Célébration du mérite et de l’excellence : Deux-cents filles du lycée Mamie Fêtai distinguées
Elles sont deux-cents élèves du lycée Mamie Houphouët Fêtai de Bingerville dont le mérite a été reconnu par le corps enseignant, au terme de l’année scolaire 2020-2021. Celles-ci ont été distinguées le 12 juin, à l’occasion de la 15e édition de la traditionnelle journée du mérite et de l’excellence de ladite école.
Issues des classes de 6e à la Terminale, toutes séries confondues, ces filles ont reçu des prix dans différentes catégories : prix d’excellence, prix d’honneur et des prix spéciaux qui sont, entre autres, des prix de la meilleure élève en mathématiques, en physique chimie, arts plastiques, Eps et en culture. Leurs moyennes oscillent entre 15 et 18 sur 20.
Les plus méritantes, c’est-à-dire les majors des majors de chaque niveau ont bénéficié de prix particuliers. Celles qui devaient être exclues en raison de leurs faibles moyennes et in fine ont eu les meilleurs progrès n’ont pas été oubliées.
Donnant le sens de cette célébration, le proviseur de cet établissement d’excellence, Coulibaly Tortia, a d’entrée fait savoir que l’organisation de cette journée du mérite est « un acte pédagogique parce qu’elle permet de créer l’émulation et susciter chez les filles l’envie de fournir des efforts pour être parmi les plus méritantes ». Avant d’exhorter les parents d’élèves à encadrer leurs enfants afin qu’elles puissent figurer parmi celles qui seront célébrées lors de l’édition prochaine.
Mayuma Kala Charlotte, représentante spéciale du président de la Commission de l’Union africaine en Côte d’Ivoire, a félicité ces élèves, celles qu’elle a appelées affectueusement les futures ministres et leaders qui feront la fierté de la Côte d’Ivoire et, par ricochet, du continent africain. Et les a invitées à demeurer continuellement dans l’effort et à aller au bout de leurs études. Car, alors jeune élève dans un lycée d’excellence dans son pays, elle-même a compris qu’il fallait se distinguer par le travail.
La preuve, de sa fonction d’historienne, elle a été nommée ministre de la Femme. Un poste qu’elle a occupé pendant 4 ans, avant d’être hissée au poste de représentante spéciale de l’Union africaine (Ua) en Côte d’Ivoire. « L’Afrique de demain est entre vos mains », leur a-t-elle lancé.
Au nom des récipiendaires, Grâce Miessan a traduit la reconnaissance de ses camarades à la marraine, aux encadreurs et aux parents.
L’assistance, pendant le déroulement de cette célébration, a eu droit à des intermèdes de danses, de prestations de majorettes et particulièrement de slameuse, guitariste et de violoniste. Toutes, des filles de ce lycée, ont fait montre de leur talent dans la manie des instruments de musique et leur art.
Les enseignants ont montré également leur savoir-faire. Deux d’entre eux ont presté devant leurs élèves à l’aide de saxophone et de trompette assortis de chants, à la grande satisfaction des parents et des invités.
Les plus méritantes, c’est-à-dire les majors des majors de chaque niveau ont bénéficié de prix particuliers. Celles qui devaient être exclues en raison de leurs faibles moyennes et in fine ont eu les meilleurs progrès n’ont pas été oubliées.
Donnant le sens de cette célébration, le proviseur de cet établissement d’excellence, Coulibaly Tortia, a d’entrée fait savoir que l’organisation de cette journée du mérite est « un acte pédagogique parce qu’elle permet de créer l’émulation et susciter chez les filles l’envie de fournir des efforts pour être parmi les plus méritantes ». Avant d’exhorter les parents d’élèves à encadrer leurs enfants afin qu’elles puissent figurer parmi celles qui seront célébrées lors de l’édition prochaine.
Mayuma Kala Charlotte, représentante spéciale du président de la Commission de l’Union africaine en Côte d’Ivoire, a félicité ces élèves, celles qu’elle a appelées affectueusement les futures ministres et leaders qui feront la fierté de la Côte d’Ivoire et, par ricochet, du continent africain. Et les a invitées à demeurer continuellement dans l’effort et à aller au bout de leurs études. Car, alors jeune élève dans un lycée d’excellence dans son pays, elle-même a compris qu’il fallait se distinguer par le travail.
La preuve, de sa fonction d’historienne, elle a été nommée ministre de la Femme. Un poste qu’elle a occupé pendant 4 ans, avant d’être hissée au poste de représentante spéciale de l’Union africaine (Ua) en Côte d’Ivoire. « L’Afrique de demain est entre vos mains », leur a-t-elle lancé.
Au nom des récipiendaires, Grâce Miessan a traduit la reconnaissance de ses camarades à la marraine, aux encadreurs et aux parents.
L’assistance, pendant le déroulement de cette célébration, a eu droit à des intermèdes de danses, de prestations de majorettes et particulièrement de slameuse, guitariste et de violoniste. Toutes, des filles de ce lycée, ont fait montre de leur talent dans la manie des instruments de musique et leur art.
Les enseignants ont montré également leur savoir-faire. Deux d’entre eux ont presté devant leurs élèves à l’aide de saxophone et de trompette assortis de chants, à la grande satisfaction des parents et des invités.