Bouaké/Opération de salubrité : Les jeunes exhortés à curer les caniveaux dans leurs quartiers
L’opération de curage qui a été lancée le 16 mai dernier, au quartier Commerce, en face de la Caisse nationale de prévoyance sociale (Cnps), portée par l’Agence de gestion des routes (Ageroute), a connu, le 12 juin, sa deuxième phase d’opérationnalisation au quartier Zone, précisément sur la voie bordant le Groupe scolaire Djézou 1.
A cette occasion, Seydou Ouattara, chef de projet à l’Ageroute, a fait remarquer que lorsque les caniveaux sont bouchés, l’eau pluviale n’arrive plus à circuler et finit par s’infiltrer dans le bitume. « On assiste alors à la dégradation précoce de la voie parce l’assainissement n’est pas assuré », déplore-t-il.
Pour pérenniser cette action, le chef de projet à l’Ageroute, rassure que l’opération de curage se fera mensuellement. « L’Ageroute entend montrer l’exemple de sorte que les populations et singulièrement les jeunes se l’approprient et prennent la relève en curant les caniveaux dans leurs quartiers respectifs », a-t-il dit.
Les forces de défense et de sécurité sont impliquées dans cette opération. Leur porte-parole, Lt Boris Yonté du 1er bataillon du Génie militaire de Bouaké, assure de leur détermination à répondre toujours présent à ce rendez-vous.
« Une telle initiative permet de renforcer le lien armée-nation. Bien que nous soyons occupés à d’autres tâches, nous avons quand même fait l’effort d’y participer pour montrer à la population que nous ne sommes pas là pour réprimer ou réprimander, mais pour les aider à avancer et pour leur mieux-être », a-t-il déclaré.
Auparavant, Aboubacar Diaby dit Peter, 5e adjoint, représentant le maire Nicolas Djibo, a salué cet engagement des forces de défense et de sécurité, tout en exhortant les populations à prendre part à l’opération car, insiste-t-il, « lorsque les caniveaux sont bouchés, ils sont source de maladies, le paludisme, par exemple ».
Munis de pioches, de pelles et de râteaux mis à leur disposition par l’Ageroute, les éléments du 1er Bataillon du génie militaire, de l’Ensoa, du bataillon d’artillerie sol sol (Bass) et les sapeurs-pompiers militaires ont investi, dès les premières heures de la journée, les caniveaux de la voie qui passe devant le Groupe scolaire Djézou 1. Ils avaient, à leurs côtés, des civils.
Pour pérenniser cette action, le chef de projet à l’Ageroute, rassure que l’opération de curage se fera mensuellement. « L’Ageroute entend montrer l’exemple de sorte que les populations et singulièrement les jeunes se l’approprient et prennent la relève en curant les caniveaux dans leurs quartiers respectifs », a-t-il dit.
Les forces de défense et de sécurité sont impliquées dans cette opération. Leur porte-parole, Lt Boris Yonté du 1er bataillon du Génie militaire de Bouaké, assure de leur détermination à répondre toujours présent à ce rendez-vous.
« Une telle initiative permet de renforcer le lien armée-nation. Bien que nous soyons occupés à d’autres tâches, nous avons quand même fait l’effort d’y participer pour montrer à la population que nous ne sommes pas là pour réprimer ou réprimander, mais pour les aider à avancer et pour leur mieux-être », a-t-il déclaré.
Auparavant, Aboubacar Diaby dit Peter, 5e adjoint, représentant le maire Nicolas Djibo, a salué cet engagement des forces de défense et de sécurité, tout en exhortant les populations à prendre part à l’opération car, insiste-t-il, « lorsque les caniveaux sont bouchés, ils sont source de maladies, le paludisme, par exemple ».
Munis de pioches, de pelles et de râteaux mis à leur disposition par l’Ageroute, les éléments du 1er Bataillon du génie militaire, de l’Ensoa, du bataillon d’artillerie sol sol (Bass) et les sapeurs-pompiers militaires ont investi, dès les premières heures de la journée, les caniveaux de la voie qui passe devant le Groupe scolaire Djézou 1. Ils avaient, à leurs côtés, des civils.