Commerce extérieur : Le Conseil national des exportations présente ses priorités
Le Conseil national des exportations (Cne) a organisé, le 12 juin, à Grand-Bassam, un atelier à l’intention des acteurs des filières prioritaires de la Stratégie nationale d’exportations (Sne) pour faire un petit bilan et dresser les perspectives sur la mise en œuvre de ladite stratégie.
Le secrétaire général du Cne, Serge Bombo, a profité de l’occasion pour inviter tous les acteurs impliqués dans la Sne à fédérer leurs énergies dans tous les compartiments sectoriels pour une mise en œuvre réussie de la stratégie.
Il a aussi traduit la volonté du Cne de renforcer ses missions terrain afin d’optimiser la mobilisation des ressources au profit des parties prenantes et des organisations intermédiaires par la mise à disposition de mesures d’accompagnement conséquentes.
Car, a-t-il argué, « c’est en modernisant notre système d’exportation, en palliant les problématiques liées au financement, à la chaîne logistique, à l’approvisionnement, à la mise aux normes qualitatives de nos produits et au renforcement des capacités de nos entreprises et institutions d’appui que nous réussirons véritablement le virage de la transformation structurelle et ceci, pour se mettre aux standards des marchés internationaux. Tels sont les défis que nous nous devons de relever au plus tôt ».
S’il a bien voulu relever le caractère inclusif et participatif de la Sne qui, rappelons-le, a été mis en place en 2017, le directeur général du commerce extérieur, Kaladji Fadiga, a aussi plaidé pour une synergie d’actions entre les différents secteurs. « Les réseaux d’appui au commerce extérieur existent mais les relations interprofessionnelles, inter-structurelles et inter-institutionnelles sont insuffisantes pour favoriser, élargir et accélérer la prestation de services, sur les marchés locaux, régionaux et internationaux », a-t-il indiqué.
Concernant la gestion et la gouvernance des réseaux de coordination, « même si les ressources humaines ne font pas défaut et sont compétentes, les moyens logistiques et financiers restent largement insuffisants. En conséquence, l’appropriation du processus de mise en œuvre de la Sne par les acteurs clés des chaînes de valeur restent encore mitigée, malgré les nombreux efforts consentis par le gouvernement ».
Dans le cadre de son actualisation, la Sne a pris en compte prioritairement six filières à fort potentiel d’exportation. Il s’agit des filières anacarde, coton textile, fruits tropicaux, caoutchouc, manioc et Tic.
L’atelier qui a été financé par l’Union européenne dans le cadre du Pacir 2 (Programme d’appui à la compétitivité et à l’intégration régionale Ndlr) a été organisé en relation avec les acteurs clés des chaînes de valeur susmentionnées afin de collecter les nouvelles problématiques propres à chaque filière.
Mais également de contribuer à la mise en œuvre d’un cadre d’échanges et de concertation au niveau des interprofessions, afin d’harmoniser et dégager des pistes de solution dont les recommandations serviront d'ébauche à la très prochaine stratégie d’exportation qui visera à maximiser le potentiel des produits ivoiriens à l’export.
Il a aussi traduit la volonté du Cne de renforcer ses missions terrain afin d’optimiser la mobilisation des ressources au profit des parties prenantes et des organisations intermédiaires par la mise à disposition de mesures d’accompagnement conséquentes.
Car, a-t-il argué, « c’est en modernisant notre système d’exportation, en palliant les problématiques liées au financement, à la chaîne logistique, à l’approvisionnement, à la mise aux normes qualitatives de nos produits et au renforcement des capacités de nos entreprises et institutions d’appui que nous réussirons véritablement le virage de la transformation structurelle et ceci, pour se mettre aux standards des marchés internationaux. Tels sont les défis que nous nous devons de relever au plus tôt ».
S’il a bien voulu relever le caractère inclusif et participatif de la Sne qui, rappelons-le, a été mis en place en 2017, le directeur général du commerce extérieur, Kaladji Fadiga, a aussi plaidé pour une synergie d’actions entre les différents secteurs. « Les réseaux d’appui au commerce extérieur existent mais les relations interprofessionnelles, inter-structurelles et inter-institutionnelles sont insuffisantes pour favoriser, élargir et accélérer la prestation de services, sur les marchés locaux, régionaux et internationaux », a-t-il indiqué.
Concernant la gestion et la gouvernance des réseaux de coordination, « même si les ressources humaines ne font pas défaut et sont compétentes, les moyens logistiques et financiers restent largement insuffisants. En conséquence, l’appropriation du processus de mise en œuvre de la Sne par les acteurs clés des chaînes de valeur restent encore mitigée, malgré les nombreux efforts consentis par le gouvernement ».
Dans le cadre de son actualisation, la Sne a pris en compte prioritairement six filières à fort potentiel d’exportation. Il s’agit des filières anacarde, coton textile, fruits tropicaux, caoutchouc, manioc et Tic.
L’atelier qui a été financé par l’Union européenne dans le cadre du Pacir 2 (Programme d’appui à la compétitivité et à l’intégration régionale Ndlr) a été organisé en relation avec les acteurs clés des chaînes de valeur susmentionnées afin de collecter les nouvelles problématiques propres à chaque filière.
Mais également de contribuer à la mise en œuvre d’un cadre d’échanges et de concertation au niveau des interprofessions, afin d’harmoniser et dégager des pistes de solution dont les recommandations serviront d'ébauche à la très prochaine stratégie d’exportation qui visera à maximiser le potentiel des produits ivoiriens à l’export.