît que les « mécanismes ne sont pas totalement revenus au niveau du groupe ».
Les résultats, selon le président Bamba Cheick Daniel, « parlent d’eux-mêmes. La Côte d’Ivoire est la première nation africaine au niveau du taekwondo. Nous sommes partis avec une équipe pas complète. Nous aurions dû partir avec seize athlètes au lieu de quatorze. Nous n’avions malheureusement pas les moyens. Sur les quatorze combattants, nous sommes revenus avec onze médailles : trois médailles d’or, quatre médailles d’argent et quatre médailles de bronze ».
En effet, à quelques semaines du coup d’envoi des jeux planétaires de Tokyo 2021, la grosse performance des tireurs ivoiriens à Dakar sonne comme un signal fort à l’endroit de la communauté sportive. Sur les quatre athlètes qualifiés, trois ont survolé l’Arena de Dakar. Gbagbi Ruth Marie Christelle (-67 Kg) a ouvert la voie, Aminata Charlène Traoré (+73 Kg) s’y est engouffrée et Cissé Cheick Sallah (-80Kg) l’a refermée.
Ils ont tous arraché la médaille d’or de leurs catégories. Sauf Gbané Seydou qui a accroché une médaille d’argent. Et pourtant, le capitaine ivoirien n’a pas démérité. Il avait en face de lui Abdoulrazak Issoufou Alfaga, médaillé d’argent de Rio 2016. Malgré les allonges du Nigérien (2,07m) le score (2-3) en dit long sur la détermination de Gbané.
Bien qu’ayant reçu des consignes de ne pas trop s’engager au risque de se blesser avant les Jeux olympiques, les Ivoiriens ont bien maîtrisé leur sujet à Dakar. « Il fallait combattre avec prudence, marquer des points sans trop d’engagement, et cela a beaucoup gêné les athlètes », confie le président de la Fitkd.
La Côte d’Ivoire était partie avec quelques épines dans les jambes, après une longue période de passivité, en raison du Covid-19. Il n’y avait pas de compétitions internationales. Du coup, tout s’était relâché.
C’est pourquoi le patron de la Fitkd estime que la retraite de l’équipe à Man a été bénéfique, même s’il reconnaît que les « mécanismes ne sont pas totalement revenus au niveau du groupe ».