Taekwondo : Ibrahim Diallo, un crack en devenir
Retenu au sein de l’équipe de Côte d’Ivoire qui a disputé le dernier championnat d’Afrique des nations au Sénégal, le jeune Ibrahim Diallo (18 ans, 64 Kg) a marqué des points. Toute la délégation n’avait d’yeux que pour lui. Pas qu’il était l’un des plus jeunes du groupe, mais parce qu’il a émerveillé par son talent et son culot.
« J’attendais ce moment. Les choses ne se sont pas passées comme je le voulais, mais ce n’est que partie remise », a déclaré le jeune tireur formé au Vital taekwondo club d’Abobo.
Ibrahim Diallo, en effet, estime que la participation aux championnats d’Afrique est l’aboutissement d’un processus qui commence au niveau des clubs. « Je pratique le taekwondo depuis l’âge de six ans, et je pense que le moment est venu, à dix-huit ans, de passer à une étape supérieure. En tout cas, merci aux coachs, à la direction technique nationale qui m’ont donné la chance de découvrir le haut niveau africain », poursuit le jeune taekwondo-in plein d’ambition.
Me Chérif Adama, le sélectionneur national, est fasciné par le courage, la technique et l’intelligence de jeu d’Ibrahim Diallo. « Pour leur première grande sortie, les plus jeunes n’ont pas tremblé. Ils ont fait très fort et cela n’est pas donné à tout le monde. Surtout Ibrahim Diallo. Ce garçon m’a particulièrement ébloui. A 18 ans, il a fait mordre la poussière à un international sénégalais sur ses bases à Dakar », déclare l’entraîneur national de taekwondo, qui se dit heureux et fier pour la relève de la discipline en Côte d’Ivoire.
Ibrahim Diallo, lui, ajoute à ses qualités, sa « rage de vaincre ». « Je suis un fonceur qui n’abandonne pas avant l’arrêt du combat », confie-t-il.
Une graine de champion qui n’échappe pas au président de la Fédération ivoirienne, qui était de l‘expédition de Dakar. Bamba Cheick Daniel est également sous le charme du talentueux tireur.
« Ibrahim Diallo est une belle promesse. Il y en a d’autres. Nous avons une relève pour au moins huit ans. Des jeunes filles et garçons qui piaffent d’impatience. C’est pourquoi, nous sourions lorsque des personnes qui ne savent pas, disent qu’il n’y a pas de relève dans le taekwondo ivoirien », a-t-il indiqué. Avant de rappeler que la fédération ivoirienne de taekwondo ne navigue pas à vue. « Nous avons une vision... », dira-t-il.
Ibrahim Diallo, en effet, estime que la participation aux championnats d’Afrique est l’aboutissement d’un processus qui commence au niveau des clubs. « Je pratique le taekwondo depuis l’âge de six ans, et je pense que le moment est venu, à dix-huit ans, de passer à une étape supérieure. En tout cas, merci aux coachs, à la direction technique nationale qui m’ont donné la chance de découvrir le haut niveau africain », poursuit le jeune taekwondo-in plein d’ambition.
Me Chérif Adama, le sélectionneur national, est fasciné par le courage, la technique et l’intelligence de jeu d’Ibrahim Diallo. « Pour leur première grande sortie, les plus jeunes n’ont pas tremblé. Ils ont fait très fort et cela n’est pas donné à tout le monde. Surtout Ibrahim Diallo. Ce garçon m’a particulièrement ébloui. A 18 ans, il a fait mordre la poussière à un international sénégalais sur ses bases à Dakar », déclare l’entraîneur national de taekwondo, qui se dit heureux et fier pour la relève de la discipline en Côte d’Ivoire.
Ibrahim Diallo, lui, ajoute à ses qualités, sa « rage de vaincre ». « Je suis un fonceur qui n’abandonne pas avant l’arrêt du combat », confie-t-il.
Une graine de champion qui n’échappe pas au président de la Fédération ivoirienne, qui était de l‘expédition de Dakar. Bamba Cheick Daniel est également sous le charme du talentueux tireur.
« Ibrahim Diallo est une belle promesse. Il y en a d’autres. Nous avons une relève pour au moins huit ans. Des jeunes filles et garçons qui piaffent d’impatience. C’est pourquoi, nous sourions lorsque des personnes qui ne savent pas, disent qu’il n’y a pas de relève dans le taekwondo ivoirien », a-t-il indiqué. Avant de rappeler que la fédération ivoirienne de taekwondo ne navigue pas à vue. « Nous avons une vision... », dira-t-il.