Lutte contre le terrorisme en Afrique de l’ouest: Un plan d’action pour une bonne prise en compte des droits de l’homme
Durant deux jours (les 17 et 18 juin 2021) les instances sous-régionales en charge de la promotion des droits de l’Homme étaient à Abidjan, pour prendre part à un séminaire portant sur le thème « Justice internationale et droits de l’homme en Afrique de l’Ouest».
La rencontre a eu lieu à l’hôtel Azalaï, dans la commune de Marcory, en présence des présidents des Initiatives nationales pour le développement humain (Indh) des pays suivants : Bénin, Burkina Faso, Cap-Vert, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Togo, Mali, Liberia, Nigeria, Sénégal, et Sierra Leone, ainsi que les représentants du Niger.
Les représentants des ministères en charge de la Justice du Sénégal, de la Sierra Leone, du Liberia et du Mali étaient aussi présents à la cérémonie. «Adopter un plan d’action pour une meilleure prise en compte des droits de l’homme dans l’espace Cedeao et la consolidation de la paix», tel est l’objectif de cette rencontre, a indiqué la présidente du Conseil national des droits de l’homme (Cndh), Namizata Sangaré.
Elle a assuré qu’il « faut espérer que nous arrivions, ensemble, à créer un cadre formel de coopération sur ces questions entre les Indh, les ministères en charge de la Justice et les organisations de la société civile de l’espace Cedeao ».
Pour la présidente du Cndh de la Côte d’Ivoire, ces objectifs visés sont importants, dans la mesure où l’on constate «différentes crises survenues dans les États membres de l’espace Cedeao ». Et pire, ces crises « ont donné lieu à de graves violations des droits de l’homme et du droit international humanitaire ».
Elle a donc cité les exemples du Burkina Faso, du Mali, du Niger et de la Côte d’Ivoire, « théâtre d’attaques djihadistes régulières depuis le premier trimestre 2015 ».
Elle estime qu’il faut dire non à ces violations des droits de l’homme. C’est pourquoi, Namizata Sangaré a souligné que le mécanisme judiciaire international doit jouer un rôle important dans la lutte contre l’impunité et les crimes les plus graves.
Kouassi Bernard, directeur de cabinet du Garde des sceaux qu’il représentait, a procédé à l’ouverture officielle de cette rencontre, en soulignant l’importance que requiert ce genre de rencontre, à l’échelle sous-régionale.
La Fondation Konrad Adenauer apporte un appui technique et financier à l’organisation de ce séminaire. Florian Karnern, son représentant résident et directeur du programme régional Dialogue politique en Afrique de l’Ouest, s’est dit fier de prendre part à cette rencontre.
Les représentants des ministères en charge de la Justice du Sénégal, de la Sierra Leone, du Liberia et du Mali étaient aussi présents à la cérémonie. «Adopter un plan d’action pour une meilleure prise en compte des droits de l’homme dans l’espace Cedeao et la consolidation de la paix», tel est l’objectif de cette rencontre, a indiqué la présidente du Conseil national des droits de l’homme (Cndh), Namizata Sangaré.
Elle a assuré qu’il « faut espérer que nous arrivions, ensemble, à créer un cadre formel de coopération sur ces questions entre les Indh, les ministères en charge de la Justice et les organisations de la société civile de l’espace Cedeao ».
Pour la présidente du Cndh de la Côte d’Ivoire, ces objectifs visés sont importants, dans la mesure où l’on constate «différentes crises survenues dans les États membres de l’espace Cedeao ». Et pire, ces crises « ont donné lieu à de graves violations des droits de l’homme et du droit international humanitaire ».
Elle a donc cité les exemples du Burkina Faso, du Mali, du Niger et de la Côte d’Ivoire, « théâtre d’attaques djihadistes régulières depuis le premier trimestre 2015 ».
Elle estime qu’il faut dire non à ces violations des droits de l’homme. C’est pourquoi, Namizata Sangaré a souligné que le mécanisme judiciaire international doit jouer un rôle important dans la lutte contre l’impunité et les crimes les plus graves.
Kouassi Bernard, directeur de cabinet du Garde des sceaux qu’il représentait, a procédé à l’ouverture officielle de cette rencontre, en soulignant l’importance que requiert ce genre de rencontre, à l’échelle sous-régionale.
La Fondation Konrad Adenauer apporte un appui technique et financier à l’organisation de ce séminaire. Florian Karnern, son représentant résident et directeur du programme régional Dialogue politique en Afrique de l’Ouest, s’est dit fier de prendre part à cette rencontre.